Quelle est la différence entre débit et bande passante ?

Bande passante et débit : quelle différence?

En informatique, les notions de bande passante et de débit sont très utilisées. Beaucoup de personnes confondent les deux. Pourtant, leurs sens sont différents.

Ces deux termes sont employés pour estimer la vitesse d’une connexion internet. La bande passante, c’est la vitesse maximale théorique concernant le transfert de données. Tandis que le débit indique le niveau d’utilisation de la connexion internet à un instant donné précis.

Quelle est la différence entre débit et bande passante ?

La bande passante désigne la vitesse maximale théorique concernant le transfert de données. Tandis que le débit indique le niveau d’utilisation de la connexion internet à un instant donné précis. 

Différence principale entre bande passante et débit

On utilise ces deux termes pour parler de la capacité d’un périphérique en ce qui concerne le transfert des données sur un réseau.

La différence notable entre débit et bande passante est principalement la suivante.

La bande passante se rapporte à la vitesse maximum possible avec laquelle un périphérique est capable de transférer des données. Alors que le débit se réfère à la réelle vitesse à laquelle un périphérique va transférer des données à un moment précis.

Le débit est toujours inférieur ou éventuellement égal à la bande passante.

En faisant une analogie avec un tuyau, on pourra dire que la bande passante désigne la taille de ce  tuyau alors que le débit va correspondre au courant d’eau actuel.

La bande passante : qu’est-ce que c’est ?

La notion de bande passante peut être employée dans deux contextes différents. En ce qui concerne le traitement du signal en particulier, le terme de bande passante est utilisé pour indiquer la gamme de fréquences qu’un appareil sera capable de transférer.

Mais dans notre cas, nous voulons parler de cette notion en rapport avec réseaux informatiques. En réseau, la bande passante va mesurer la vitesse maximale de transfert des données d’un périphérique. La bande passante correspond donc au débit maximal d’un réseau.

La bande passante indique la limite de la vitesse à laquelle les données sauront être transférées entre le web public et vos serveurs.

Elle se mesure en mégabits par seconde (Mb/s) ou en gigabits par seconde (Gb/s). La bande passante courante en hébergement se situe entre 10Mbps et 1 Gb/s, avec 100 Mb/s de bande passante habituellement mis en place pour des serveurs dédiés de haute performance.

En général, les connexions internet sont souvent formulées en termes de bande passante. Quand un fournisseur Internet parle d’une connexion à 50 Mbps par exemple, cela veut dire que la connexion peut transférer 50 mégaoctets par seconde.

En informatique, la notion de bande passante est utilisée principalement pour comparer et évaluer des connexions réseau Internet ou local. On utilise aussi cette notion pour de l’hébergement web.

Dans ce cas, la bande passante est la part de la connexion Internet qui peut être utilisée pour votre serveur ou votre site. C’est en général 100 Mbit/s.

La bande passante peut être mesurée pour diverses raisons. En cas de doute ou de problème notamment. Il est fort probable que le réseau soit affecté par un problème dans le cas où la bande passante utilisable se trouve être plus faible que le débit maximum théorique.

Dans cette situation, mesurer la bande passante sera nécessaire pour être sûr que la connexion fournie corresponde à ce qu’on paie. 

Quelques exemples de bande passante

Voici quelques exemples de bande passante de la vie de tous les jours :

  • Un réseau Wi-Fi : actuellement entre 54 Mbit/s et 600 Mbit/s
  • Une connexion Internet (Fibre) : en moyenne entre 100 Mbit/s et 1 Gbit/s
  • Une connexion Internet (ADSL) : aux alentours de 20 Mbit/s
  • Un réseau Ethernet : en général 100 Mbit/s et parfois 1 Gbit/s

Le débit, c’est quoi ?

Le débit mesure la quantité de données numériques qui sont transmises par unité de temps. Il s’agit de la réelle vitesse de la connexion et non pas d’une vitesse théorique maximale comme pour la bande passante. L’unité de mesure du débit et de la bande passante est la même, bit/s.

Des multiples vont être utilisés, comme pour la bande passante à savoir des Mbits/s ou Gbit/s.

Le débit est le réel taux de transfert de données qui est atteint. Le débit sera toujours inférieur à la bande passante puisque cette dernière correspond à la capacité et donc à la limite maximale.

Cependant, la vitesse réelle de transfert des données sur un appareil par une connexion Internet est sensiblement inférieure par rapport aux vitesses annoncées. Cette vitesse c’est le débit.

La réduction de cette vitesse s’explique par plusieurs raisons. La quantité de données qui peuvent être transférées est réduite. En effet, pour le partage d’informations sur les données transférées, les réseaux sont obligés d’utiliser une partie des données.

Le débit est aussi réduit à cause des limitations de logiciels qui font partie d’un réseau ou de divers autres matériels. Une autre raison peut également être invoquée.

Quelques fois, certains fournisseurs de service Internet peuvent réduire le taux de transfert de données délibérément. Ce qui va aussi réduire le débit.

Dans l’usage commun, le débit sert à estimer la qualité de la connexion à un moment donné. Le débit permet aussi de savoir s’il y a un éventuel problème avec la ligne.

On peut aussi savoir si une utilisation intensive d’Internet par un utilisateur se répercute sur la qualité de la connexion pour tous les autres utilisateurs. Si vous regardez un film et qu’il est saccadé, en général, c’est un problème de débit et non pas de bande passante.

Différence entre bande passante et débit expliquée par analogie avec un tuyau

Afin de bien comprendre la différence entre bande passante et débit, voici une analogie avec un tuyau. La largeur du tuyau correspond à la bande passante. Le débit représente la quantité d’eau qui coule dans ce tuyau à un instant T.

La bande passante, donc le tuyau, est fixe. En effet, la grosseur du tuyau ne varie pas. Cette bande passante fixe c’est le débit maximum possible.

Si les conditions sont idéales, le débit doit être égal à la bande passante. Toutefois, le débit peut varier. Un virus par exemple, il va utiliser une partie de la bande passante.

Du coup, cela réduit la bande passante pour les autres. Ainsi, le débit pour ces applications se trouve réduit.

Pareil, dans le cas d’un antivirus qui se met automatiquement à jour. À chaque connexion, cet antivirus va utiliser une partie de la bande passante (le tuyau) pour rapatrier les mises à jour.

Donc, dans cette situation, le débit qui est laissé pour les autres sera réduit.

La bande passante est une valeur théorique, optimale et maximale. Elle est rarement atteinte en pratique. Tandis que le débit correspond à la quantité réelle à un moment précis. Le débit passe effectivement dans le tuyau, mais il peut varier d’un moment à l’autre.

https://fr.sawakinome.com/articles/science/difference-between-throughput-and-bandwidth.html

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Quelle est la différence entre les boucles informatiques «Tant Que » et «Jusqu’à » ?

Quelle est la différence entre les boucles informatiques «Tant Que » et «Jusqu'à » ?
Quelle est la différence entre les boucles informatiques «Tant Que » et «Jusqu’à » ?

Maîtriser les jargons informatiques vous intéresse ? Améliorez  votre connaissance en découvrant la différence entre les deux boucles « tant que » et « jusqu’à ».

Quelle est la différence entre les boucles informatiques «Tant Que » et «Jusqu’à » ?

Ces boucles consistent à répéter une partie de code plusieurs fois. On fait référence à la boucle « tant que » dans la mesure que l’instruction testée est vraie. Quant à la boucle « jusqu’à », on l’utilise dans tous les cas une seule fois avant de tester la condition.

Que désignent les structures « tant que » et « jusqu’à » en informatique ?

En informatique, les boucles désignent les structures de programmation qui permettent de répéter un bloc d’instructions plusieurs fois jusqu’à ce qu’une condition spécifique soit remplie. La programmation, quant à elle est perçue comme étant l’ensemble des activités qui assurent l’écriture des programmes informatiques. En d’autres termes, la programmation concerne le codage et l’écriture des langages informatiques. Il s’agit d’une étape essentielle pour la création d’un logiciel. L’objectif est simple, répéter plusieurs lignes de codes à plusieurs reprises.

Qu’est-ce que la boucle « tant que » ?

En informatique, la boucle « tant que » ou boucle « while » en anglais, est la forme la plus simple d’une boucle de programmation. Il s’agit d’une structure de contrôle qui permet l’exécution d’un ensemble d’instructions de manière répétée sur la base d’une condition booléenne. Elle peut être considérée comme une répétition de l’instruction « if », qui a la particularité de revenir au début du « if » si la condition est toujours vraie. Elle indique alors que tant qu’une condition est valide, il faut continuer à boucler.

NB : en programmation informatique, un booléen est un type de variable à deux états. Ce variable est ainsi soit à l’état vrai, soit à l’état faux (true or false en anglais).

