Le hub et le switch sont très utilisés dans la mise en place d’un réseau Ethernet. Cependant, connaissez-vous la différence entre hub et switch ?

Ces deux équipements informatiques sont très souvent confondus par de nombreuses personnes.

Quelle est la différence entre hub et switch ?

Le hub reconnu comme étant le concentrateur et le switch ou encore appelé commutateur, jouent des rôles bien distincts dans un réseau informatique.

Découvrez dans la suite de cet article, la différence entre hub et switch ainsi que leurs principes de fonctionnement.

D’où vient la nécessité d’utiliser le hub et le switch ?

De nos jours, pour relier les ordinateurs, la plupart des entreprises optent pour la box internet. Cependant, utiliser une box n’est pas toujours très fiable.

Ainsi, d’autres entreprises préfèrent utiliser des équipements tels que le hub ou le switch pour mettre leurs ordinateurs en réseau.

Différence entre hub et switch

Il existe plusieurs points qui différencient le hub et le switch.

Le hub

Qu’est-ce que le switch ?

Le switch quant à lui est traduit en français comme étant « commutateur ». C’est un appareil qui permet de relier plusieurs fragments de réseau informatique entre eux. Cet équipement fonctionne comme un pont de liaison.

Les particularités physiques du hub

Il contient plusieurs entrées permettant de relier les différentes machines entre elles, tout en établissant une communication de qualité. Le hub possède :

• Une couche physique (couche 1 du modèle OSI) permettant de voir à l’œil nu, les différents segments de liaison.
• Des ports ou entrées allant de 4 à 12 ports.

Les particularités fonctionnelles du hub

Le hub possède des modes de fonctionnement particulier permettant de le différencier du switch.

• Il présente trois types de transmissions qui sont : l’inondation de trame, la diffusion ou multicast et l’unicast.
• Le hub est un dispositif non intelligent. Ici, lorsqu’une personne envoie un message, tous les membres du réseau le reçoivent instantanément. De ce fait, le hub utilise le « store and forwarding » lorsqu’il reçoit un paquet de données.
• Il est utilisé principalement dans les réseaux informatiques de type LAN.
• Le concentrateur fonctionne à l’aide du mode de transmission semi duplex.
• Il peut fournir une vitesse de 10 Mbps au maximum.
• Le hub n’est capable que de transmettre des signaux électriques ou des bits.

Le concentrateur est donc considéré comme étant la centrale de transmission des données informatiques. Pour cela, il reste très important dans la liaison entre les lignes de correspondance.

Le switch

Qu’est-ce que le hub ?

Le hub est un mot anglais qui en français est traduit par : « concentrateur ». Le concentrateur est donc défini dans le cadre de l’informatique, comme étant un appareil reliant plusieurs machines. Il a pour rôle de concentrer les données afin de les transmettre dans un seul canal.

Le switch ou commutateur réseau est un équipement informatique qui permet de relier plusieurs segments dans un réseau informatique. Cet équipement informatique permet de créer des circuits virtuels durant son fonctionnement. C’est un équipement intelligent qui est capable de déterminer sur quel port exactement envoyer une trame.

Il se base sur l’adresse de destination d’une trame pour pouvoir délivrer les messages aux machines concernées.

Les particularités physiques du switch

C’est un appareil efficace pour limiter les collisions durant la transmission de paquets.

• Le switch agit principalement sur les 2 premières couches du modèle OSI.
• Il possède généralement plusieurs ports, soit entre 4 et 48 ports ;

Les particularités fonctionnelles du switch

Voici lespoints essentiels qui font sa particularité :

• Il a une couche de liaison de données : c’est comme une sorte de joint qui relie les différents fragments entre eux.
• Son dispositif est très intelligent : c’est-à-dire qu’il n’a aucunement besoin de l’intervention de l’homme pour fonctionner ;
• Il autorise la connexion à plusieurs appareils ;
• Le switch gère le port et les paramètres de sécurité du LAN ;
• Il a un modèle de transmission de données en trames et en paquets ;
• La vitesse de transmission du signal est de 10/100 Mbps à 1Gbps ;
• La transmission se fait sous forme de diffusion, par unicast ou encore par multicast selon les besoins ;
• Il utilise comme réseau informatique le LAN ;
• Le switch a un mode de transmission semi-duplex ou encore duplex intégral ;
• L’adresse utilisée pour la transmission des données est le MAC ;

Le commutateur est donc un pont de liaison qui établit la communication entre plusieurs appareils par l’intermédiaire des signaux informatiques. Il est indispensable dans une centrale informatique.

