Quelle est la différence entre XML et HTML ?

Quelle est la différence entre XML et HTML ?

À première vue, le HTML et le XTML semblent relativement similaires à cause de leur format et des balises. Toutefois, une différence existe bel et bien entre ces deux moyens de publication sur le web.

Ainsi, il convient de ressortir cette différence, car ces deux notions ont des objectifs distinctifs et n’ont pas la même utilité. XML peut être utilisé pour créer des langages de marquage tandis que HTML est en lui-même un langage. Découvrez donc dans cet article les traits distinctifs existants entre XML et HTML.

Quelle est la différence entre XML et HTML ?

Plusieurs critères différencient le XML du HTML. En ce qui concerne le XML c’est un générateur de langage qui a pour fonction de décrire, de structurer et de créer ses propres balises en fonction des données. Alors que le HTML en lui-même est un langage normalisé d’affichage de donnée.

XML : Que faut-il savoir ?

Le XML (Extensible Markup Language) peut être défini comme étant un langage personnalisable fait de balises qui permet d’écrire un catalogue d’information dans un format utilisable par les ordinateurs. La traduction française du mot XML est « langage des balises extensibles ». Il a été conçu en 1960 par IBM comme un GML c’est-à-dire Generali zed Markup Language.

En des termes beaucoup plus simples, il s’agit d’un format de fichier écrit sous forme de langage de balise. Cette dernière quant à elle représente un mot clé qui est mis entre < < . Comme illustration nous pouvons indiquer ceci <et< .

Précisons également que le XML est extensible, car il permet de définir d’autres langages tels que le HTML. Ainsi, le langage XML définit une plateforme destinée à mettre en place les éléments de marquage et générer par la même occasion un langage de marquage personnalisé.

Un fichier XML sert généralement à effectuer des transferts d’information entre deux partenaires. De ce fait, son contenu n’est pas standard et on ne fait pas usage de ce langage en public.

La création d’un langage XML répond à un ensemble de règles définies par le XML. En outre, le document XML est composé de données sous forme de chaine et de balises de texte. Son unité fondamentale est appelée élément.

Aussi, un document XML est composé de deux parties que sont le prologue et le corps.

Concernant la partie prologue du document, elle consiste en des métadonnées administratives telles que la déclaration de type de document, l’instruction de traitement facultative et la déclaration XML. La partie du corps quant à elle est subdivisée en deux parties que sont la structure et le contenu.

Concernant la structure d’un fichier XML, il est important de préciser que le nom des balises peut être déterminé par vos soins à condition que ceux qui lisent votre fichier comprennent la syntaxe utilisée. Aussi, chaque balise utilisée doit être obligatoirement fermée.

HTML : que faut-il savoir ?

Le HTML est tout simplement un langage de balisage pour la construction de page web ou encore un langage de programmation disposant de ses règles et de sa syntaxe. Ainsi, la structure d’un fichier HTML comprend des balises précises. Il s’agit de :

– html: début et fin de page

– Head: début et fin de l’entête

– body : début et fin du corps

– p : paragraphe

– a : lien hypertexte

De ce fait, vous ne pouvez pas faire d’improvisation lorsqu’il s’agit de l’élaboration d’un fichier HTML, car votre page web peut être consultée par tout type de navigateur ou encore par toute personne disposant d’un ordinateur.

Le HTML est utilisé comme la base de toute page web et il est donc présent sur la plupart des sites internet. Toutefois, vous pouvez le rencontrer sous différentes formes, mais l’idée de base reste toujours la même.

Rappelons néanmoins que les pages web ne sont pas uniquement constituées de fichier HTML. Il est également fait usage du langage CSS pour la mise en page, java script pour les interactions et le PHP pour la communication avec d’autres bases de données.

Différence entre HTML ET XML

Ces deux notions sont différentes sur plusieurs aspects. Ainsi, sur le plan de la syntaxe un fichier HTML est normé et vous devez respecter strictement les balises existantes et chacune d’elle a un rôle bien déterminé.

Une balise ne peut donc pas faire l’objet d’une autre utilisation que celle qui lui était initialement prévue tandis qu’en XML, la balise peut être définie et vous décidez de son nom sans contrainte.

Par ailleurs, avec XML, vous devez fermer les balises et il n’est pas autorisé à corriger les erreurs.

Aussi, concernant le langage un fichier HTML ne respecte pas la casse.

Concernant l’extension, on remarque que les fichiers HTML ont une extension en html ou htm tandis que les fichiers XML se terminent par xml.

Du point de vue de leur utilisation, le HTML est primordial pour l’affichage d’une page web. Il contribue à définir la forme d’un document grâce à l’utilisation des balises précises qui jouent un rôle bien déterminé. Le XML quant à lui est utile pour faciliter les échanges entre deux ou plusieurs partenaires.

En tenant compte de la structure de ces deux notions, on remarque qu’elles utilisent des balises afin de donner forme à l’information. Ainsi, un fichier basique peut-être similaire et contenant des informations au sein des balises.

La différence entre le XML et le HTML se résume en ces points :

  • XML fournit une structuration logique et modifiable au document alors que le HTML détient déjà des balises prédéfinies.
  • XML ne permet pas d’erreur, car, il lui serait impossible de les analyser, mais, le HTML peut négliger ces erreurs.
  • Le HTML peut ignorer les espaces tandis que le XML en fait usage, car il considère chaque caractère.
  • Le XML a rapport aux données, au stockage, et au transfert de données alors que le HTML a été conçu pour mettre l’accent la présentation des données.
  • La nécessité de fermer les balises en XML tandis qu’en HTML une balise totalement ouverte ou à moitié peut fonctionner normalement.
  • Le HTML ne s’intéresse pas à l’imbrication alors que pour le XML, elle a une grande valeur dans le processus d’élaboration de la syntaxe.

Quels sont les liens entre le HTML et le XML et les autres langages du web ?

Le HTML et le XML ne suffisent pas à eux seuls pour assurer une bonne compréhension d’une page web. En effet, elles ont besoin du concours d’autres éléments tels que le langage CSS pour la mise en page, le java script pour les interactions ou encore le PHP pour assurer la bonne communication des données.

Le HTML et le XML constituent des langages de balisage. Toutefois, ils diffèrent sur certains points. En effet, le HTML est un langage de balisage hypertexte favorisant la structure d’un texte. Le XML quant à lui est un langage de balisage facilitant l’échange de données entre plusieurs partenaires.

Quelle est la différence entre levure et levain ?

Quelle est la différence entre levure et levain ?

Pour préparer les pâtes utilisées en pâtisserie ou à la boulangerie, il est possible d’utiliser aussi bien de la levure que du levain.

Afin de faire un choix optimal, on peut se demander quelle est la différence entre les deux produits. Le levain, en réalité, est plus bénéfique pour la santé. La levure, par contre, peut créer des indigestions. Aussi, le levain est issu d’une fermentation naturelle, tout le contraire de la levure qui, elle, s’obtient par une fermentation alcoolique.

Par ailleurs, un pain au levain conserve longtemps encore sa saveur. Lisez cet article pour tout savoir des deux concepts ainsi que des différences entre eux.

Quelle est la différence entre levure et levain ?

Le levain, en réalité, est plus bénéfique pour la santé. La levure, par contre, peut créer des indigestions. Aussi, le levain est issu d’une fermentation naturelle, tout le contraire de la levure qui, elle, s’obtient par une fermentation alcoolique. Par ailleurs, un pain au levain conserve longtemps encore sa saveur. Lisez cet article pour tout savoir des deux concepts ainsi que des différences entre eux. 

La levure : définitions et explications

Pour faire du bon pain frais, il faut nécessairement de la levure. Cet ingrédient est un champignon unicellulaire capable de provoquer la fermentation des matières organiques animales ou végétales.

La levure étant un organisme vivant, elle se démarque par le fait que ses cellules s’accroissent lorsqu’elle est en contact avec l’air libre. Cela entraîne une fermentation alcoolique. La levure contenant des millions de cellules, le champignon se développe donc très rapidement.

Il existe en réalité différents types de levures. La plus répandue est la levure du boulanger. Elle est plus connue sous le nom scientifique de Saccharomyces.

De couleur beige, elle se trouve généralement sous la forme d’un cube compressé. Certains l’appellent également levure fraîche.

Il est possible de retrouver ce type de levure sous forme déshydratée ou de petites billes. Dans ce cas, elle est nommée levure sèche de boulanger et sert notamment en pâtisserie.

L’autre type de levure est celui chimique. Elle contient de nombreux composants au nombre desquels vous avez : un agent levant, un acidifiant et un agent stabilisant qui correspondent respectivement au bicarbonate, à l’acide tartrique et à l’amidon. Notez bien que l’idée qui soutient la dangerosité de la levure chimique est fausse.

Concernant l’utilisation de la levure, les deux types assurent des fonctions différentes. Peu importe la nature fraîche ou sèche de la levure de boulanger, son rôle est de lever les pâtes. De ce fait, elle participe beaucoup plus à la fabrication des viennoiseries telles que les brioches ou les croissants.