La syntaxe de la boucle « tant que »

 La syntaxe de base d’une structure « tant que » est la suivante :

TANT QUE condition FAIRE

            // CODE A EXCECUTER PLUSIEURS FOIS

FINTANTQUE

Il faudra alors déterminer la condition, comme dans les cas des instructions conditionnelles « si » ou « if », ensuite, indiquer les lignes à répéter tant que cette condition est vraie.

Quelles sont les étapes d’exécution de la boucle « tant que » ?

Les étapes d’exécution de la boucle « tant que » sont :

  1. La réalisation du test de la valeur de la condition d’exécution
  2. Si elle est vérifiée alors

Exécution du traitement

Retour à l’étape 1

Sinon arrêt de la boucle.

  • La valeur de la condition doit être modifiée par une action dans le traitement.

A noter que le traitement peut ne pas être exécuté aucune fois avec la boucle « tant que ». C’est le cas lorsque la condition d’exécution est faussée dès le départ.

La lecture ou l’affectation doit initialiser les paramètres de la condition avant la boucle.

La boucle « jusqu’à » ou encore « répéter – jusqu’à » : de quoi s’agit-il ?

En programmation, la boucle « jusqu’à » ou « répéter – jusqu’à » est une variante de la boucle « tant que », d’ailleurs elles sont très similaires. La boucle « jusqu’à » permet de répéter le traitement au moins une fois étant  donné que la condition ne sera testée qu’à la fin. Que la condition  soit vraie ou fausse, la boucle s’exécutera tant que la structure booléenne indiquée à la fin sera vérifiée.  Sinon elle ré-exécute le traitement.  

Il convient de préciser qur le traitement sera exécuté avant l’évaluation de la condition d’arrêt au moins une seule fois. Aussi, une action dans le « traitement » doit modifier la valeur de la condition.

La syntaxe de la boucle « jusqu’à »

La syntaxe classique pour une boucle « répéter – jusqu’à » est la suivante :

REPETER

            // CODE A EXECUTER PLUSIEURS FOIS

JUSQU’A condition

Quelles sont les étapes d’exécution de la boucle « jusqu’à » ?

Pour exécuter la boucle « jusqu’à », il faut :

  1. Exécuter le traitement
  2. Test de valeur de la « condition d’arrêt »

                        La boucle s’arrête lorsqu’elle est vérifiée

                        Sinon retour à l’étape 1.

Un aperçu global des différences

On confond souvent les structures « tant que » et « répéter – jusqu’à ». Tout comme la structure « jusqu’à », la structure « répéter – jusqu’à » inclut aussi l’exécution d’une séquence d’instructions à répétition et en fonction de la valeur d’une condition. Toutefois, elles diffèrent sur quelques points.

Sur l’exécution

La principale différence entre ces deux boucles c’est le nombre d’exécutions. Pour la structure « jusqu’à », la séquence d’instructions est exécutée au moins une fois, sans prendre en considération la valeur de la condition. Cette dernière est située à la fin de la structure Tandis que, dans la boucle « tant que »,  la condition se trouve au début de la structure.

Sur les structures

La boucle « tant que » exécute la séquence d’instructions tant et aussi longtemps que la condition est satisfaite, alors que la boucle « jusqu’à » exécute la séquence d’instructions tant et du moment que la condition n’est pas satisfaite. En d’autres termes, la boucle « jusqu’à » se répète jusqu’à ce que la condition devienne vraie.

La boucle « jusqu’à » vérifie les conditions après chaque interaction alors que, la boucle « tant que » vérifie la condition avant chaque interaction.

La similarité entre les boucles « tant que » et « jusqu’à »

·         Les boucles « tant que » et « jusqu’à » sont des structures de contrôle en programmation.

  • L’exécution de chacune d’elle dépend de l’expression du test. 
  • C’est en fonction de la valeur d’une condition qu’elles incluent l’exécution d’une séquence d’instructions à répétition.

http://larp.marcolavoie.ca/fr/DocHTM/10300.htm

http://www.est-usmba.ac.ma/ALGORITHME/co/module_ALGORITHME_36.htmlhttp://www.est-usmba.ac.ma/ALGORITHME/co/module_ALGORITHME_36.html

https://www.techno-science.net/definition/5273.html

https://www.technologuepro.com/informatique/chap4_algorithme.htm

https://smallseotools.com/fr/plagiarism-checker/ 100%

Quelle est la différence entre le bœuf et la vache ?

Comprendre la différence entre le bœuf et la vache

Comprendre la différence entre le bœuf et la vache

De nombreuses personnes ignorent la définition réelle des termes « bœuf » et « vache ». La confusion se manifeste lorsque l’on se met à discuter des différentes espèces bovines, ou que l’on croise des gens au supermarché qui dialoguent sur les différents types de viandes. Certes, ceci n’est pas toujours évident, car il y a bien une nuance sur leurs définitions et leurs utilités. Quels sont donc les points qui différencient le bœuf de la vache ?

Quelle est la différence entre le bœuf et la vache ?

La principale différence entre le bœuf et la vache réside dans le fait que le bœuf n’est autre que le mâle de la vache, si cette dernière est considérée comme la femelle reproductrice. Mais aussi, les conditions d’élevage et le régime alimentaire de ces espèces bovines sont tout à fait différents. 

Le bœuf : le bovin castré

Souvent interprété comme le mâle de la vache, le bœuf est en réalité une appellation attribuée à un taureau châtré, dépourvu d’hormones mâles. D’autre part, toute viande provenant de l’espèce bovine est également appelée « bœuf. » Les viandes de vaches et les viandes de taureaux castrés ou non castrés sont toutes baptisées sous le nom de « viande de bœuf » ou « viande bovine ». Deux choses différentes désignées par le seul mot « bœuf ». Les mâles non châtrés ou « taureaux » sont destinées à la reproduction. Généralement, on y trouve moins de trois taureaux par troupeau.

Ceux qui sont émasculés ou « bœuf » sont essentiellement conservés à la production de la viande. La castration des espèces mâles est une méthode pour les rendre plus calmes et dociles. En conséquence, leur croissance devient lente, et renvoie à une meilleure répartition des graisses dans leur viande. Le mouton, par exemple, découle d’un bélier castré, le hongre d’un cheval castré, et le mouton d’un bélier castré. La viande obtenue est ainsi plus tendre et plus succulente à la bouche.

Le bœuf est affirmé comme viande de meilleure qualité, car il est élevé jusqu’à l’âge de deux ans. L’utilité des bœufs se résume sur deux points principaux : la reproduction de viande issue des bœufs engraissés ; et le travail agricole leur permettant de servir pour diverses activités, comme le transport de récoltes ou la traction de charrette.

La vache : la femelle reproductrice

Assez commode, la vache est la femelle reproductrice de l’espèce bovine. Dès que cette femelle du taureau vêle pour la première fois, on la nomme tout simplement « vache ». A partir de l’âge de deux ans, une vache est considérée comme une race laitière ; et la meilleure race à viande, à trois ans. En France, 95% de la viande de bœuf utilisée provient de la vache.

Par ailleurs, il existe une grande variété de races de vaches, définit sous différents aspects dépendant de la région de provenance. Quelques races sont très célèbres : la race Corse, une vache corse qui mange très peu et qui résiste beaucoup à la chaleur ; la Charolaise, une vache blanche originaire de Bourgogne, qui est reconnue par la saveur de sa viande ; l’Abondance, reconnue par sa couleur marron et sa tête blanche, est l’auteur de plusieurs fromages de qualité prémium AOC, à l’instar du Beaufort et du Reblochon ; la Normande, une race mixte caractérisée par ses taches brunes, produit du lait, du fromage et de la viande.

L’élevage de la vache est naturellement rentable, puisqu’elle est prédestinée à plusieurs utilisations. La vache est utilisée dans la production de lait, à partir du moment où elle met bas un veau (à la différence de la génisse qui n’a jamais vêlé). La vache œuvre dans la reproduction, car elle sert d’accessoire qui multiplie le cheptel. La vache joue également un rôle important dans la production de la viande. Les vaches qui ne produisent plus du lait sont engraissées et assignées à l’abattoir afin que leur viande puisse être répandue dans le commerce.

Un processus d’élevage différent

Bien que le bœuf et la vache fassent communément partie de la même espèce bovine ou « Bos Taurus », leur processus d’élevage est différent en fonction du type de production : viande ou lait.

Un régime alimentaire distinct

Généralement, la nourriture à base de végétaux est le régime alimentaire principal des bovins. Ceci est entre autre l’élément essentiel de leur développement, suivant une quantité couvrant leurs besoins journaliers, ou « rations ». Celle-ci varie selon l’espèce et l’âge animal, la saison, la région d’élevage, et le type de production. Le régime alimentaire du bœuf ou de la vache destinés à la viande est intégralement composé d’herbes vertes. Ces herbes vertes procurent toute sa qualité à la viande.