Modes de fonctionnement et d’utilisation du hub et du switch

Le hub

Il s’agit d’un équipement informatique mettant en relief plusieurs machines dites ordinateurs en communication. Pour cela, il fonctionne comme une centrale qui distribue le message entre les différentes machines comprises dans son réseau.

Cependant si nous prenons par exemple le cas de 4 ordinateurs liés entre eux par un hub, si l’un d’entre eux veut transmettre le message au concentrateur, lui en retour va retransmettre le message à tous les autres machines liées au même réseau. Le concentrateur fonctionne donc comme une centrale de retransmission.

Le concentrateur n’est pratiquement plus utilisé de nos jours. En effet, la retransmission du message à d’autres ordinateurs à chaque fois crée une saturation du réseau par des inutilités et génère une diminution de débits.

Le switch

C’est un appareil qui permet l’interconnexion de plusieurs machines encore appelées ordinateurs. Il fonctionne comme un opérateur qui filtre les données reçues avant de les retransmettre au destinateur prévu.

Ainsi, nous prenons par exemple le cas de 4 machines reliées entre elles par un commutateur. Si l’une des machines veut envoyer le message à une autre machine, le commutateur est chargé de lire l’entête du message et le retransmettre au destinataire exact.

Que devez-vous choisir pour votre réseau : le hub ou le switch ?

Le hub est un répéteur physique, c’est-à-dire qu’il est incapable de choisir le destinataire précis d’une trame. Il se contente juste de l’acheminer à tous les équipements d’un réseau.

Son utilisation entraine une surcharge du réseau et de nombreuses collisions.

D’un autre côté, le switch est un équipement qui permet de faire une diffusion intelligente. Cet équipement est capable de choisir le destinataire exact d’une trame. Ce qui fluidifiera le trafic dans votre réseau informatique.

Le commutateur ou switch est donc l’équipement le plus utilisé de nos jours, car plus de 90 % de réseau sont reliés par ce dernier. Ainsi plusieurs switchs peuvent être utilisés sur un même réseau. Il vous suffit tout simplement de les relier entre eux par des câbles grâce au commutateur.

Le hub et le switch sont tous deux, des centrales d’établissement de réseau entre plusieurs machines informatiques. Malgré qu’ils aient des dénominations différentes, le concentrateur ou encore le hub et commutateur ou switch ont tous deux le même objectif. Il s’agit de la retransmission des données entre plusieurs ordinateurs.

Voici ainsi présenter la différence entre hub et switch. Il en ressort que le switch est l’équipement approprié pour l’établissement d’un réseau de qualité. Néanmoins, il existe d’autres équipements permettant une interconnexion entre plusieurs ordinateurs comme par exemple le routeur, le modem, etc.

Il vous arrive parfois de confondre entre sphère et boule ? Après plusieurs interrogations faites, nous nous sommes rendus compte que petits comme grands confondent ces deux notions. Raison pour laquelle, nous vous dévoilons dans cet article en détail, la différence entre sphère et boule.

Quelle est la différence entre Sphère et Boule ?

Tout d’abord, la sphère est reconnue comme étant un objet vide ou une surface semblable à un ballon de basketball ou à une balle de ping-pong. D’un autre côté, la boule est un objet plein ou un volume tout comme une planète ou une boule de pétanque.

La sphère

Qu’est-ce que la sphère ?

La sphère est définie comme étant une surface fermée ayant des points à la même distance (rayon) d’un point intérieur. Elle est également définie comme étant un solide qui est limité par la surface précédente.