La plupart du temps, la levure fraîche est réduite en miettes avant toute utilisation. Cette levure peut aussi être diluée dans de l’eau ou du lait tiède.

S’agissant de la levure chimique, sa fonction principale est de gonfler les pâtes. Elle est donc idéale pour la préparation des gâteaux, des cakes, des pancakes, des cookies…

Par ailleurs, ce type de levure constitue un ingrédient indispensable des plats salés comme la pâte à pizza. Contrairement à la levure de boulanger, la levure chimique est à incorporer directement aux autres ingrédients.

Pour la conservation de la levure, il existe différents cas. La levure fraîche, elle, ne dure au maximum que deux semaines. Par contre, la levure sèche et celle chimique peuvent se conserver plus longtemps.

Le levain : c’est quoi par rapport à la levure ?

Le levain à l’instar de la levure est tout aussi important comme ingrédient pour le boulanger. Caractérisé par une flore microbienne assez complexe, il est composé de bactéries lactiques, de levures et de moisissures.

Pour obtenir du levain, il suffit de mélanger de l’eau et de la farine. Le miel et le sucre peuvent y être incorporés afin qu’il développe une bonne senteur. Notez bien que le mélange est laissé au repos pendant sept jours.

Après ce temps de repos, la combinaison développe une fermentation naturelle donnant la capacité au levain de lever les pâtes. Les caractéristiques du levain diffèrent en fonction des paramètres tels que l’humidité de l’air, la température, la farine utilisée ainsi que la durée de fermentation.

Dans le but de garantir la durabilité du levain, il est possible de le congeler ou de le sécher. C’est le vrai levain. Il existe une autre forme de levain appelée levain de levure qui s’obtient par fermentation alcoolique.

La fonction principale du levain est de lever les pâtes. De ce fait, il concourt à la préparation des produits de boulangerie, de pâtisserie et de pizzeria. Une simple incorporation aux autres ingrédients et un dosage assez élevé suffisent pour faire l’affaire.

L’avantage du levain réside également dans le fait qu’il permet de relever la saveur et l’arôme du plat préparé. Cet ingrédient entre surtout dans la préparation du pain complet.

Le levain peut se conserver pendant une longue période. Il faut pour cela bien le nourrir. En effet, il est conseillé, tous les trois jours, d’y ajouter un peu de farine accompagnée d’eau. En ce qui concerne le dosage, un quart du poids du levain restant suffit pour chaque ingrédient.

Les points de différences entre la levure et le levain

La différence principale entre la levure et le levain se situe au niveau de l’obtention. La levure s’obtient, en effet, par fermentation alcoolique alors que le levain est issu d’une fermentation naturelle.

La fermentation naturelle est beaucoup plus lente, ce qui favorise la prédigestion des protéines de gluten. Ceci rend le pain au levain plus facile à digérer. Aussi, il n’y a aucun risque pour le consommateur de développer des problèmes digestifs en rapport avec l’intolérance au gluten.

La fermentation alcoolique est plus rapide. Ainsi, elle peut entraîner la dégradation des minéraux comme le zinc, le calcium ou encore le fer.

Le pain préparé avec de la levure ne présente que peu de qualités nutritionnelles. Au contraire, le pain au levain conserve tous ses éléments nutritifs. Autrement dit, il est beaucoup plus sain.

En résumé, les principales différences entre la levure et le levain sont :

La levure

  • Elle est issue d’une fermentation alcoolique.
  • Le pain préparé est difficile à digérer.
  • Le pain préparé possède peu de valeurs nutritives.

Le levain :

  • Il s’obtient par une fermentation naturelle
  • Le pain préparé est facile à digérer
  • Le pain préparé conserve toutes ses valeurs nutritives.

Qu’en est-il de l’action et de la fabrication du levain et de la levure ?

Beaucoup se demandent lequel des deux produits (levure et levain) agit plus vite. Eh bien, c’est la levure qui gonfle rapidement la pâte. Le levain a tendance à durer plus longtemps.

Le levain est aussi un produit fabriqué généralement à la maison. La levure, par contre, est beaucoup plus disponible dans les grandes surfaces.

Pour clore, il faut dire que le levain et la levure sont utilisés pour gonfler la pâte servant à préparer le pain. Toutefois, le levain est issu d’une fermentation naturelle. La levure, quant à elle, provient d’une fermentation alcoolique. De plus, le levain agit en douceur permettant au pain de conserver son arôme ce qui n’est pas le cas de la levure.

Quelle est la différence entre avocat et juriste ?

Quelle est la différence entre avocat et juriste ?

Pour agir dans le cadre de la loi, on peut avoir besoin aussi bien de l’avocat que du juriste. Cela entraîne une confusion entre ces deux corps de métier. Il est donc essentiel de se demander la différence qui existe entre eux.

L’avocat assure la défense de ses clients, plaide au tribunal, rédige des actes et donne des conseils juridiques à tout le monde. Le juriste quant à lui exerce en entreprise, ne plaide jamais au tribunal et ne donne des conseils juridiques qu’à l’entreprise qui l’emploie. La lecture de cet article vous édifiera sur le sujet.

Quelle est la différence entre avocat et juriste ?

L’avocat assure la défense de ses clients, plaide au tribunal, rédige des actes et donne des conseils juridiques à tout le monde. Le juriste quant à lui exerce en entreprise, ne plaide jamais au tribunal et ne donne des conseils juridiques qu’à l’entreprise qui l’emploie. La lecture de cet article vous édifiera sur le sujet. 

Un Avocat c’est quoi ?

Le rêve de nombreux étudiants en Droit est de devenir avocat. Mais qu’est-ce réellement un avocat ? Pour faire simple, un avocat est un auxiliaire de justice. Indépendant, il peut exercer sa profession de diverses manières. Ainsi, il peut être :

  • À titre individuel ;
  • Au sein d’une association ;
  • Dans une société civile professionnelle ;
  • En exercice libéral ;
  • En qualité de salarié ;
  • En qualité de collaborateur libéral d’un avocat, d’une association ou société d’avocats.

L’avocat, généralement, se porte comme assistant et défenseur de ses clients dans tous les domaines de la vie. Ses clients peuvent être des particuliers ou des entreprises.

Notez bien qu’un avocat ne fait pas que plaider. Il peut également conseiller sur des questions relevant du domaine juridique, en dehors de tous contentieux.

Concernant les missions de l’avocat, elles se résument à la protection et à la défense des intérêts de son client, qu’il soit un particulier, une entreprise ou même une association. Ce professionnel assure ainsi plusieurs rôles.

Le rôle de conseil est l’un des plus importants. Grâce à cela, l’avocat conseille à travers des consultations juridiques. Aussi, il peut rédiger des contrats, des statuts, des actes sous seing privé ou même résoudre des conflits à l’amiable.

L’avocat a ensuite un rôle de certification. C’est une prérogative lui permettant de contresigner des actes, ce qui atteste qu’il a conseillé sur les conséquences de l’acte et engage sa responsabilité. En rédigeant un acte juridique, l’avocat s’assure de sa validité ainsi que de sa pleine efficacité.

Le dernier rôle concerne la représentation. Il s’agit de la capacité à accomplir les différentes formalités du procès au nom du client et à plaider au tribunal.

La réglementation de la profession d’avocat est organisée et soumise à des règles professionnelles et déontologiques. De ce fait, tout avocat qui prête serment se doit de respecter certains principes.

En premier lieu, il y a le principe d’indépendance. Il garantit que les conseils donnés par un avocat ne seront pas dictés par un intérêt personnel ou par une pression extérieure.

Ensuite, vous avez le principe de loyauté. Ce dernier fait que l’avocat n’a pas le pouvoir de conseiller ou de défendre des parties dont les intérêts s’opposent.

Le principe de confidentialité, quant à lui, couvre les communications verbales ou écrites entre l’avocat et son client. Dans le même cadre, le respect du secret professionnel interdit la divulgation par l’avocat à un tiers des confidences ou secrets reçus de ses clients. Cette interdiction est générale, illimitée et concerne tous les domaines d’intervention de l’avocat.

Pour devenir avocat, il faut déjà avoir un Master 1 (Bac +4) ou un Master 2 (Bac +5) en Droit. C’est la condition préalable pour se présenter à l’examen d’entrée au Centre Régional de Formation Professionnelle d’Avocats (CRFPA).

Là, il faudra suivre une formation de 18 mois au terme duquel l’élève avocat pourra se présenter au Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat (CAPA).

Une fois réussi cet examen, l’élève avocat prête serment et devient avocat.

Et les Juristes alors ?

Le juriste exerce sa profession en exécution d’un contrat de travail. Il peut être dans une entreprise ou un groupe d’entreprises.

Dans l’exercice de sa fonction, le juriste peut, au profit de son entreprise ou du groupe d’entreprises auquel il appartient, donner des consultations juridiques. Il a également la possibilité de régler des actes sous seing privé concernant l’activité de ces entreprises.