Par contre, la vache laitière se nourrit, en plus du foin, des suppléments, comme les végétaux riches en protéines, des fourrages et des céréales, afin d’encourager leur production en lait. Mais elle mangera moins d’herbes fraîches que le bœuf. Sa ration en herbes est seulement à 36 %. Au terme où la vache ne procure plus de lait, elle sera engraissée et destinée la production de viande. On la définit étant une « vache réformée ». Toutefois, sa viande sera moins bonne, car son alimentation est moins riche en herbes.

Des conditions d’élevage opposées

Les races à viande, particulièrement, le bœuf et la génisse passent plus de 80 % de leur vie au grand air, presque tout au long de l’année. Ceci a forcément un énorme impact sur la qualité de la viande. Le bien-être des animaux semble primé sur sa production. Cependant, les vaches laitières vivent moins de temps à l’extérieur. Malheureusement, elles ne jouissent pas du même avantage que les races à viande, car fournir une quantité de lait, plus que la normale, pourrait affecter son organisme. A en déduire que la viande de la vache réformée ne sera jamais meilleure que celle du bœuf et de la génisse.

En somme, le bœuf et la vache proviennent de la même famille des bovins ou « Bos Taurus ». L’on parlera de bœuf lorsqu’il s’agira, soit de l’animal castré, soit de la viande issue de la grande famille du bovin. Le terme vache désignera tout simplement la femelle adulte qui a donné naissance aux petits veaux. Chacun de ces espèces est utile à l’homme, certaines pour les travaux d’agriculture et d’autres pour l’alimentation.

Référence :

http://www.jesuiscultive.com/spip.php?article295#:~:text=Le%20m%C3%A2le%20de%20la%20vache%20est%20le%20taureau.,a%20enlev%C3%A9%20ses%20organes%20reproducteurs).&text=Il%20faut%20consulter%20l’%C3%A9tiquette,)%20n’est%20pas%20obligatoire.

https://www.guardapampa.fr/blog/difference-entre-viande-de-race-a-viande-et-race-laitiere/

https://www.la-viande.fr/animal-elevage/boeuf/alimentation-bovins#:~:text=L’alimentation%20des%20bovins%20en%20chiffres&text=la%20ration%20des%20ruminants%20est,produite%20sur%20l’exploitation%20agricole.

Quelle est la différence entre confiture et marmelade ?

Quelle est la différence entre confiture et marmelade ?

Très appréciées pour leur goût sucré et fruité, la marmelade et la confiture sont des alliés des brunchs et des petits déjeuners. Beaucoup de gens ont encore du mal à distinguer la marmelade de la confiture. Or, ces deux mixtures présentent certains points de différence.

Quelle est la différence entre confiture et marmelade ?

On les distingue surtout de par leur texture. La marmelade présente une texture plus épaisse comparée à celle de la confiture. La préparation est également différente. La confiture est à base de fruits, d’eau et sucre, alors que la marmelade peut contenir des morceaux entiers de fruits, et très peu d’eau, d’où sa texture épaisse.

La confiture : définition, préparation et texture

Après le beurre, la confiture reste un aliment très apprécié et consommé au quotidien. Elle accompagne nos pains, en passant par le petit-déjeuner jusqu’au goûter. À son origine, le terme « confiture » tendait à se rapprocher du terme « conserve ».

La préparation

Sans surprise, la confiture est faite à base de fruits, de sucres et d’eau. Les plus utilisés sont la fraise, l’abricot, la framboise ou la mûre. Saviez-vous que, certains confiseurs originaux en fabriquent à la rhubarbe, à la patate douce, à la tomate, et autres ingrédients spéciaux.

Pour la préparation en elle-même, les fruits doivent être dénoyautés puis découpés en morceaux. Cela facilitera la cuisson afin de former une purée. Concernant le sucre à utiliser, la quantité doit être plus ou moins égale à celle des fruits.

Une fois le mélange terminé, il faudra cuire les morceaux de fruits dans une marmite assez grande. La cuisson est complète à partir du moment où la purée commence à épaissir.

La texture

La confiture commence à prendre forme à partir du moment où elle refroidit. Lors de ce processus, les fruits utilisés libèrent de la pectine, un gélifiant naturel, qui participera à solidifier le mélange. Une confiture est prête à être dégustée, dès que celle-ci se fige. Elle peut être conservée durant un bon moment dans un contenant.

Qu’en est-il de la marmelade ?

D’origine portugaise, « marmelada » était un terme qui désignait surtout la confiture de coings. Au fil du temps, cette appellation s’est largement détournée de son origine puisqu’il a été repris un peu partout à travers le monde.

La méthode de cuisson

La préparation de la marmelade ne diffère pas énormément de la confiture, de même pour l’aspect qui est similaire. D’ailleurs, le Larousse la définit comme étant une « confiture de fruits passés au tamis ».

Donc, quelle est la différence ? Pour faire simple, la marmelade est une confiture d’agrumes. En effet, il n’y a que les agrumes qui peuvent être utilisés pour préparer cet aliment. Ils doivent être réduits en purée, sans enlever ni la pulpe, ni le jus et les écorces si possible.

Une texture plus épaisse

Elle est généralement faite à base d’orange, d’ananas, de citron et de citron vert. Au moment de la préparation, certains utilisent la peau, mais d’autres préfèrent l’enlever. C’est pour cette raison qu’elle se distingue par son goût assez amer.

Une marmelade a une texture beaucoup plus épaisse que la confiture. Certains laissent même des morceaux de fruits pour un côté plus agréable en bouche. De même, il n’est pas rare de retrouver des zestes d’agrumes dans la préparation.

À ne pas confondre avec d’autres préparations fruitées et sucrées

En plus d’être confondu par bon nombre de gens, la confiture et la marmelade sont souvent mélangées à la gelée, la pâte de fruits, le sirop et la compote. Une erreur assez commune puisque dans tous les cas, le fruit est la base de ces préparations sucrées.

Qu’est-ce que la gelée ?

Le mode de fabrication de la gelée est le même que celui de la confiture. En revanche, à la place de la purée ou de la pulpe de fruit, il faudra utiliser le jus. L’avantage en utilisant cet extrait liquide, c’est qu’il n’y aura pas de pépins en fin de cuisson.

Au moment de la préparation, le jus est mélangé à une quantité suffisante de sucre. Une fois le sucre incorporé au jus, ce dernier sera en mesure de se solidifier tout seul. Mais uniquement si le fruit utilisé contient assez de pectines.

Si ce n’est pas le cas, il sera possible d’utiliser d’autres types de gélifiant. D’ailleurs, en plus des fruits, il est possible d’utiliser de gélifier du vin, du thym, et même de la menthe.

Pour le sirop de fruits

La préparation est similaire à celle de la gelée. Cependant, il faut rajouter encore plus de sucres au moment de la cuisson. Cela permettra de préparer le sirop dans les règles de l’art pour vos futures préparations et boissons, puisqu’il ne peut se consommer seul.

Pour éviter que le mélange n’épaississe, le temps de cuisson est moins long. Cela permettra de conserver l’aspect liquide et caractéristique du sirop.

Et pour la compote ?

La compote est moins épaisse que la confiture, mais pas gélifié comme la gelée. On la distingue donc de par sa texture. En effet, de l’eau est rajoutée lors de la cuisson pour que celle-ci ressemble plus à une purée.

Par ailleurs, elle concentre moins de sucres. Par exemple, si 50 grammes de sucres sont utilisés pour une confiture, seule la moitié sera utilisée lors de la préparation d’une compote. D’ailleurs, elle peut aussi se manger sans accompagnement puisqu’elle est moins sucrée qu’une marmelade ou une confiture.

Concernant les pâtes de fruits

Encore une fois, la préparation est similaire à celle de la confiture, sauf à la fin. Une fois le sucre mélangé à la purée de fruits, un gélifiant doit être incorporé à l’intérieur. Pour que la consistance soit compacte, il est important de tout faire sécher.

Ainsi, il faudra verser le liquide dans un moule assez profond au-dessus d’un papier sulfurisé. Le temps de séchage peut prendre plusieurs jours, donc, il vaut mieux le mettre dans un lieu à l’abri de la poussière et de l’humidité. C’est seulement une fois que le séchage est terminé qu’il sera possible de découper la pâte avant de la rouler dans le sucre.

En définitive, ces mélanges fruités diffèrent par le type de fruits utilisés. Les préparations à base d’agrumes sont de la confiture. Sinon, ce sera une marmelade. La texture est également différente puisqu’une marmelade contient des morceaux, alors que la confiture ressemble plus à une purée.