Contrairement à la boule, elle ne contient aucun point à l’intérieur du rayon, elle est pratiquement vide. Pour être plus précis, il s’agit d’un cercle en 3D.

Exemples concrets de sphère

Vous ne savez pas à quoi correspond une sphère dans la vie de tous les jours ? Voici des exemples concrets pour vous aider à distinguer une sphère des autres objets :

• Une bulle de savon parfaitement ronde représente très bien une sphère. Son intérieur est vide et elle ressemble à une balle de ping-pong.
• Les ballons de basketball, volley, foot et bien d’autres.
• Une balle de tennis, excepté ses rainures ;
• Etc.

Quels sont les principaux calculs liés à la sphère ?

Quand on parle de calculs sur la sphère, vous vous rappelez de votre cours de mathématiques en 3^e sur « les sphères et les boules » ? Vous avez bien raison !

Nous vous présentons quelques formules à retenir concernant les sphères. Mais avant tout, veuillez-vous rappeler du nombre Pi (π). Il s’agit d’une constante mathématique qui permet d’indiquer le rapport entre la conférence d’un cercle et son diamètre.

Pi sera utilisé durant ces articles, pour calculer à plusieurs reprises les surfaces et volumes de la sphère et de la boule.

Il est également nécessaire pour vous de vous fournir une calculatrice pour les calculs. On se prépare à de la vraie mathématique quand même 🙂 !

Non, loin de là, la calculatrice vous permettra juste d’utiliser la véritable valeur de Pi. A défaut de l’utiliser, vous pourrez utiliser sa valeur arrondie, soit 3,1415.

Calcul du périmètre

Qu’il s’agisse d’une sphère, d’une boule ou d’un cercle, le périmètre est le même. Après tout, la sphère est un cercle 3D. De ce fait, son périmètre est donné par la formule :

P = 2πr

Ici P est le périmètre, π est une constante et r est la taille du rayon ou encore la distance qui sépare le centre du bord de la sphère, encore connue sous le nom de démi-diamètre.

Calcul de la surface

Ça commence à être sérieux n’est-ce pas? 😂

Bon, allons-y ! La formule de l’aire d’une sphère est :

A=4πr²

Ça vous revient déjà ? Super !

L’aire d’une sphère n’est donc que le rayon au carré multiplié par 4π.

En exemple, calculons l’aire de la terre. En rappel, la terre possède un rayon de 6371 km.

Sa surface est donc : 4 * π * (6371×6371) = 510 millions de kilomètres carrés

C’est un chiffre pas mal impressionnant quand même !

Qu’en est-il de la boule ?

La boule

Qu’est-ce qu’une boule ?

La boule est tout simplement une sphère pleine ou tout simplement, une sphère remplie de matière.

Vous ne vous retrouvez toujours pas ? Prenons quelques exemples concrets de boule.

Exemples concrets de boule :

• Des planètes telles que la terre sont des sphères. Tout simplement parce que la terre est remplie de matière.
• Les fruits arrondis tels que les oranges, les pommes, etc. Chacun de ces fruits ont une matière qui les remplit.
• La boule de pétanque ;
• Des billes ;
• Une boule de neige.

Facile, n’est-ce pas ? 😂

Vous avez bien raison !

Quelques calculs sur la boule

Sphère comme boule, nous l’avons déjà vu, elles sont semblables au niveau des calculs. De ce fait, le périmètre et la surface de la boule se calculent donc de la même façon que celui de la sphère.

Cependant, précisément pour la boule, nous pouvons calculer le volume.

Calcul du volume de la boule

La formule du volume d’une boule est définie comme suit :

 V = 4/3 π r³

En récapitulatif, pour obtenir le volume d’une boule, il faut multiplier le cube du rayon par 4/3 de π. Toutefois, le résultat obtenu est noté en centimètres cube (pour un rayon en cm) et en millimètres cube (pour un rayon en mm).

Après tous ces calculs, quelle est la véritable différence entre sphère et boule ?