La mission du juriste consiste essentiellement à protéger les intérêts de la société qui l’emploie. Il s’occupe notamment des domaines contractuels, commerciaux, fiscaux, sociaux et patrimoniaux. Le contrat qui lie le juriste à son entreprise l’oblige à conseiller uniquement cette dernière.

S’agissant de la réglementation de la profession de juriste, elle est inexistante. À part celles définies par l’entreprise, aucune règle ne permet d’encadrer ce corps de métier.

Du fait de l’inexistence de la réglementation, il n’y a pas d’obligation de secret professionnel ou d’indépendance. Aussi, en cas de litiges, les autorités judiciaires ont le pouvoir de saisir tous les dossiers, documents et correspondances du juriste. Pour finir, ce professionnel n’a aucune obligation de souscrire à une assurance de responsabilité professionnelle.

De façon générale, les postes de juriste sont occupés par des professionnels ayant un Bac +5 en Droit. Les branches du Droit qui sont souvent demandées sont le Droit des affaires, le Droit fiscal, le Droit de la propriété intellectuelle et le Droit social.

Les différences entre avocat et juriste

Le juriste et l’avocat font tous deux des études en Droit. Pour cela, une confusion existe entre ces deux corps de métier. Pourtant, de nombreux points les différencient.

On observe trois différences principales entre l’avocat et le juriste. Elles ont rapport à la compétence, à la réglementation et à la responsabilité.

En ce qui concerne la compétence, l’avocat peut conseiller et faire la rédaction d’actes pour tout le monde. À l’inverse, le juriste ne peut donner des conseils juridiques et rédiger des actes que pour l’entreprise qui l’emploie.

Au niveau de la réglementation, la profession d’avocat est réglementée et régie par la loi. Il existe donc des principes auxquels le professionnel est soumis.

Au contraire, la profession de juriste n’a aucune réglementation autre que celle établie par l’entreprise employeur.

Enfin, la dernière différence concerne la responsabilité. Le travail de l’avocat étant soumis au secret professionnel, il peut être tenu responsable. Par contre, le juriste n’est tenu par aucune responsabilité même en cas de mauvais conseils.

En résumé, l’avocat est :

  • Compétent pour conseiller et rédiger des actes juridiques pour tout le monde.
  • Responsable des conseils juridiques qu’il prodigue ainsi que des secrets reçus de ses clients.
  • Réglementé par des dispositions légales.

Par contre, le juriste n’est :

  • Compétant qu’envers la société qui l’emploie.
  • Pas responsable en cas de mauvais conseils.
  • Pas réglementé par la loi. 

Qu’en est-il de la conception du droit et du salaire de l’avocat et du juriste ?

Quelle est la conception du droit pour un avocat et pour un juriste ? L’avocat est généralement l’artisan du droit, donc il en fait un métier. Par contre, le juriste conçoit le droit comme une science et devient de ce fait un théoricien.

Quelle est la différence de salaire entre un avocat et un juriste ? Cette réponse dépend de l’expérience du professionnel. Toutefois, le salaire mensuel moyen de l’avocat est de 7 605 € et de 4 500 € pour le juriste.

La différence entre l’avocat et le juriste se situe à de nombreux endroits. Il y a notamment la compétence, la responsabilité, la réglementation, la conception du droit, le salaire, le parcours professionnel…

 

Quelle est la différence entre Android et Smartphone ?

Quelle est la différence entre Android et Smartphone ?

Dans l’univers des téléphones portables, deux notions arrivent très souvent : Android et Smartphone. Du fait qu’elles concernent directement ces petits supports connectés qu’on apprécie tant, il serait bien de se demander les points sur lesquels elles diffèrent.

Android est en réalité le nom d’un système d’exploitation développé par Google et assurant la gestion logicielle de nombreux téléphones. Le smartphone est quant à lui le nom donné à tous les mobiles intelligents. Si vous voulez plus d’explications, suivez-nous.

Quelle est la différence entre Android et Smartphone ?

Android est en réalité le nom d’un système d’exploitation développé par Google et assurant la gestion logicielle de nombreux téléphones. Le smartphone est quant à lui le nom donné à tous les mobiles intelligents qui peuvent être fabriqués par toutes les marques. Si vous voulez plus d’explications, suivez-nous. 

Tout comprendre sur Android

Aujourd’hui, lorsqu’il est question de téléphone mobile, le terme Android revient fréquemment. Il s’agit en réalité d’un système d’exploitation disponible sur mobile fondé sur le noyau Linux.

Si vous ne le savez pas, un système d’exploitation est un logiciel, qui dans un appareil électronique, pilote les dispositifs matériels et reçoit des instructions de l’utilisateur ou d’autres logiciels.

Ce système est développé et rendu célèbre par Google. Pour remonter dans le temps, il faut dire que c’est au cours de l’année 2007 que la toute première version du système Android a été publiée.

Un an plus tard, c’est-à-dire en 2008, voyait le jour le premier téléphone doté de ce système.

Au moment où Steve Jobs, le fondateur d’Apple travaillait sur l’iPhone, un projet open source, Android aujourd’hui, était également en cours de développement.

Seulement, les membres du projet étaient limités, étant donné le manque d’investissement.

Courant 2005, Google procède au rachat d’Android Inc pour la somme de 50 millions de dollars. À partir de cet instant, le projet prit une tout autre tournure. La société Google a noué des partenariats avec les plus grands fabricants de téléphones au monde.

Il y avait notamment Samsung, Motorola, HTC…

Outre les entreprises de fabrication de téléphones, le projet était étendu aux entreprises spécialisées dans la construction de puces informatiques et de technologies sans fil. C’est de ces collaborations qu’est né la « Open Handset Alliance » permettant la commercialisation de la première version du système Android bien connu désormais.

Pour rappel, Google a été fondé en 1998. Sa notoriété provenait surtout de son moteur de recherche. Afin d’investir dans des sociétés complémentaires et ainsi, garantir son développement, les fondateurs de Google ont effectué en 2005 une levée de fond public.

Ceci a permis de récupérer plus de 4 milliards de dollars.

C’est avec ces fonds qu’ils ont racheté la même année Android dans l’objectif de conquérir l’industrie de la téléphonie mobile qui était en pleine expansion.

Actuellement, il est possible de dire que cette aventure a été un réel succès, au niveau logiciel en tout cas.

Google gagne beaucoup d’argent avec Android. En effet, ses applications sont installées par défaut à travers Google Apps. De plus, elle gagne une commission toutes les fois où quelque chose est acheté sur Play Store.

Concernant la partie matérielle, Google n’a pas su s’imposer. L’iPhone étant sorti trop tôt, dès 2007, ils n’étaient absolument pas préparés à concourir avec Apple.

Des années plus tard, le fossé est toujours aussi grand.

Pour en revenir au système d’exploitation Android, le succès a été énorme. En général, il n’existe que deux systèmes d’exploitation pour les téléphones portables : Android et iOS. Ce dernier est celui retrouvé sur les iPhone d’Apple.

Le système d’exploitation Android couvre actuellement environ 72 % des parts du marché. Ce succès s’explique par le fait que tous les fabricants à l’exception d’Apple dotent leur téléphone d’Android.

De ce fait, si vous n’avez pas d’iPhone, vous êtes sur Android.

La majorité des applications sont disponibles sur Android. Les constructeurs testant directement leurs produits pour Android, le matériel est parfaitement supporté. Il n’y a donc généralement aucun problème, comme cela peut être le cas avec le système open source d’un ordinateur.

Les problèmes sont réglés entre le fabricant et le développeur. L’utilisateur n’a plus aucun souci à se faire.

Smartphone : explications complètes

Le smartphone est, pour faire simple, un téléphone intelligent. Il dispose généralement d’un écran tactile, d’un appareil photo numérique, de fonctions d’assistant numérique personnel et de quelques fonctions disponibles sur ordinateur portable.

Avant, les téléphones ne permettaient pas de se connecter à Internet. Aussi, ils n’avaient pas d’écran tactile. Le smartphone constitue donc une réelle révolution dans le domaine.

Son succès est tel qu’aujourd’hui 99 % des téléphones portables sont des smartphones.

Actuellement, il existe de nombreux fabricants de smartphones, mais trois dominent le marché. Vous avez Samsung avec sa série Galaxy. Il est suivi de Huawei avec pour best-seller le P40 Pro. Apple ferme la marche avec son nouveau bébé, l’iPhone 12.

De nombreuses autres marques essaient de se frayer un chemin dans cet univers. Il y a Sony, Xiaomi ou encore BlackBerry. Le smartphone est donc un type de produit que peuvent fabriquer toutes les marques high-tech.

Les points de différences entre Android et Smartphone

Du fait qu’Android et Smartphone se rapportent au téléphone portable, beaucoup se demandent la différence existant entre ces deux termes. Il faut dire qu’ils se différencient au niveau du sens et de la marque.