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https://messergaster.over-blog.com/article-marmelade-confiture-gelee-quelle-difference-123387768.html

https://omnilogie.fr/O/Confiture,_Gel%C3%A9e,_Compote,_euh_Marmelade_et_un_peu_de_Sirop_!

https://www.bienmanger.com/1C509_Gelee_Confiture.html

https://www.laculturegenerale.com/confiture-marmelade-gelee-difference/

http://www.la-difference-entre.com/difference.php?id=confiture-marmelade

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Quelle est la différence entre Roman et Nouvelle ?

La différence entre Roman et Nouvelle 

Les romans et les nouvelles sont deux types d’œuvres utilisées dans la littérature. Ces deux ouvrages doivent être compris différemment. Entre ces deux critères, il y a une zone d’incertitude où l’on peut trouver des histoires longues et des histoires courtes, et parfois, il y a un texte qui ne peut être classé sans perdre de sa valeur. Principalement, c’est ce qui différencie les deux, et voici en dessous les détails. 

Quelle est la différence entre Roman et Nouvelle ?

Contrairement aux romans qui sont des histoires longues, les nouvelles très souvent, des histoires courtes. Autre point de différence, les romans sont perçus comme des histoires littéraires inventées, alors que les nouvelles sont des histoires complètes mais courtes. Ces deux ouvrages doivent donc être appréhendés différemment. 

C’est quoi une nouvelle ?

La définition de la nouvelle selon les experts en littérature 

Selon les experts et les écrivains, les auteurs, la nouvelle est un vocable littéraire. 

Cependant, il s’agit généralement de prose, parfois de prose ou d’un fait imaginaire. 

Sans insinuer les détails, la nouvelle est un texte court qui contient tous les extraits de l’histoire avec une définition très concise et des personnages de l’intrigue concordance pour inventer un effet original. La nouvelle a paru en 1349-1353 avec Décaméron de Boccace, un auteur qui a donné naissance à la nouvelle.

Cela démontre que la nouvelle est plus anachronique que le roman. En général, elle se concentre sur un événement particulier, mais souvent dans les 50 pages. L’auteur ne peut pas rester longtemps à l’arrière-plan du personnage et, dans de nombreux cas, le personnage secondaire peut être compté avec un doigt.

La spécificité de la nouvelle 

En anglais, la nouvelle est nommée « short story », elle est d’un style unique et intéressant.

La caractéristique de la nouvelle : 

En général, le texte est concis entre 3 à 50 passages. Une histoire avec peu de personnages. Les épisodes sont principalement basés sur le développement psychologique du personnage principal. La fin de l’histoire est principalement étonnante. La description oblige souvent le lecteur à réinterpréter toute l’histoire.

Le schéma narratif :

Un schéma narratif est une collection du texte de l’histoire, en l’occurrence tous les éléments nécessaires à l’écriture d’une nouvelle littéraire. Il forme le cadre du texte. Et il est détaillé en cinq branches différentes : 

  • Le contexte initial : la démonstration du personnage primitif, l’endroit, l’ère et l’environnement. 
  • L’événement déclencheur : variation de la circonstance principale.  
  • Le déroulement : les actions réalisées par le rôle principal et les personnages secondaires, qui justifient la progression intellectuelle du rôle primitif.
  • Le dénouement : permet d’aboutir le fait du geste et d’interrompre l’auditeur.  
  • La situation finale : la conclusion et l’achèvement de nouvelles. 

C’est quoi un roman ?

Un roman est un ouvrage présenté sous forme de prose d’au moins 200 pages qui allie à la fois le réel et la fiction. Avant d’être classé en tant que prose, le roman a fait partie du genre poétique, plus particulièrement celui de l’épopée. Nombreux sont les types de romans qui existent pour ne citer que les thrillers, les fantaisies, les romances, les aventures. Dans tous les types de romans, quels qu’ils soient, il est impératif qu’il y ait un acteur principal ayant une quête à accomplir, mais qui fait toujours face à un antagoniste.

La spécificité du roman

Le schéma narratif d’un roman

Toutefois, un roman doit présenter une certaine structure, un plan narratif bien défini, mais aussi d’autres caractéristiques qui lui sont propres. La structure du roman sera donc établie autour de cinq phases :

  • La situation initiale,
  • L’élément perturbateur,
  • Les péripéties,
  • Le dénouement,
  • La situation finale.

On applique souvent ce schéma narratif des fois même instinctivement lorsqu’on est amené à rédiger un récit. Un roman se caractérise par sa longueur, mais aussi par son côté un peu fictif. Il est essentiel de mentionner aussi que le roman fait partie du genre narratif. La fonction du narrateur ne se limite pas à relater une suite d’événements, il doit les aligner suivant une structure bien précise.

On peut donc distinguer trois types de narrateurs

Le narrateur-personnage, dont la narration s’effectue à la première personne. C’est notamment le cas des autobiographies, mais il se peut aussi que le narrateur ne soit qu’un personnage secondaire qui se conduit en simple témoin.

Le narrateur à la troisième personne, dans lequel l’intervention du narrateur ne se fait que ponctuellement. Il ne représente pas un témoin encore moins un personnage, mais plutôt comme étant un intrus durant ses prises de parole.

Le narrateur invisible, ici le narrateur ne fait pas partie de l’histoire, et il la raconte à la troisième personne.

Le temps du roman

Le temps à une énorme importance dans un roman. C’est le temps qui façonne l’allure de l’histoire, à titre d’exemple, on peut résumer une histoire de plusieurs années en quelques paragraphes seulement, et à contrario, une histoire de plus de 100 pages peut ne représenter qu’un jour vécu par le personnage. Sans oublier le jonglage entre les temps verbaux qui permet aussi de se situer chronologiquement dans l’histoire et de distinguer un type de roman d’un autre, un roman autobiographique d’un roman historique par exemple.

Les points de différence

Le roman, une histoire littéraire inventée

Un roman peut être né de l’imagination débordante d’un narrateur, et se compose seulement de conversation de personnages et d’affichage des décors. Mais, il se peut également que le narrateur se soit inspiré de faits réels pour réaliser son œuvre.

Un roman raconte une histoire qui a été créée dans un certain contexte, les romanciers usent des événements et des personnages réels, mais les transforment en fiction. Le récit est toujours une histoire assez longue pour ne pas le confondre avec une nouvelle. 

  • Les acteurs : riche et psychologiquement recherché par diverses classes sociales.
  • Temps : toujours assez lent, et dans des divers moments.  
  • L’environnement : endroit diversifié et libre. 
  • L’intention : délicate, diverse passion, scénario.
  • La chute : conclusion globale, résumé. 

La nouvelle, une histoire complète mais courte

La nouvelle est une histoire courte, mais complète, de 23 à 15 pages, et contrairement au roman dans sa simplicité, elle contient un événement réel ou imaginable. C’est donc une histoire complète, mais courte, sa structure est dramatique, et son évolution est assez rapide. L’événement se produit dans une période courte et un emplacement exact. L’auteur segmente les protagonistes qui profitent des traits dominants. Il y a très peu de personnages secondaires, et certains des personnages secondaires qui se manifestent dans le cadre de l’histoire sont pris en charge en tant que personnages principaux.

  • Les acteurs : moins nombreux, personnages constants.
  • Temps : bref et centrer
  • L’environnement : endroit spécifique et emplacement restreint

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https://www.1min30.com/dictionnaire-du-web/roman-definition
https://www.superprof.fr/ressources/langues/francais/lycee-fr3/1ere-s-fr3/structures-epreuves-heros.html
https://www.1min30.com/dictionnaire-du-web/la-nouvelle-definition https://lanouvellelitteraire.wordpress.com/theorie/les-caracteristiques-de-la-nouvelle/ https://www.coursfrancaisfacile.com/2020/01/la-difference-entre-un-roman-et-une.html

Quelle est la différence entre XML et HTML ?

Quelle est la différence entre XML et HTML ?

À première vue, le HTML et le XTML semblent relativement similaires à cause de leur format et des balises. Toutefois, une différence existe bel et bien entre ces deux moyens de publication sur le web.

Ainsi, il convient de ressortir cette différence, car ces deux notions ont des objectifs distinctifs et n’ont pas la même utilité. XML peut être utilisé pour créer des langages de marquage tandis que HTML est en lui-même un langage. Découvrez donc dans cet article les traits distinctifs existants entre XML et HTML.

Quelle est la différence entre XML et HTML ?

Plusieurs critères différencient le XML du HTML. En ce qui concerne le XML c’est un générateur de langage qui a pour fonction de décrire, de structurer et de créer ses propres balises en fonction des données. Alors que le HTML en lui-même est un langage normalisé d’affichage de donnée.

XML : Que faut-il savoir ?

Le XML (Extensible Markup Language) peut être défini comme étant un langage personnalisable fait de balises qui permet d’écrire un catalogue d’information dans un format utilisable par les ordinateurs. La traduction française du mot XML est « langage des balises extensibles ». Il a été conçu en 1960 par IBM comme un GML c’est-à-dire Generali zed Markup Language.

En des termes beaucoup plus simples, il s’agit d’un format de fichier écrit sous forme de langage de balise. Cette dernière quant à elle représente un mot clé qui est mis entre < < . Comme illustration nous pouvons indiquer ceci <et< .

Précisons également que le XML est extensible, car il permet de définir d’autres langages tels que le HTML. Ainsi, le langage XML définit une plateforme destinée à mettre en place les éléments de marquage et générer par la même occasion un langage de marquage personnalisé.

Un fichier XML sert généralement à effectuer des transferts d’information entre deux partenaires. De ce fait, son contenu n’est pas standard et on ne fait pas usage de ce langage en public.

La création d’un langage XML répond à un ensemble de règles définies par le XML. En outre, le document XML est composé de données sous forme de chaine et de balises de texte. Son unité fondamentale est appelée élément.

Aussi, un document XML est composé de deux parties que sont le prologue et le corps.

Concernant la partie prologue du document, elle consiste en des métadonnées administratives telles que la déclaration de type de document, l’instruction de traitement facultative et la déclaration XML. La partie du corps quant à elle est subdivisée en deux parties que sont la structure et le contenu.

Concernant la structure d’un fichier XML, il est important de préciser que le nom des balises peut être déterminé par vos soins à condition que ceux qui lisent votre fichier comprennent la syntaxe utilisée. Aussi, chaque balise utilisée doit être obligatoirement fermée.

HTML : que faut-il savoir ?

Le HTML est tout simplement un langage de balisage pour la construction de page web ou encore un langage de programmation disposant de ses règles et de sa syntaxe. Ainsi, la structure d’un fichier HTML comprend des balises précises. Il s’agit de :

– html: début et fin de page

– Head: début et fin de l’entête

– body : début et fin du corps

– p : paragraphe

– a : lien hypertexte

De ce fait, vous ne pouvez pas faire d’improvisation lorsqu’il s’agit de l’élaboration d’un fichier HTML, car votre page web peut être consultée par tout type de navigateur ou encore par toute personne disposant d’un ordinateur.

Le HTML est utilisé comme la base de toute page web et il est donc présent sur la plupart des sites internet. Toutefois, vous pouvez le rencontrer sous différentes formes, mais l’idée de base reste toujours la même.

Rappelons néanmoins que les pages web ne sont pas uniquement constituées de fichier HTML. Il est également fait usage du langage CSS pour la mise en page, java script pour les interactions et le PHP pour la communication avec d’autres bases de données.

Différence entre HTML ET XML

Ces deux notions sont différentes sur plusieurs aspects. Ainsi, sur le plan de la syntaxe un fichier HTML est normé et vous devez respecter strictement les balises existantes et chacune d’elle a un rôle bien déterminé.

Une balise ne peut donc pas faire l’objet d’une autre utilisation que celle qui lui était initialement prévue tandis qu’en XML, la balise peut être définie et vous décidez de son nom sans contrainte.

Par ailleurs, avec XML, vous devez fermer les balises et il n’est pas autorisé à corriger les erreurs.

Aussi, concernant le langage un fichier HTML ne respecte pas la casse.

Concernant l’extension, on remarque que les fichiers HTML ont une extension en html ou htm tandis que les fichiers XML se terminent par xml.

Du point de vue de leur utilisation, le HTML est primordial pour l’affichage d’une page web. Il contribue à définir la forme d’un document grâce à l’utilisation des balises précises qui jouent un rôle bien déterminé. Le XML quant à lui est utile pour faciliter les échanges entre deux ou plusieurs partenaires.

En tenant compte de la structure de ces deux notions, on remarque qu’elles utilisent des balises afin de donner forme à l’information. Ainsi, un fichier basique peut-être similaire et contenant des informations au sein des balises.

La différence entre le XML et le HTML se résume en ces points :

  • XML fournit une structuration logique et modifiable au document alors que le HTML détient déjà des balises prédéfinies.
  • XML ne permet pas d’erreur, car, il lui serait impossible de les analyser, mais, le HTML peut négliger ces erreurs.
  • Le HTML peut ignorer les espaces tandis que le XML en fait usage, car il considère chaque caractère.
  • Le XML a rapport aux données, au stockage, et au transfert de données alors que le HTML a été conçu pour mettre l’accent la présentation des données.
  • La nécessité de fermer les balises en XML tandis qu’en HTML une balise totalement ouverte ou à moitié peut fonctionner normalement.
  • Le HTML ne s’intéresse pas à l’imbrication alors que pour le XML, elle a une grande valeur dans le processus d’élaboration de la syntaxe.

Quels sont les liens entre le HTML et le XML et les autres langages du web ?

Le HTML et le XML ne suffisent pas à eux seuls pour assurer une bonne compréhension d’une page web. En effet, elles ont besoin du concours d’autres éléments tels que le langage CSS pour la mise en page, le java script pour les interactions ou encore le PHP pour assurer la bonne communication des données.

Le HTML et le XML constituent des langages de balisage. Toutefois, ils diffèrent sur certains points. En effet, le HTML est un langage de balisage hypertexte favorisant la structure d’un texte. Le XML quant à lui est un langage de balisage facilitant l’échange de données entre plusieurs partenaires.

Quelle est la différence entre levure et levain ?

Quelle est la différence entre levure et levain ?

Pour préparer les pâtes utilisées en pâtisserie ou à la boulangerie, il est possible d’utiliser aussi bien de la levure que du levain.

Afin de faire un choix optimal, on peut se demander quelle est la différence entre les deux produits. Le levain, en réalité, est plus bénéfique pour la santé. La levure, par contre, peut créer des indigestions. Aussi, le levain est issu d’une fermentation naturelle, tout le contraire de la levure qui, elle, s’obtient par une fermentation alcoolique.

Par ailleurs, un pain au levain conserve longtemps encore sa saveur. Lisez cet article pour tout savoir des deux concepts ainsi que des différences entre eux.

Quelle est la différence entre levure et levain ?

Le levain, en réalité, est plus bénéfique pour la santé. La levure, par contre, peut créer des indigestions. Aussi, le levain est issu d’une fermentation naturelle, tout le contraire de la levure qui, elle, s’obtient par une fermentation alcoolique. Par ailleurs, un pain au levain conserve longtemps encore sa saveur. Lisez cet article pour tout savoir des deux concepts ainsi que des différences entre eux. 

La levure : définitions et explications

Pour faire du bon pain frais, il faut nécessairement de la levure. Cet ingrédient est un champignon unicellulaire capable de provoquer la fermentation des matières organiques animales ou végétales.

La levure étant un organisme vivant, elle se démarque par le fait que ses cellules s’accroissent lorsqu’elle est en contact avec l’air libre. Cela entraîne une fermentation alcoolique. La levure contenant des millions de cellules, le champignon se développe donc très rapidement.

Il existe en réalité différents types de levures. La plus répandue est la levure du boulanger. Elle est plus connue sous le nom scientifique de Saccharomyces.

De couleur beige, elle se trouve généralement sous la forme d’un cube compressé. Certains l’appellent également levure fraîche.

Il est possible de retrouver ce type de levure sous forme déshydratée ou de petites billes. Dans ce cas, elle est nommée levure sèche de boulanger et sert notamment en pâtisserie.

L’autre type de levure est celui chimique. Elle contient de nombreux composants au nombre desquels vous avez : un agent levant, un acidifiant et un agent stabilisant qui correspondent respectivement au bicarbonate, à l’acide tartrique et à l’amidon. Notez bien que l’idée qui soutient la dangerosité de la levure chimique est fausse.

Concernant l’utilisation de la levure, les deux types assurent des fonctions différentes. Peu importe la nature fraîche ou sèche de la levure de boulanger, son rôle est de lever les pâtes. De ce fait, elle participe beaucoup plus à la fabrication des viennoiseries telles que les brioches ou les croissants.

La plupart du temps, la levure fraîche est réduite en miettes avant toute utilisation. Cette levure peut aussi être diluée dans de l’eau ou du lait tiède.

S’agissant de la levure chimique, sa fonction principale est de gonfler les pâtes. Elle est donc idéale pour la préparation des gâteaux, des cakes, des pancakes, des cookies…

Par ailleurs, ce type de levure constitue un ingrédient indispensable des plats salés comme la pâte à pizza. Contrairement à la levure de boulanger, la levure chimique est à incorporer directement aux autres ingrédients.