Concernant le sens, smartphone est un nom donné à tout portable intelligent, peu importe la marque et ses caractéristiques.

Android, par contre, est un nom attribué à un système d’exploitation utilisé par la plupart des smartphones.

Au niveau de la marque, Android appartient à Google. Par conséquent, un autre système d’exploitation devra utiliser un nom différent, mais peut fonctionner sur les smartphones. À l’inverse, un smartphone est donné à tous les téléphones mobiles intelligents. Toutes les marques peuvent donc fabriquer leur propre smartphone.

Pour résumer, les points de différences entre Android et Samsung sont les suivants :

Android

  •  C’est un système d’exploitation.
  • Il peut être utilisé par tous les smartphones à l’exception des iPhone.

Smartphone

  • C’est un nom qui peut être attribué à tous les téléphones intelligents.
  • Toutes les marques peuvent en fabriquer.

Qu’en est-il de l’utilisation des mots Android et Smartphone dans l’univers des ordinateurs ?

Android et Smartphone touchent le monde des téléphones, mais certains se demandent si les notions peuvent être utilisées pour les ordinateurs. Eh bien, la réponse est négative. Les deux termes ont une portée seulement avec les téléphones.

Toutefois, Android est un système d’exploitation. Ce dernier pouvant apparaître dans les débats sur les ordinateurs, il faut donc savoir faire la part de choses.

La différence entre Android et Smartphone se situe à deux niveaux : le sens et la marque.

Au niveau du sens, Android est un système d’exploitation que peut utiliser la majorité des smartphones. Le smartphone est, lui, un téléphone portable intelligent.

Concernant la marque, Android est la propriété de Google. Le smartphone, inversement, n’appartient à aucune marque particulière.

Quelle est la différence entre un melon et une pastèque ?

Quelle est la différence entre un melon et une pastèque ?

Fruits exotiques par nature, le melon et la pastèque sont dotés de plusieurs vertus. Ces vertus varient d’un fruit à un autre. S’ils sont donc des fruits de la même espèce, ils se singularisent à travers différents éléments, dont leurs vertus. Il est donc important de différencier chacun de ces fruits pour mieux bénéficier de leurs bienfaits. Découvrez donc dans cet article les points de distinctions existants entre le melon et la pastèque.

Quelle est la différence entre un melon et une pastèque ?

La différence entre les deux fruits ressort de leur composition. En effet, le melon est un fruit riche en eau et moyennement calorique. Quant à la pastèque, elle est moins calorique que le melon. Aussi, sa teneur en minéraux est moins élevée que celle du melon.

Le melon : que faut-il savoir ?

Le melon est issu d’une plante rampante et cultivée dans le milieu chaud et assez lumineux. Cette plante donne des fleurs qui sont à l’origine du melon.

La culture du melon nécessite beaucoup d’eau et il est recommandé de pratiquer un arrosage à la base du pied pour éviter de mouiller les fruits de l’arbre.

Le melon est un fruit de forme ronde ou ovale, à peau verte à jaune ou brun et dont la chair est sucrée, parfumée et orangée. De cette définition, nous avons des indications sur la forme, la couleur, et le gout du fruit.

Concernant l’aspect du melon, il découle de la définition qu’il s’agit d’un fruit à la peau verte, rarement lisse. Notons également que le fruit mûr est jaune.

Le melon contient une grande quantité de pépins surtout au niveau du centre comme la plupart des fruits. De plus, la pulpe du fruit à la peau verte. Dans le commerce, les melons ont en général un diamètre de 10 cm et un poids qui varie entre 500 g et 3 kg. Toutefois, la taille du melon peut aussi dépendre de sa variété et de sa forme.

Par ailleurs, le melon existe sous plusieurs variétés suivant son aspect ou sa région d’origine. Les variétés les plus connues sont :

  • Le melon cantalou : c’est la variété la plus consommée et la plus répandue au niveau des commerces.
  • Le petit gris de Rennes : comme son nom l’indique, il s’agit d’un melon assez petit. En effet, son poids ne dépasse pas 1 kg. Concernant sa peau, elle est plutôt lisse et de couleur vert foncé.
  • Le melon brodé : il tire son nom de son apparence brodée
  • Le melon honeydew : il provient du Maghreb et présente plusieurs traits caractéristiques. En effet, sa peau est entièrement lisse contrairement aux autres variétés et sa chair est particulièrement verte.
  • Le vert olive d’hiver : il s’agit d’un fruit de forme ovale dont la chair blanche est juteuse et fruitées. Il peut se conserver en serre froide ou en cellier.
  • Le galia : il est parfumé, sucré et dispose d’une peau épaisse et torturée

Cette liste n’est pas exhaustive, car il existe plusieurs variétés de melon, mais nous avons juste fait allusion aux plus représentatifs.

Aussi, le melon se compose en grande quantité d’eau soit à 90 %. Outre, l’eau, il contient 6 % de sucre et 1 % de protéines.

Ainsi, il apporte peu de fibre à votre organisme et il est pauvre en graisse et en calories. Il est également riche en minéraux et en oligo-éléments. Il est donc très recommandé pour votre santé.

Son apport en vitamines est également élevé, car il contient la vitamine A et C. Vous pouvez consommer ce fruit de manière très simple, en optant pour des morceaux crus, de tailles et de formes diverses.

Il peut par exemple être accompagné de salade, de jambon cru ou encore de viande ou de soupe froide.

La pastèque : que faut-il savoir ?

La pastèque ou encore melon d’eau, est un gros fruit dont la chair est rose et très aqueuse. Il est très rafraichissant comme fruit et il vous permet de vous désaltérer.

La pastèque possède des caractéristiques qui lui sont propres. En effet, la peau de la pastèque est particulièrement zébrée avec plusieurs teintes. Sa chair quant à elle est de couleur rose et elle contient également des pépins.

Étant un fruit de grande taille, on peut estimer son diamètre à 30 cm ou 60 cm. Son poids quant à lui varie entre 3 et 4 kg.

La pastèque est un fruit qui existe avec plusieurs variétés, mais les plus représentatives sont :

  • La fashion : elle est la résultante d’un croisement de plusieurs espèces réalisé par l’homme. C’est la seule variété qui ne dispose pas de pépins en son sein.
  • La gigérine : elle est idéale pour réaliser des confitures. Toutefois, elle ne peut être consommée crue.
  • La orangegio : elle tire son nom de la couleur rose de sa chair. Cette caractéristique fait également toute son originalité.

Comme nous le précisons, cette liste n’est pas exhaustive, car le monde regorge de plusieurs espèces. En outre, nous vous recommandons de consommer sans modération la pastèque, car il s’agit d’un fruit faible en calorie. Il est également très riche en vitamines A, B et C.

Par ailleurs,

Précisons que la pastèque est un fruit très désaltérant et qui doit être consommé en été. Il peut servir d’entrée ou de dessert. Aussi, vous pouvez la prendre crue, coupée en tranches fines ou encore vous la consommer comme un jus de fruits. La salade de fruits ou le sorbet est aussi une possibilité qu’offre la pastèque.

Quelle est la différence entre la pastèque et le melon ?

Plusieurs aspects permettent de distinguer ces deux fruits. Nous allons parler des points de différence les plus remarquables.

  • Dimension

En observant ces deux fruits, on remarque entre eux une grande différence de taille. En effet, le melon peut tenir facilement dans une main alors que la pastèque est plus grosse avec en général un poids de 3 kg et un diamètre de 20 cm.

  • La couleur et l’aspect

Outre la taille, ces deux fruits diffèrent de par leur couleur car, la pastèque est de couleur verte foncée avec une peau plutôt lisse. Sa chair peut être rose ou rouge éclatant. A contrario, le melon a, une chair dont la couleur vire vers l’orange et sa peau contient des rugosités.

  • Le vocabulaire

La pastèque est qualifiée de melon d’eau, ce qui pourrait semer une confusion. Toutefois, les deux notions sont différentes.

Il existe 3 points de distinction entre la pastèque et le melon :

  • Le vocabulaire
  • La couleur et l’aspect
  • Les dimensions

Quel est le rôle de la pastèque et du melon dans le domaine de la santé ?

Grâce à leur composition riche en vitamines, en minéraux et en antioxydant, ces deux fruits participent à guérir plusieurs maladies. En effet, ils protègent des cancers et des maladies cardiaques et luttent aussi contre l’hypertension artérielle responsable du durcissement des artères.

Sur le plan diététique, il est fortement conseillé de consommer la pastèque et le melon pour faciliter entre autres la digestion.

Vous aurez dû le comprendre, le melon et la pastèque ont plusieurs points de ressemblance. Ces derniers ont rapport au gout, à la composition à la culture et à la consommation. Toutefois, quelques particularités ont été relevées notamment au niveau de la dimension.

Quelle est la différence entre loggia et véranda ?

Quelle est la différence entre loggia et véranda ?

Dans le domaine de la construction, les thèmes ‘’loggia et véranda’’ reviennent fréquemment. Ces deux notions sont souvent confondues surtout lorsque vous n’êtes pas un professionnel en la matière.