Pour la conservation de la levure, il existe différents cas. La levure fraîche, elle, ne dure au maximum que deux semaines. Par contre, la levure sèche et celle chimique peuvent se conserver plus longtemps.

Le levain : c’est quoi par rapport à la levure ?

Le levain à l’instar de la levure est tout aussi important comme ingrédient pour le boulanger. Caractérisé par une flore microbienne assez complexe, il est composé de bactéries lactiques, de levures et de moisissures.

Pour obtenir du levain, il suffit de mélanger de l’eau et de la farine. Le miel et le sucre peuvent y être incorporés afin qu’il développe une bonne senteur. Notez bien que le mélange est laissé au repos pendant sept jours.

Après ce temps de repos, la combinaison développe une fermentation naturelle donnant la capacité au levain de lever les pâtes. Les caractéristiques du levain diffèrent en fonction des paramètres tels que l’humidité de l’air, la température, la farine utilisée ainsi que la durée de fermentation.

Dans le but de garantir la durabilité du levain, il est possible de le congeler ou de le sécher. C’est le vrai levain. Il existe une autre forme de levain appelée levain de levure qui s’obtient par fermentation alcoolique.

La fonction principale du levain est de lever les pâtes. De ce fait, il concourt à la préparation des produits de boulangerie, de pâtisserie et de pizzeria. Une simple incorporation aux autres ingrédients et un dosage assez élevé suffisent pour faire l’affaire.

L’avantage du levain réside également dans le fait qu’il permet de relever la saveur et l’arôme du plat préparé. Cet ingrédient entre surtout dans la préparation du pain complet.

Le levain peut se conserver pendant une longue période. Il faut pour cela bien le nourrir. En effet, il est conseillé, tous les trois jours, d’y ajouter un peu de farine accompagnée d’eau. En ce qui concerne le dosage, un quart du poids du levain restant suffit pour chaque ingrédient.

Les points de différences entre la levure et le levain

La différence principale entre la levure et le levain se situe au niveau de l’obtention. La levure s’obtient, en effet, par fermentation alcoolique alors que le levain est issu d’une fermentation naturelle.

La fermentation naturelle est beaucoup plus lente, ce qui favorise la prédigestion des protéines de gluten. Ceci rend le pain au levain plus facile à digérer. Aussi, il n’y a aucun risque pour le consommateur de développer des problèmes digestifs en rapport avec l’intolérance au gluten.

La fermentation alcoolique est plus rapide. Ainsi, elle peut entraîner la dégradation des minéraux comme le zinc, le calcium ou encore le fer.

Le pain préparé avec de la levure ne présente que peu de qualités nutritionnelles. Au contraire, le pain au levain conserve tous ses éléments nutritifs. Autrement dit, il est beaucoup plus sain.

En résumé, les principales différences entre la levure et le levain sont :

La levure

  • Elle est issue d’une fermentation alcoolique.
  • Le pain préparé est difficile à digérer.
  • Le pain préparé possède peu de valeurs nutritives.

Le levain :

  • Il s’obtient par une fermentation naturelle
  • Le pain préparé est facile à digérer
  • Le pain préparé conserve toutes ses valeurs nutritives.

Qu’en est-il de l’action et de la fabrication du levain et de la levure ?

Beaucoup se demandent lequel des deux produits (levure et levain) agit plus vite. Eh bien, c’est la levure qui gonfle rapidement la pâte. Le levain a tendance à durer plus longtemps.

Le levain est aussi un produit fabriqué généralement à la maison. La levure, par contre, est beaucoup plus disponible dans les grandes surfaces.

Pour clore, il faut dire que le levain et la levure sont utilisés pour gonfler la pâte servant à préparer le pain. Toutefois, le levain est issu d’une fermentation naturelle. La levure, quant à elle, provient d’une fermentation alcoolique. De plus, le levain agit en douceur permettant au pain de conserver son arôme ce qui n’est pas le cas de la levure.

Quelle est la différence entre avocat et juriste ?

Quelle est la différence entre avocat et juriste ?

Pour agir dans le cadre de la loi, on peut avoir besoin aussi bien de l’avocat que du juriste. Cela entraîne une confusion entre ces deux corps de métier. Il est donc essentiel de se demander la différence qui existe entre eux.

L’avocat assure la défense de ses clients, plaide au tribunal, rédige des actes et donne des conseils juridiques à tout le monde. Le juriste quant à lui exerce en entreprise, ne plaide jamais au tribunal et ne donne des conseils juridiques qu’à l’entreprise qui l’emploie. La lecture de cet article vous édifiera sur le sujet.

Quelle est la différence entre avocat et juriste ?

L’avocat assure la défense de ses clients, plaide au tribunal, rédige des actes et donne des conseils juridiques à tout le monde. Le juriste quant à lui exerce en entreprise, ne plaide jamais au tribunal et ne donne des conseils juridiques qu’à l’entreprise qui l’emploie. La lecture de cet article vous édifiera sur le sujet. 

Un Avocat c’est quoi ?

Le rêve de nombreux étudiants en Droit est de devenir avocat. Mais qu’est-ce réellement un avocat ? Pour faire simple, un avocat est un auxiliaire de justice. Indépendant, il peut exercer sa profession de diverses manières. Ainsi, il peut être :

  • À titre individuel ;
  • Au sein d’une association ;
  • Dans une société civile professionnelle ;
  • En exercice libéral ;
  • En qualité de salarié ;
  • En qualité de collaborateur libéral d’un avocat, d’une association ou société d’avocats.

L’avocat, généralement, se porte comme assistant et défenseur de ses clients dans tous les domaines de la vie. Ses clients peuvent être des particuliers ou des entreprises.

Notez bien qu’un avocat ne fait pas que plaider. Il peut également conseiller sur des questions relevant du domaine juridique, en dehors de tous contentieux.

Concernant les missions de l’avocat, elles se résument à la protection et à la défense des intérêts de son client, qu’il soit un particulier, une entreprise ou même une association. Ce professionnel assure ainsi plusieurs rôles.

Le rôle de conseil est l’un des plus importants. Grâce à cela, l’avocat conseille à travers des consultations juridiques. Aussi, il peut rédiger des contrats, des statuts, des actes sous seing privé ou même résoudre des conflits à l’amiable.

L’avocat a ensuite un rôle de certification. C’est une prérogative lui permettant de contresigner des actes, ce qui atteste qu’il a conseillé sur les conséquences de l’acte et engage sa responsabilité. En rédigeant un acte juridique, l’avocat s’assure de sa validité ainsi que de sa pleine efficacité.

Le dernier rôle concerne la représentation. Il s’agit de la capacité à accomplir les différentes formalités du procès au nom du client et à plaider au tribunal.

La réglementation de la profession d’avocat est organisée et soumise à des règles professionnelles et déontologiques. De ce fait, tout avocat qui prête serment se doit de respecter certains principes.

En premier lieu, il y a le principe d’indépendance. Il garantit que les conseils donnés par un avocat ne seront pas dictés par un intérêt personnel ou par une pression extérieure.

Ensuite, vous avez le principe de loyauté. Ce dernier fait que l’avocat n’a pas le pouvoir de conseiller ou de défendre des parties dont les intérêts s’opposent.

Le principe de confidentialité, quant à lui, couvre les communications verbales ou écrites entre l’avocat et son client. Dans le même cadre, le respect du secret professionnel interdit la divulgation par l’avocat à un tiers des confidences ou secrets reçus de ses clients. Cette interdiction est générale, illimitée et concerne tous les domaines d’intervention de l’avocat.

Pour devenir avocat, il faut déjà avoir un Master 1 (Bac +4) ou un Master 2 (Bac +5) en Droit. C’est la condition préalable pour se présenter à l’examen d’entrée au Centre Régional de Formation Professionnelle d’Avocats (CRFPA).

Là, il faudra suivre une formation de 18 mois au terme duquel l’élève avocat pourra se présenter au Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat (CAPA).

Une fois réussi cet examen, l’élève avocat prête serment et devient avocat.

Et les Juristes alors ?

Le juriste exerce sa profession en exécution d’un contrat de travail. Il peut être dans une entreprise ou un groupe d’entreprises.

Dans l’exercice de sa fonction, le juriste peut, au profit de son entreprise ou du groupe d’entreprises auquel il appartient, donner des consultations juridiques. Il a également la possibilité de régler des actes sous seing privé concernant l’activité de ces entreprises.

La mission du juriste consiste essentiellement à protéger les intérêts de la société qui l’emploie. Il s’occupe notamment des domaines contractuels, commerciaux, fiscaux, sociaux et patrimoniaux. Le contrat qui lie le juriste à son entreprise l’oblige à conseiller uniquement cette dernière.

S’agissant de la réglementation de la profession de juriste, elle est inexistante. À part celles définies par l’entreprise, aucune règle ne permet d’encadrer ce corps de métier.

Du fait de l’inexistence de la réglementation, il n’y a pas d’obligation de secret professionnel ou d’indépendance. Aussi, en cas de litiges, les autorités judiciaires ont le pouvoir de saisir tous les dossiers, documents et correspondances du juriste. Pour finir, ce professionnel n’a aucune obligation de souscrire à une assurance de responsabilité professionnelle.

De façon générale, les postes de juriste sont occupés par des professionnels ayant un Bac +5 en Droit. Les branches du Droit qui sont souvent demandées sont le Droit des affaires, le Droit fiscal, le Droit de la propriété intellectuelle et le Droit social.

Les différences entre avocat et juriste

Le juriste et l’avocat font tous deux des études en Droit. Pour cela, une confusion existe entre ces deux corps de métier. Pourtant, de nombreux points les différencient.

On observe trois différences principales entre l’avocat et le juriste. Elles ont rapport à la compétence, à la réglementation et à la responsabilité.

En ce qui concerne la compétence, l’avocat peut conseiller et faire la rédaction d’actes pour tout le monde. À l’inverse, le juriste ne peut donner des conseils juridiques et rédiger des actes que pour l’entreprise qui l’emploie.

Au niveau de la réglementation, la profession d’avocat est réglementée et régie par la loi. Il existe donc des principes auxquels le professionnel est soumis.

Au contraire, la profession de juriste n’a aucune réglementation autre que celle établie par l’entreprise employeur.

Enfin, la dernière différence concerne la responsabilité. Le travail de l’avocat étant soumis au secret professionnel, il peut être tenu responsable. Par contre, le juriste n’est tenu par aucune responsabilité même en cas de mauvais conseils.

En résumé, l’avocat est :

  • Compétent pour conseiller et rédiger des actes juridiques pour tout le monde.
  • Responsable des conseils juridiques qu’il prodigue ainsi que des secrets reçus de ses clients.
  • Réglementé par des dispositions légales.

Par contre, le juriste n’est :

  • Compétant qu’envers la société qui l’emploie.
  • Pas responsable en cas de mauvais conseils.
  • Pas réglementé par la loi. 

Qu’en est-il de la conception du droit et du salaire de l’avocat et du juriste ?

Quelle est la conception du droit pour un avocat et pour un juriste ? L’avocat est généralement l’artisan du droit, donc il en fait un métier. Par contre, le juriste conçoit le droit comme une science et devient de ce fait un théoricien.

Quelle est la différence de salaire entre un avocat et un juriste ? Cette réponse dépend de l’expérience du professionnel. Toutefois, le salaire mensuel moyen de l’avocat est de 7 605 € et de 4 500 € pour le juriste.

La différence entre l’avocat et le juriste se situe à de nombreux endroits. Il y a notamment la compétence, la responsabilité, la réglementation, la conception du droit, le salaire, le parcours professionnel…

 

Quelle est la différence entre Android et Smartphone ?

Quelle est la différence entre Android et Smartphone ?

Dans l’univers des téléphones portables, deux notions arrivent très souvent : Android et Smartphone. Du fait qu’elles concernent directement ces petits supports connectés qu’on apprécie tant, il serait bien de se demander les points sur lesquels elles diffèrent.

Android est en réalité le nom d’un système d’exploitation développé par Google et assurant la gestion logicielle de nombreux téléphones. Le smartphone est quant à lui le nom donné à tous les mobiles intelligents. Si vous voulez plus d’explications, suivez-nous.

Quelle est la différence entre Android et Smartphone ?

Android est en réalité le nom d’un système d’exploitation développé par Google et assurant la gestion logicielle de nombreux téléphones. Le smartphone est quant à lui le nom donné à tous les mobiles intelligents qui peuvent être fabriqués par toutes les marques. Si vous voulez plus d’explications, suivez-nous. 

Tout comprendre sur Android

Aujourd’hui, lorsqu’il est question de téléphone mobile, le terme Android revient fréquemment. Il s’agit en réalité d’un système d’exploitation disponible sur mobile fondé sur le noyau Linux.

Si vous ne le savez pas, un système d’exploitation est un logiciel, qui dans un appareil électronique, pilote les dispositifs matériels et reçoit des instructions de l’utilisateur ou d’autres logiciels.

Ce système est développé et rendu célèbre par Google. Pour remonter dans le temps, il faut dire que c’est au cours de l’année 2007 que la toute première version du système Android a été publiée.

Un an plus tard, c’est-à-dire en 2008, voyait le jour le premier téléphone doté de ce système.

Au moment où Steve Jobs, le fondateur d’Apple travaillait sur l’iPhone, un projet open source, Android aujourd’hui, était également en cours de développement.

Seulement, les membres du projet étaient limités, étant donné le manque d’investissement.

Courant 2005, Google procède au rachat d’Android Inc pour la somme de 50 millions de dollars. À partir de cet instant, le projet prit une tout autre tournure. La société Google a noué des partenariats avec les plus grands fabricants de téléphones au monde.

Il y avait notamment Samsung, Motorola, HTC…

Outre les entreprises de fabrication de téléphones, le projet était étendu aux entreprises spécialisées dans la construction de puces informatiques et de technologies sans fil. C’est de ces collaborations qu’est né la « Open Handset Alliance » permettant la commercialisation de la première version du système Android bien connu désormais.

Pour rappel, Google a été fondé en 1998. Sa notoriété provenait surtout de son moteur de recherche. Afin d’investir dans des sociétés complémentaires et ainsi, garantir son développement, les fondateurs de Google ont effectué en 2005 une levée de fond public.

Ceci a permis de récupérer plus de 4 milliards de dollars.

C’est avec ces fonds qu’ils ont racheté la même année Android dans l’objectif de conquérir l’industrie de la téléphonie mobile qui était en pleine expansion.

Actuellement, il est possible de dire que cette aventure a été un réel succès, au niveau logiciel en tout cas.

Google gagne beaucoup d’argent avec Android. En effet, ses applications sont installées par défaut à travers Google Apps. De plus, elle gagne une commission toutes les fois où quelque chose est acheté sur Play Store.

Concernant la partie matérielle, Google n’a pas su s’imposer. L’iPhone étant sorti trop tôt, dès 2007, ils n’étaient absolument pas préparés à concourir avec Apple.

Des années plus tard, le fossé est toujours aussi grand.

Pour en revenir au système d’exploitation Android, le succès a été énorme. En général, il n’existe que deux systèmes d’exploitation pour les téléphones portables : Android et iOS. Ce dernier est celui retrouvé sur les iPhone d’Apple.

Le système d’exploitation Android couvre actuellement environ 72 % des parts du marché. Ce succès s’explique par le fait que tous les fabricants à l’exception d’Apple dotent leur téléphone d’Android.

De ce fait, si vous n’avez pas d’iPhone, vous êtes sur Android.

La majorité des applications sont disponibles sur Android. Les constructeurs testant directement leurs produits pour Android, le matériel est parfaitement supporté. Il n’y a donc généralement aucun problème, comme cela peut être le cas avec le système open source d’un ordinateur.

Les problèmes sont réglés entre le fabricant et le développeur. L’utilisateur n’a plus aucun souci à se faire.

Smartphone : explications complètes

Le smartphone est, pour faire simple, un téléphone intelligent. Il dispose généralement d’un écran tactile, d’un appareil photo numérique, de fonctions d’assistant numérique personnel et de quelques fonctions disponibles sur ordinateur portable.

Avant, les téléphones ne permettaient pas de se connecter à Internet. Aussi, ils n’avaient pas d’écran tactile. Le smartphone constitue donc une réelle révolution dans le domaine.

Son succès est tel qu’aujourd’hui 99 % des téléphones portables sont des smartphones.

Actuellement, il existe de nombreux fabricants de smartphones, mais trois dominent le marché. Vous avez Samsung avec sa série Galaxy. Il est suivi de Huawei avec pour best-seller le P40 Pro. Apple ferme la marche avec son nouveau bébé, l’iPhone 12.

De nombreuses autres marques essaient de se frayer un chemin dans cet univers. Il y a Sony, Xiaomi ou encore BlackBerry. Le smartphone est donc un type de produit que peuvent fabriquer toutes les marques high-tech.

Les points de différences entre Android et Smartphone

Du fait qu’Android et Smartphone se rapportent au téléphone portable, beaucoup se demandent la différence existant entre ces deux termes. Il faut dire qu’ils se différencient au niveau du sens et de la marque.

Concernant le sens, smartphone est un nom donné à tout portable intelligent, peu importe la marque et ses caractéristiques.