En réalité, bien qu’étant tous deux des espaces non résidentiels, ces deux pièces se situent à l’extérieur de l’habitation. De même, la loggia se retrouve généralement sur les étages alors que la véranda concerne les maisons.

Vous désirez effectuer des travaux dans votre habitation et cherchez à connaître la différence entre une loggia et une véranda pour faire votre choix. Cet article vous dit tout à propos.

Quelle est la différence entre loggia et véranda ?

En effet, la loggia est une sorte de balcon qui est couvert. Elle convient donc aux étages et fait souvent partie du plan de construction de l’immeuble. Alors que la véranda est une pièce qui se rajoute par la suite à la maison. Aussi, la loggia offre moins de lumière que la véranda.

Qu’est-ce qu’une loggia ?

Originaire de l’Italie, « la loge » est un espace extérieur, situé en général à l’étage d’un logement ou sur un appartement. Elle est souvent construite en béton, en retrait relativement à la façade principale. Elle peut être couverte et est susceptible d’être fermée par des baies vitrées.

Cette pièce ne fait pas partie de la partie habitable de la maison. Toutefois, son plafond, ses murs et son sol sont compris dans la structure de cette dernière.

Des murs porteurs la soutiennent. Ce qui lui permet de supporter une importante charge.

La loggia est un dispositif qui vous permet de jouir confortablement de votre extérieur. En effet, intégrée dans les murs, cette pièce vous protège de la pluie et du vent. Ainsi, vous pourrez y accéder en tout confort à toute période de l’année.

Initialement, une loggia n’est pas une pièce habitable. Mais, vous pourriez l’aménager de manière à ce qu’elle en devienne une. Ainsi, la loggia vous permet d’avoir un espace habitable supplémentaire. Elle augmente ainsi la surface de votre logement.

Grâce à la loggia, vous apportez davantage de la lumière naturelle à votre habitation.

Si vous devez vendre ou louer votre habitation, cette dernière aura plus de valeur. En effet, la loggia augmente la valeur de votre bien immobilier.

Qu’est-ce qu’une Véranda ?

Encore appelée ‘’galerie’’ aux Antilles et ‘’varangue’’ dans les Mascareignes, la ‘’véranda’’ a pour origine le mot portugais ‘’varanda’’ qui signifie ‘’balcon’’.

Au tout début, ce mot désignait une galerie qui longeait la façade d’un logement. Il s’écrivait ‘’vérandah’’. Cette forme d’architecture provenait des Indes.

En Angleterre, des parois vitrées (les bow-windows) servirent à fermer les vérandas au cours du XIXe siècle.

De nos jours, la véranda désigne une pièce extérieure à une maison et prolongeant cette dernière. Elle est vitrée et située sur la façade de l’habitation. Elle est généralement couverte en toit vitré ou semi-vitré ou en toit plein.

La véranda : Les matériaux de construction

À l’origine, les vérandas étaient construites en fer forgé. Aujourd’hui, on en retrouve peu en fer forgé. Elles sont souvent en aluminium, en bois, en acier, ou en PVC.

Mais la majorité est construite en aluminium. Ceci, en raison des nombreux avantages qu’offre ce matériau. En effet, ce dernier est d’un entretien très facile. De même, il est isolant et résistant.

La véranda : Quels atouts ?

La véranda est une pièce agréablement accessible tout au long de l’année. Elle est lumineuse grâce à la lumière naturelle qu’elle laisse passer. Ainsi, elle illumine la pièce à laquelle elle est rattachée.

Elle apporte une plus-value à votre bien immobilier.

Utilisations de la véranda

La véranda peut être utilisée à diverses fins. Selon vos désirs et besoins, elle peut devenir :

  • Une véranda bureau
  • Une véranda SPA
  • Une véranda salle à manger
  • Une véranda salle
  • Etc.

Laissez donc libre cours à votre imagination

Les différences entre Loggia et Véranda

D’abord, la loggia est initialement prévue dans la construction du logement. Elle n’est donc pas rajoutée. De même, elle est enclavée dans l’habitation. En outre, la loggia est idéale pour un appartement.

La véranda quant à elle est une pièce qui a été rajoutée par le propriétaire. Elle est donc une toute nouvelle pièce créée après la construction du logement. C’est une extension de ce dernier. Elle est pratique pour les maisons.

Aussi, étant insérée dans l’habitation, la loggia présente l’avantage d’obtenir une bonne isolation thermique. Alors que l’isolation de la véranda s’avère plus coûteuse.

Par ailleurs, le matériau utilisé dans la construction de la loggia dépend de celui de l’habitation même. Ainsi, elle est généralement construite en béton.

Tandis que comme dit plus haut, plusieurs matériaux peuvent servir dans la construction de la véranda. Cette dernière peut alors être en aluminium, en bois, en PVC, en fer forgé ou en acier.

Ainsi donc, la loggia et la véranda se différencient sur trois principaux points que sont :

  • La construction
  • L’architecture
  • L’isolation thermique.

Comment aménager une loggia ?

Pour profiter à fond et en toute sécurité de votre pièce extérieure, il faudra l’aménager convenablement. À cet effet, plusieurs possibilités vous sont offertes. Nous vous donnons quelques conseils d’aménagement.

  • Si votre loggia est ouverte, il vous faudra l’équiper d’un garde-corps ou d’une barrière ayant au minimum 1 mètre de hauteur. Ce qui permettra d’éviter tout risque d’accident.
  • En outre, une loggia ouverte en façade peut servir à différents usages. D’abord, il est possible d’y disposer des plantes vertes. Ces dernières bénéficieront généreusement de la lumière naturelle solaire.

Un petit site potager avec des bacs adéquats ferait l’affaire. Vous pourriez également y aménager un salon de jardin.

Il vous sera très bénéfique pendant les belles saisons. Vous pourriez par exemple y prendre des bains de soleil tout en sirotant une limonade fraîche.

  • Une loggia fermée par des baies vitrées pourrait vous servir de jardin d’hiver. Il est également possible d’y installer une salle de sport, un lieu de détente, une salle de jeu, un bureau ….
  • Etc.

Que prévoit la loi Boutin par rapport à la véranda ?

Selon la loi Boutin, la véranda n’est point une surface habitable. Ainsi, en cas de vente, vous n’êtes pas tenu de préciser la surface de votre véranda.

Toutefois, s’il s’agit d’une location, la superficie de la véranda doit être indiquée dans le contrat de bail.

Comme vous l’auriez compris, la loggia et la véranda sont toutes deux des pièces externes. De même, l’une comme l’autre, elles présentent des atouts. Toutefois, elles se différencient sur divers points.

En général, la loggia s’apparente à un balcon aménagé et couvert, permettant de profiter de l’extérieur tout en étant à l’abri des intempéries.

La véranda par contre est une nouvelle pièce vitrée et fermée confortable tout au long de l’année.

Quelle est la différence entre pains blanc et le pain complet ?

Quelle est la différence entre pains blanc et le pain complet ?

Le pain blanc et le pain complet font tous deux partie de la grande famille des pains.

Comme vous le savez, il existe de nombreux types de pains, mais ces deux se ressemblent particulièrement surtout sur leur capacité à accompagner tous les plats. Il existe pourtant une grande différence entre eux.

Tout d’abord, le pain blanc est fabriqué avec une farine blanche provenant de blés dont l’enveloppe a été enlevée. À l’inverse, le pain complet est préparé avec une farine foncée issue de blés dont l’enveloppe est intacte. Lisez cet article pour mieux comprendre.

Quelle est la différence entre pains blanc et le pain complet ?

Le pain blanc est fabriqué avec une farine blanche provenant de blés dont l’enveloppe a été enlevée. À l’inverse, le pain complet est préparé avec une farine foncée issue de blés dont l’enveloppe est intacte. Lisez cet article pour mieux comprendre. 

Pain blanc

Le pain blanc est très apprécié. Son succès est tel que plus de 10 millions de baguettes sont vendues chaque jour.

À l’étape de fabrication du pain blanc, il faut nécessairement de la farine de blé. Le blé pour rappel est récolté dans les champs sur des surfaces très étendues. Une fois récolté, ce blé est moulu et tamisé afin que seul l’intérieur du grain de blé soit conservé.

C’est donc la farine blanche obtenue après tamisage qui est utilisée par le boulanger pour préparer le pain blanc. Elle est mélangée avec de l’eau et un ingrédient qui sert à lever la pâte. Le tout est laissé au repos avant de lui donner la forme voulue pour le mettre au four.

Concernant les apports nutritionnels, il faut dire que le pain blanc n’est pas le mieux conseillé pour la santé. En effet, un morceau de 100 g du pain blanc qui correspond généralement à un peu de la moitié de ce dernier contient :

  • Environ 260 calories. Notez bien que c’est assez élevé, du fait que le pain blanc accompagne souvent d’autres nourritures ;
  • 3 g de lipides ;
  • 50 g de glucides dont 5 g de sucre ;
  • 10 g de protéines ;
  • Les minéraux apportés sont très faibles. Ceci s’explique par le fait que ces éléments se retrouvent dans l’enveloppe du grain de blé, laquelle n’est pas conservée lors de la préparation du pain blanc.