Android, par contre, est un nom attribué à un système d’exploitation utilisé par la plupart des smartphones.

Au niveau de la marque, Android appartient à Google. Par conséquent, un autre système d’exploitation devra utiliser un nom différent, mais peut fonctionner sur les smartphones. À l’inverse, un smartphone est donné à tous les téléphones mobiles intelligents. Toutes les marques peuvent donc fabriquer leur propre smartphone.

Pour résumer, les points de différences entre Android et Samsung sont les suivants :

Android

  •  C’est un système d’exploitation.
  • Il peut être utilisé par tous les smartphones à l’exception des iPhone.

Smartphone

  • C’est un nom qui peut être attribué à tous les téléphones intelligents.
  • Toutes les marques peuvent en fabriquer.

Qu’en est-il de l’utilisation des mots Android et Smartphone dans l’univers des ordinateurs ?

Android et Smartphone touchent le monde des téléphones, mais certains se demandent si les notions peuvent être utilisées pour les ordinateurs. Eh bien, la réponse est négative. Les deux termes ont une portée seulement avec les téléphones.

Toutefois, Android est un système d’exploitation. Ce dernier pouvant apparaître dans les débats sur les ordinateurs, il faut donc savoir faire la part de choses.

La différence entre Android et Smartphone se situe à deux niveaux : le sens et la marque.

Au niveau du sens, Android est un système d’exploitation que peut utiliser la majorité des smartphones. Le smartphone est, lui, un téléphone portable intelligent.

Concernant la marque, Android est la propriété de Google. Le smartphone, inversement, n’appartient à aucune marque particulière.

Quelle est la différence entre un melon et une pastèque ?

Quelle est la différence entre un melon et une pastèque ?

Fruits exotiques par nature, le melon et la pastèque sont dotés de plusieurs vertus. Ces vertus varient d’un fruit à un autre. S’ils sont donc des fruits de la même espèce, ils se singularisent à travers différents éléments, dont leurs vertus. Il est donc important de différencier chacun de ces fruits pour mieux bénéficier de leurs bienfaits. Découvrez donc dans cet article les points de distinctions existants entre le melon et la pastèque.

Quelle est la différence entre un melon et une pastèque ?

La différence entre les deux fruits ressort de leur composition. En effet, le melon est un fruit riche en eau et moyennement calorique. Quant à la pastèque, elle est moins calorique que le melon. Aussi, sa teneur en minéraux est moins élevée que celle du melon.

Le melon : que faut-il savoir ?

Le melon est issu d’une plante rampante et cultivée dans le milieu chaud et assez lumineux. Cette plante donne des fleurs qui sont à l’origine du melon.

La culture du melon nécessite beaucoup d’eau et il est recommandé de pratiquer un arrosage à la base du pied pour éviter de mouiller les fruits de l’arbre.

Le melon est un fruit de forme ronde ou ovale, à peau verte à jaune ou brun et dont la chair est sucrée, parfumée et orangée. De cette définition, nous avons des indications sur la forme, la couleur, et le gout du fruit.

Concernant l’aspect du melon, il découle de la définition qu’il s’agit d’un fruit à la peau verte, rarement lisse. Notons également que le fruit mûr est jaune.

Le melon contient une grande quantité de pépins surtout au niveau du centre comme la plupart des fruits. De plus, la pulpe du fruit à la peau verte. Dans le commerce, les melons ont en général un diamètre de 10 cm et un poids qui varie entre 500 g et 3 kg. Toutefois, la taille du melon peut aussi dépendre de sa variété et de sa forme.

Par ailleurs, le melon existe sous plusieurs variétés suivant son aspect ou sa région d’origine. Les variétés les plus connues sont :

  • Le melon cantalou : c’est la variété la plus consommée et la plus répandue au niveau des commerces.
  • Le petit gris de Rennes : comme son nom l’indique, il s’agit d’un melon assez petit. En effet, son poids ne dépasse pas 1 kg. Concernant sa peau, elle est plutôt lisse et de couleur vert foncé.
  • Le melon brodé : il tire son nom de son apparence brodée
  • Le melon honeydew : il provient du Maghreb et présente plusieurs traits caractéristiques. En effet, sa peau est entièrement lisse contrairement aux autres variétés et sa chair est particulièrement verte.
  • Le vert olive d’hiver : il s’agit d’un fruit de forme ovale dont la chair blanche est juteuse et fruitées. Il peut se conserver en serre froide ou en cellier.
  • Le galia : il est parfumé, sucré et dispose d’une peau épaisse et torturée

Cette liste n’est pas exhaustive, car il existe plusieurs variétés de melon, mais nous avons juste fait allusion aux plus représentatifs.

Aussi, le melon se compose en grande quantité d’eau soit à 90 %. Outre, l’eau, il contient 6 % de sucre et 1 % de protéines.

Ainsi, il apporte peu de fibre à votre organisme et il est pauvre en graisse et en calories. Il est également riche en minéraux et en oligo-éléments. Il est donc très recommandé pour votre santé.

Son apport en vitamines est également élevé, car il contient la vitamine A et C. Vous pouvez consommer ce fruit de manière très simple, en optant pour des morceaux crus, de tailles et de formes diverses.

Il peut par exemple être accompagné de salade, de jambon cru ou encore de viande ou de soupe froide.

La pastèque : que faut-il savoir ?

La pastèque ou encore melon d’eau, est un gros fruit dont la chair est rose et très aqueuse. Il est très rafraichissant comme fruit et il vous permet de vous désaltérer.

La pastèque possède des caractéristiques qui lui sont propres. En effet, la peau de la pastèque est particulièrement zébrée avec plusieurs teintes. Sa chair quant à elle est de couleur rose et elle contient également des pépins.

Étant un fruit de grande taille, on peut estimer son diamètre à 30 cm ou 60 cm. Son poids quant à lui varie entre 3 et 4 kg.

La pastèque est un fruit qui existe avec plusieurs variétés, mais les plus représentatives sont :

  • La fashion : elle est la résultante d’un croisement de plusieurs espèces réalisé par l’homme. C’est la seule variété qui ne dispose pas de pépins en son sein.
  • La gigérine : elle est idéale pour réaliser des confitures. Toutefois, elle ne peut être consommée crue.
  • La orangegio : elle tire son nom de la couleur rose de sa chair. Cette caractéristique fait également toute son originalité.

Comme nous le précisons, cette liste n’est pas exhaustive, car le monde regorge de plusieurs espèces. En outre, nous vous recommandons de consommer sans modération la pastèque, car il s’agit d’un fruit faible en calorie. Il est également très riche en vitamines A, B et C.

Par ailleurs,

Précisons que la pastèque est un fruit très désaltérant et qui doit être consommé en été. Il peut servir d’entrée ou de dessert. Aussi, vous pouvez la prendre crue, coupée en tranches fines ou encore vous la consommer comme un jus de fruits. La salade de fruits ou le sorbet est aussi une possibilité qu’offre la pastèque.

Quelle est la différence entre la pastèque et le melon ?

Plusieurs aspects permettent de distinguer ces deux fruits. Nous allons parler des points de différence les plus remarquables.

  • Dimension

En observant ces deux fruits, on remarque entre eux une grande différence de taille. En effet, le melon peut tenir facilement dans une main alors que la pastèque est plus grosse avec en général un poids de 3 kg et un diamètre de 20 cm.

  • La couleur et l’aspect

Outre la taille, ces deux fruits diffèrent de par leur couleur car, la pastèque est de couleur verte foncée avec une peau plutôt lisse. Sa chair peut être rose ou rouge éclatant. A contrario, le melon a, une chair dont la couleur vire vers l’orange et sa peau contient des rugosités.

  • Le vocabulaire

La pastèque est qualifiée de melon d’eau, ce qui pourrait semer une confusion. Toutefois, les deux notions sont différentes.

Il existe 3 points de distinction entre la pastèque et le melon :

  • Le vocabulaire
  • La couleur et l’aspect
  • Les dimensions

Quel est le rôle de la pastèque et du melon dans le domaine de la santé ?

Grâce à leur composition riche en vitamines, en minéraux et en antioxydant, ces deux fruits participent à guérir plusieurs maladies. En effet, ils protègent des cancers et des maladies cardiaques et luttent aussi contre l’hypertension artérielle responsable du durcissement des artères.

Sur le plan diététique, il est fortement conseillé de consommer la pastèque et le melon pour faciliter entre autres la digestion.

Vous aurez dû le comprendre, le melon et la pastèque ont plusieurs points de ressemblance. Ces derniers ont rapport au gout, à la composition à la culture et à la consommation. Toutefois, quelques particularités ont été relevées notamment au niveau de la dimension.