En dehors de ces informations, le pain blanc a tendance à faire grossir. En effet, son indice glycémique est élevé, c’est-à-dire une hausse rapide du taux de sucre dans le sang.

Ceci provoque le stockage des sucres et graisses par les cellules ainsi que l’intervention du foie pour la régulation du taux via l’insuline.

Les sucres étant éliminés plus rapidement par l’organisme pour le rétablissement de la glycémie, il s’en suit une baisse d’énergie et une nouvelle envie de sucre. C’est donc un cycle infernal.

Il est possible de fabriquer du pain blanc chez soi. Il suffit de disposer des ingrédients nécessaires. Peu importe si vous avez une machine ou non.

Pain complet

Le pain complet est tout aussi sollicité que le pain blanc. Il est, de façon générale, préparé avec de la farine complète. Ici, les grains de blé entiers sont conservés, c’est-à-dire que l’enveloppe reste intacte.

Avec cette conservation, la couleur du pain est plus foncée, ce qui représente une différence notable d’avec le pain blanc, mais pas la plus importante. En réalité, c’est l’enveloppe qui contient l’essentiel des apports utiles à notre organisme. Aussi, l’indice glycémique du pain complet est meilleur et il apporte plus de fibres et de minéraux.

Voici les apports nutritionnels du pain complet :

  • Calories — 247 ;
  • Lipides — 3,4 g ;
  • Glucides — 41 g ;
  • Fibres alimentaires — 7 g ;
  • Protéines — 13 g.

Comme le pain blanc, vous avez la possibilité de réaliser du pain complet chez vous, avec ou sans machines.

Les points de différences entre pain blanc et pain complet

Le pain blanc et le pain complet font tous deux parties de la famille des pains. Ils sont consommés par de nombreuses personnes qui ne savent toujours pas qu’il existe d’importantes différences entre eux.

Ces différences se situent à quatre niveaux que sont : la fabrication, la farine utilisée, la couleur du pain ainsi que les apports nutritionnels.

La première et principale différence concerne la fabrication. En effet, comme dit, le pain blanc est fabriqué avec une farine issue d’un blé dont seul le cœur est conservé.

À ce niveau, l’enveloppe est enlevée. Inversement, l’enveloppe du blé est conservée pour la farine servant à la fabrication du pain complet.

La conservation ou l’enlèvement de l’enveloppe du blé donne une couleur particulière à la farine. Dans le premier cas, la farine sera blanche. Dans le second cas, elle sera foncée.

La deuxième différence a donc rapport avec la couleur de la farine. Le pain blanc est fabriqué avec une farine blanche. Par contre, le pain complet est préparé avec une farine foncée.

La couleur de la farine induit celle du pain. La troisième différence concerne donc la couleur. Le pain blanc possède une couleur blanche, là où le pain complet est foncé.

Enfin, au niveau de la santé, se situe la dernière différence entre ces deux types de pain. En conservant l’enveloppe du blé lors de la fabrication, la grande partie des apports nutritionnels, fibres et minéraux y compris, sont conservés.

Il est donc possible de dire que le pain complet est meilleur pour la santé que le pain blanc.

En résumé, voici les principales différences :

  • Pain blanc – l’enveloppe du blé n’est pas conservée, farine de fabrication de couleur blanche, pain de la même couleur, peu d’apports nutritionnels ;
  • Pain complet — l’enveloppe du blé est conservée, farine de fabrication de couleur foncée, pain foncé, beaucoup d’apports nutritionnels.

Qu’en est-il des plats et de l’utilisation de la levure ou du levain ?

Outre les différences, il existe beaucoup d’autres questions qui sont posées au sujet du pain blanc et du pain complet.

Pour préparer le pain blanc et le pain complet, faut-il privilégier le levain ou la levure ? Il est conseillé d’opter pour l’utilisation du levain pour la préparation de ces deux types de pain.

En effet, cela permet d’optimiser l’assimilation des nutriments.

Selon le plat, quel pain choisir entre le blanc et le complet ? Le pain blanc est consommé au quotidien. Il accompagne tous les plats, autant viande que poisson. Le pain complet peut lui aussi être consommé avec tous les plats, mais il est recommandé de le privilégier au petit déjeuner.  

La différence entre le pain blanc et le pain complet se situe à plusieurs niveaux. Vous avez notamment la fabrication, la farine utilisée, la couleur du pain et les apports nutritionnels.

Quelle est la différence entre Quinoa et Boulgour ?

Quelle est la différence entre quinoa et boulgour ?

En véganisme, les céréales prennent beaucoup plus de place que le riz et les pâtes. Appréciés pour une saveur supplémentaire des plats au printemps, de nombreux cuisiniers utilisent les céréales. Parmi les céréales anciennes, on distingue le quinoa et le boulgour. Tous deux sont de véritables graines de santé, mais avec des apports nutritifs assez différents. Beaucoup les utilisent et les consomment au quotidien sans connaître leurs différences.

Quelle est la différence entre quinoa et boulgour ?

Les différences entre quinoa et boulgour résident sur plusieurs éléments. Le boulgour est préparé à partir du blé concassé alors que le Quinoa est une céréale à part entière.Tous deux sont de véritables graines de santé, mais avec des apports nutritifs assez différents. Contrairement au boulgour, le quinoa est sans gluten.  Pour ce qui est de la zone de culture, le quinoa est majoritairement produit en Amérique du Sud. C’est le climat et l’altitude qui sont les plus adaptés aux besoins de la plante. Le boulgour, en revanche, fabriqué à partir du blé est cultivé dans le monde entier ou presque, peu importe le climat.

L’essentiel sur le quinoa

Une plante de l’Amérique du Sud, cultivée pour ses graines alimentaires, est connue pour ses nombreuses vertus sur la santé. 

Sa texture croquante et sa saveur de noisette peuvent vous servir dans votre régime. Mais beaucoup ignorent que le quinoa est en fait une graine dérivée d’un légume lié aux blettes, aux épinards et aux betteraves. 

Mais à l’état cuit, il ressemble au couscous et au boulgour.

Facile et rapide préparation, le quinoa contient 8 grammes de protéines de haute qualité et 5 grammes de fibres par portion de 1 tasse. 

Parmi ses avantages, c’est l’un des rares aliments végétaux à être classé comme une protéine complète. Ce qui veut dire que le quinoa contient tous les acides aminés essentiels que le corps n’est pas capable de produire naturellement surtout pour les végétaliens.

Le quinoa est graissé d’un produit chimique toxique appelé saponine. 

C’est la raison pour laquelle le rincer sous l’eau courante froide est très important avant chaque cuisson. Pour la fréquence de consommation, l’idéal est de 2 à 3 fois par semaine.

Même s’il est considéré comme un aliment allergène, le quinoa est composé d’oxalates. 

Donc, il est vivement recommandé de faire attention si vous suivez un régime restreint en oxalates. En revanche, l’avantage principal du quinoa est le fait qu’il ne contient pas de gluten. 

Donc, dans le cas où vous seriez intolérant au gluten ou que vous devez éviter les aliments contenant du blé, le quinoa est une meilleure alternative au couscous et au boulgour.

Les atouts santé du quinoa

Le quinoa est issu de la famille des betteraves et des épinards, de ce fait, il est consommable toute l’année. C’est d’ailleurs son premier atout nutritionnel. 

Aussi, surnommé la reine des graines, il est vivement conseillé pour les personnes suivant une alimentation végétarienne. La cause en est qu’il apporte tous les acides aminés et plus de protéines que les céréales.

Le quinoa n’apporte que de vertus positives sur la santé. Il impose une digestion lente, ce qui vous évite de grignoter à tout moment vu qu’il prolonge la sensation de satiété. 

À l’instar du boulgour, le quinoa est idéal pour les personnes intolérantes au gluten.

Comme tout autre aliment, il ne faut pas en abuser. Un régime contenant trop de fibres peut provoquer des désordres sur votre digestion. 

Par rapport au riz et aux pâtes, le quinoa est assez coûteux, car il coûte environ 6 euros le kilo.

Ainsi, consommer les versions les plus brutes est la meilleure manière de le déguster. D’ailleurs, les aliments cuisinés ou précuits ont un index glycémique beaucoup plus élevé que les aliments crus. 

Et, avant toute cuisson, il est très important de rincer le quinoa dans le but d’enlever toutes les traces de saponines et enlever aussi l’amertume.

Zoom sur le boulgour

Complément pour vos salades, pilafs, taboulés, hamburgers végétariens, soupes, ragoûts et garnitures, le boulgour est fabriqué à partir du blé concassé et a été partiellement précuit. En tant que grain entier, le bougour est richissime : en fibres, faibles en gras, faible en calories, végétarien, et même végétalien. 

En revanche, le blé de boulgour, à l’instar du quinoa, n’est pas adapté aux personnes coeliaques.

En plus d’être un complément alimentaire, le boulgour est composé d’une variété de vitamines et de minéraux, aussi d’une quantité substantielle de fibres. 

Une seule portion apporte plus de 30 % de l’apport quotidien de référence pour ce nutriment.

Aussi source de minéraux comme le manganèse, le magnésium et le fer, le boulgour est moins calorique que le quinoa. 

Les apports du boulgour sur la santé

Le boulgour, dérivé du blé dur est une excellente source de minéraux et comporte notamment du phosphore pour les os, du magnésium pour la concentration et la mémoire. 

Il est également riche en vitamines du groupe B. En tout cas, le boulgour est une véritable graine d’énergie sans oublier sa teneur en oligo-éléments comme le zinc et le sélénium qui tiennent une grande place dans le bon fonctionnement du système immunitaire.


Plus digeste que le quinoa, le boulgour est riche en fibres insolubles, qui, d’ailleurs, aident à lutter contre la constipation. Il joue également le rôle d’anti-inflammatoire.


Même s’il est bon pour l’organisme, le boulgour contient du gluten, ce qui est à éviter pour les personnes cœliaques. Son index glycémique est aussi beaucoup pus élevé que celui du quinoa.


Déguster ses versions bio et locales est les meilleures manières de le consommer. Cela participe également à la préservation de l’environnement. 

Plus pourvu en fibres, le boulgour au blé complet est plus intéressant. Sa cuisson à la vapeur est recommandée afin de garder tous ses nutriments.

Différences entre le quinoa et le boulgour

Les différences entre quinoa et boulgour résident sur plusieurs éléments. Le boulgour est préparé à partir du blé concassé. Pour ce qui est de la zone de culture, le quinoa est majoritairement produit en Amérique du Sud. C’est le climat et l’altitude qui sont les plus adaptés aux besoins de la plante. 

Le boulgour, en revanche, fabriqué à partir du blé est cultivé dans le monde entier ou presque, peu importe le climat.


Pour la préparation, le quinoa est plus proche du riz. Ce qui veut dire que sa cuisson se fait entre 10 à 15 minutes dans l’eau. 

Celle du boulgour est par contre plus proche de la semoule. Pour le cuire, il faut juste le recouvrir dans de l’eau bouillante et on le laisse absorber l’eau.


La grande différence sur les apports nutritionnels est flagrante. Le quinoa ne contient pas de gluten tandis que le boulgour en a.


En tout cas, ce qui est sûr, c’est que tous les deux sont riches en protéines, en fibres et en minéraux essentiels. 

https://www.femmeactuelle.fr/sante/alimentation-equilibree/atouts-sante-quinoa-boulgour-2113345

https://www.allodocteurs.fr/alimentation-aliments-feculents-le-quinoa-et-le-boulgour-sont-ils-des-feculents-ou-des-proteines-10053.html

https://www.750g.com/quinoa-ble-boulgour-c-est-quoi-la-difference-entre-ces-3-cereales-a29679.htm

Quelle est la différence entre wifi et bluetooth ?

Quelle est la différence entre wifi et bluetooth ?
Quelle est la différence entre wifi et bluetooth ?

Quelle est la différence entre wifi et bluetooth ?

Les technologies sans fil sont de plus en plus présentes et utilisées au quotidien. D’ailleurs, à notre époque, nous vivons dans un monde connecté. Au travail, sur les réseaux sociaux, ou pour rester en contact avec nos proches, nous avons besoin de la connexion internet. 

Que ce soit sur notre smartphone ou notre ordinateur, le wifi et le bluetooth sont les plus utilisés. C’est vrai qu’il n’est pas toujours évident de faire la différence entre ces deux technologies.

Quelle est la différence entre wifi et bluetooth ?

Tout est une question de portée. Le Wifi, technologie sans fil utilise les signaux radios pour partager sa connection. Il peut atteindre plusieurs dizaines voir centaines de mètres. Au contraire le BlueTooth, est une technologie sans fil courte portée et basse fréquence. On recourt au wifi pour connecter son appareil à Internet. Quant au bluetooth, on l’utilise pour partager et échanger des données entre deux appareils.

Qu’est-ce que le Wifi ?

Le Wifi ou Wireless Fidelity est la technologie sans fil que tout le monde utilise au quotidien pour connecter les différents appareils à internet. Généralement, pour autoriser la connexion via un routeur, un mot de passe est requis sur notre appareil à connecter. Ce mot de passe peut être personnalisé ou standard.


Avec le Wifi, la connexion à Internet est plus facile et simple sans pour autant relier nos appareils avec des câbles. Pour cela, on a besoin d’un routeur Wifi qui permettra de recevoir un signal Internet du modem afin de le convertir en signal radio. Les appareils connectés à WiFi recevront ensuite ce signal radio pour enfin le reconvertir en signal Internet. Ceci dit, le routeur nous permet d’utiliser Internet sans fil sur notre appareil.


Pour accéder à Internet avec Wi-Fi, il est nécessaire de connecter un routeur et un modem. Et ce dernier doit être relié à un abonnement d’un fournisseur d’accès internet ou FAI pour avoir la connexion.
Quand on parle de Wifi, on entend souvent parler de la sécurité Wifi. Mais qu’est-ce que c’est ?

La sécurité Wifi

On distingue deux types d’authentification pris en charge par IEEE 802.11:

  • Authentification système ouvert

Il s’agit d’un schéma d’authentification standard. La trame de demande envoie l’ID de l’algorithme d’authentification pour un système ouvert. Le délai de réponse définit les résultats de la demande.

  • Authentification par clé partagée

C’est un plus grand degré de sécurité. La trame de demande pour l’ID de trame d’authentification fonctionne avec une clé partagée avec un code secret de 40 bits. Ce code est partagé entre lui-même et l’adresse IP. La seconde station répond ensuite par un code de 128 octets. La première station délivre un texte codé en guise de réponse. C’est à la seconde station de faire parvenir les résultats de vérification.

Qu’est-ce que le Bluetooth ?

Dans le cas général, on utilise Bluetooth pour échanger ou partager des données sur de courtes distances entre deux appareils électroniques. Par exemple, on peut utiliser Bluetooth pour connecter un ordinateur à un clavier sans fil. On peut aussi s’user de bluetooth pour coupler un téléphone mobile avec un haut-parleur Bluetooth.
Comme le Wi-Fi, cette technologie sans fil utilise aussi des signaux radio qui lui sert d’outils de transmission de données entre appareils. En fait, Bluetooth utilise quelques fréquences même que le Wi-Fi, c’est ce qui peut causer des interférences avec les appareils Wi-Fi. En revanche, contrairement au Wi-Fi, la connexion d’un appareil au Bluetooth ne requiert aucune authentification, donc, aucun mot de passe.

La sécurité Bluetooth

Bluetooth propose la sécurité des utilisateurs ainsi que la confidentialité des informations. Il demande souvent des clés de cryptage et non des clés d’authentification comme ceux du Wifi. La sécurité Bluetooth dispose de 3 niveaux : non sécurisé, niveau de service et de connexion.

Principales différences entre Bluetooth et WiFi

La portée

Le Wifi et le Bluetooth sont deux technologies différentes surtout si on parle de leur portée. 

Envahissant notre quotidien, le standard Wifi est connu comme la référence en matière de technologie sans fil. Sa portée est de plusieurs dizaines de mètres, voire même plusieurs centaines de mètres en extérieur. Pour le transfert d’informations, celui-ci est à haut débit. En plus, le Wi-Fi, c’est une technologie fiable, stable et sécurisée. 

Il est aussi une véritable alternative aux réseaux de données mobiles, notamment le 3G et le 4G. Avec un box ADSL, un box fibre ou un hotspot à proximité de votre position, vous pouvez bénéficier d’une connexion à haut débit avec des normes de sécurité élevées. 

Le bluetooth, par contre, à l’instar du Wifi est d’une portée limitée. Il est surtout idéal pour les appareils connectés à proximité. C’est une technologie sans fil de proximité, à la portée limitée avec seulement 10 à 15 mètres. Différent du Wifi, son débit est plus faible. Inventé en 1994 par Ericsson, le Bluetooth permet à deux appareils à communiquer très facilement entre eux.


En téléphonie mobile, on distingue de nombreuses applications de bluetooth. De nos jours, il y a également plusieurs accessoires tels que les casques audio pour smartphone, les bracelets connectés qui utilisent le standard bluetooth afin de communiquer avec votre smartphone. Cette technologie sans fil est tout simplement incontournable sur un smartphone. Le bluetooth est idéal pour profiter d’une large gamme d’accessoires comme les oreillettes et kits mains libres sans fil.

Autres points de différence


Outre ces deux principales différences, on peut aussi relever d’autres dissemblances de ces deux technologies sans fil :

  • la bande passante requise pour les deux technologies est différente : faible pour le bluetooth, mais assez élevée pour le Wi-Fi.
  • Pour une connexion via Bluetooth, le pré-requis est de disposer d’un appareil doté d’un adaptateur Bluetooth. Alors que pour se connecter en Wifi, un adaptateur sans fil et un routeur sont nécessaires.
  • Le Bluetooth est considéré comme les appareils de couplage, il est d’une facilité d’utilisation. Le Wifi est par contre plus complexe, car il demande la configuration du matériel et des logiciels.
  • La portée du signal radio de Bluetooth est de 10 mètres alors qu’elle est de 100 mètres pour le Wi-fi.
  • La fréquence de ces deux technologies sans fil est différente : 2,4 GHz à 2,483 GHz pour la communication entre bluetooth et entre 2,4 GHz à 5 GHz pour la communication via Wifi.
  • Le bluetooth a une faible consommation d’énergie, alors qu’elle est élevée pour le Wi-Fi.
    Pour une connexion via Bluetooth, le pré-requis est de disposer d’un appareil doté d’un adaptateur Bluetooth. Le wifi en revanche est d’une meilleure sécurité. Cette technologie sans fil utilise le WEP (Wired Equivalency Privacy) ainsi que le WPA (Wifi Protected Access).

Les sources :

https://fr.wikomobile.com/shop/conseils-pratiques/difference-wifi-bluetooth

https://www.conecticplus.com/guide/quelle-difference-entre-wifi-et-Bluetooth.html

https://fr.itpedia.nl/2018/07/12/wifi-en-bluetooth-wat-is-het-verschil/

Quelle est la différence entre lisier et fumier ?

Vous aussi vous vous demandez comme bon nombre de personnes quelle est la différence entre lisier et fumier ?

C’est un sujet qui n’est pas très agréable à lire lorsqu’on mange, c’est vrai 🙂. Mais il est pourtant important à savoir surtout lorsqu’on veut faire pousser ses plantes de façon saine. N’est-ce pas vrai ?

Après de nombreuses maladies et pandémies, de nombreuses personnes se préoccupent plus des aliments qu’ils consomment. Il est donc devenu nécessaire pour plusieurs propriétaires de plantation ou de potagers, de se mettre à l’agriculture bio. Les principaux engrais utilisés dans ce type d’agriculture sont donc entre autres, le lisier et le fumier.

Alors, êtes-vous prêt à découvrir tout sur les notions de lisier et de fumier ? Installez-vous bien et nous vous donnons de A à Z, toute différence entre lisier et fumier.

Quelle est la différence entre lisier et fumier ?

Le lisier est un liquide obtenu d’un mélange entre les urines et les excréments des animaux. Il est conservé dans des fosses couvertes pour servir d’engrais naturel afin de rentabiliser la production agricole. Le fumier quant à lui est un mélange de litières (les pailles, le reste d’aliments, etc.) associé aux excréments et urines d’animaux d’élevage.

Le lisier

Définition

Le lisier est un liquide obtenu d’un mélange entre les urines et les excréments des animaux. Il est conservé dans des fosses couvertes pour servir d’engrais naturel afin de rentabiliser la production agricole. Il est très important dans l’agriculture, car il est très efficace pour fertiliser le sol en lui apportant des nutriments.

Utilisations

L’emploi de cet engrais bio dans le secteur agricole est reconnu dans tout le monde entier. Cela a pris plus d’ampleur dans les pays à fort potentiel agricole comme le Brésil, le Japon, la Corée, etc. L’utilisation de cet engrais naturel a permis non seulement au sol de conserver ses nutriments, mais aussi aux agriculteurs de récolter des fruits en grande quantité. L’utilisation du lisier permet d’obtenir des aliments ayant une saveur et une texture incomparable.

Bienfaits du lisier

Ce produit fertilisant est non seulement non néfaste pour la santé du futur consommateur, mais aussi pour l’environnement. Dès lors que le lisier a été découvert, testé et approuvé, la majeure partie des éleveurs sont devenu des agriculteurs.

Cet engrais est la résultante des excréments et des urines d’animaux recueillis et stockés pour être rependus sur le sol soit avant ou pendant la culture. Ceci dans le but de maximiser l’apport en fertilisant primaire, secondaire et en oligoéléments sur la terre.

Le fumier

Définition

Le fumier quant à lui est un mélange de litières (les pailles, le reste d’aliments, etc.) associé aux excréments et urines d’animaux d’élevage. Ce produit est utilisé par les agriculteurs comme engrais naturel, car il permet d’enrichir le sol avec les nutriments dont la plante a besoin pour sa bonne croissance.

Utilisations

Cet engrais naturel est utilisé lors du labourage du sol ou encore après que la plante ait commencé à se développer.

Il contient en lui seul, une quantité importante en azote qui est très nécessaire pour la bonne croissance de la plante.

L’élément azote qui est le nutriment majoritaire du fumier est considéré comme fertilisant primaire. Les fertilisants secondaires et les oligoéléments sont retrouvés en état de trace dans ce dernier.

Le mélange obtenu pour la fabrication du fumier est recueilli chaque jour dans les endroits d’élevage et stocké dans un endroit pendant six mois avant d’être utilisé. Ce temps de stockage est nécessaire afin de laisser tout le mélange bien se fermenter et développer des microorganismes, qui vont enrichir le sol en nutriments.

Bienfaits du fumier

Le fumier est un engrais qui résulte des déchets de l’élevage. Par ailleurs, lors des récoltes, les fruits obtenus sont saints mais ont également une très bonne saveur.

Points de différence entre lisier et fumier

Différences physiques

Le lisier est constitué d’une teneur en liquide supérieure à celle solide. Il contient pratiquement 80% d’eau. Tandis que le fumier est un fertilisant naturel présenté sous forme solide.

Différences d’utilisation

Le fumier est utilisé pour fertiliser le sol en horticulture, en agriculture bio et aussi pour le potager et le jardin. Tandis que le lisier est très utilisé comme engrais organique principal de l’agriculture.

Nous vous avons réuni les principales différences entre lisier et fumier :

  • Le lisier est un engrais liquide tandis que le fumier est un engrais solide.
  • Le fumier contient pratiquement 70% d’azote qui est le nutriment majoritaire de ce mélange. Tandis que le lisier contient des fertilisants primaires (N, P, K), secondaires (ça, Mg, S) et des oligoéléments.
  • Le lisier est stocké dans les fosses ou dans les containers alors que le fumier nécessite une longue période de stockage allant jusqu’à six mois.
  • Le fumier n’est pas facilement incorporé dans le sol et court le risque d’être lessivé par les pluies, alors que le lisier est facilement assimilable par le sol sans risque de lessivage.
  • Le lisier est répandu dans les domaines agricoles par des appareils ou machines spécifiques, tandis que le fumier peut être répandu sur les terrains agricoles à la main.

Conséquences et précautions d’utilisation du lisier et du fumier

Le lisier

Bien que le lisier soit un engrais naturel ayant des résultats impeccables lors de son utilisation dans l’agriculture, il présente aussi des inconvénients qui pourront nuire à l’environnement. L’utilisation excessive du lisier pourrait créer la pollution et aussi la contamination des eaux.

Si jamais à proximité des plantations, il y a une source d’eau potable, il est très important d’éviter d’y rependre de forte dose de lisier.

Nous notons également l’odeur toxique que dégage ce produit. Aspirer de pareilles odeurs pourrait être nocif à la santé de l’homme, d’où la nécessité du port d’un cache-nez lors de son utilisation.

Le fumier

Ce produit naturel généralement utilisé dans le secteur agricole présente aussi des inconvénients comme tout autre produit agricole. Son utilisation à de fortes doses ou en excès, pourrait être très dangereuse pour l’environnement. En effet, il est très riche en azote et le répandre en excès entrainera donc une pollution par un excédent d’azote.

Il peut également être susceptible à la contamination de l’homme par des microorganismes après usage. Car ce mélange contient des microbes qui se sont développés lors du compostage.

En effet, le fumier est généralement répandu avec les mains. Il est vrai qu’on porte des gants pour le répandre mais toutefois, il est nécessaire de se laver soigneusement les mains avec de l’eau propre et du savon. Ceci dans le but d’éviter toute contamination possible.

Il faut toujours répandre une quantité normale de fumier sur les terres et surtout éviter les zones disposant d’eau potable. Comme on le dit souvent, l’abondance à toute chose, nuit.

Le lisier et le fumier sont tous deux, des engrais totalement naturels qui sont nécessaires dans l’agriculture pour un meilleur rendement. Lorsque l’emploi de ces engrais est effectué lors de la culture, il permet non seulement au sol de s’enrichir en nutriments mais aussi d’éviter la pratique de la jachère.

Il est à noter que le lisier est une partie du fumier mais seulement à celui-ci est ajouté d’autres éléments tels que les pailles, les résidus d’alimentation des animaux, etc.

Voici ainsi énoncé, la différence entre lisier et fumier. Nous vous laissons la latitude de faire votre libre choix entre les deux selon votre convenance.