Différence entre sphère et boule

Nous vous avons préparé les points les plus essentiels pour vous permettre d’établir rapidement et efficacement la différence entre sphère et boule :

• La sphère est un objet vide tandis que la boule est un objet plein d’une matière quelconque.
• L’on peut calculer le volume de la boule tandis qu’on ne peut pas calculer le volume d’une sphère.
• Sphère et boule possède des exemples différents. Soit ballon de foot ou de basketball pour la sphère et boule de neige pour boule.

Comment dessiner une sphère et une boule ?

La sphère

Dessiner la sphère n’est pas très évident, raison pour laquelle, nous allons vous présenter son tracé en 2D.

Pour cela, il vous faut vous servir d’un compas pour dessiner le 1^er cercle. Par la suite, il vous faudra dessiner à l’intérieur de ce 1^er cercle, un ellipse dont tous les points seront internes au 1^er cercle, mais dont les bords doivent toucher le 1^er cercle.

La boule

Son dessin est plus facile. Servez-vous d’un compas, puis ajoutez l’effet de profondeur au cercle en y ajoutant une demi-ellipse pointillée courbée vers l’arrière de la boule. Terminer votre dessin en ajoutant une autre demi-ellipse de trait plein, cette fois-ci courbée vers l’avant.

Voilà ainsi présenté, la différence entre sphère et boule. Vous pouvez désormais reconnaitre chacun d’eux et établir des différences concrètes.

L’avènement de l’informatique a permis une facilitation dans la gestion de nos activités quotidiennes. Parmi les équipements informatiques les plus importants, l’ordinateur est devenu pour nous, un outil indispensable et irremplaçable.

Il guide nos pas et nous aide à résoudre de nombreux problèmes. Toutefois, l’utilisation d’un ordinateur portable nécessite bien avant tout, une installation d’un SE ou Système d’Exploitation. En dehors du célèbre système d’exploitation Windows, il y a les systèmes d’exploitation basés sur LINUX, dont UBUNTU et DEBIAN. Parvenez-vous à faire la différence entre UBUNTU et DEBIAN ?

Aujourd’hui nous allons apporter des réponses à ces questions qui ont longtemps taraudées votre esprit.

Ce qu’il vous faut savoir !

Le système d’exploitation (SE) ou Operating System en anglais (OS) est l’ensemble des programmes qui permet de piloter les différents composants de l’appareil informatique afin de faire fonctionner un ordinateur.

Parmi les SE existants, le SE utilisé pour coder UBUNTU et DEBIAN est LINUX.

LINUX est un noyau de système d’exploitation, c’est-à-dire le cœur du système d’exploitation mais qui ne sert pas à grand-chose tout seul. Il est donc généralement accompagné d’un ensemble de drivers, de packages et de logiciels afin de former une distribution, c’est-à-dire un système d’exploitation complet.

Il existe actuellement des centaines de distributions LINUX. Toutefois, nous nous appesantirons sur les distributions UBUNTU et DEBIAN.

UBUNTU

UBUNTU est l’une des distributions plutôt récentes de l’histoire de LINUX puisque la première version a été publiée en 2004. L’objectif de la création d’UBUNTU était de rendre LINUX plus facile d’accès au grand public. UBUNTU est basé sur la branche UNSTABLE de DEBIAN.

UBUNTU est créé par un ancien développeur de DEBIAN, le sud-africain Mark SHUTTLEWORTH.

Comment a été développé Ubuntu ?

UBUNTU dispose d’un cycle de développement assez court avec une version majeure tous les six mois. Cela permet d’avoir toutes les dernières versions de logiciels et de pilotes mais cela peut également créer un peu d’instabilité.

Tous les deux ans, une nouvelle version d’UBUNTU avec support à long terme (LTS) est disponible. Ubuntu crée principalement cette version afin d’améliorer les versions précédentes en proposant des versions plus stables pour les entreprises.

UBUNTU est actuellement la distribution de LINUX la plus utilisée dans le monde notamment sur les ordinateurs personnels. Il existe également des versions sans interface graphique pour les serveurs.

UBUNTU est souvent privilégié sur les systèmes d’exploitation très récents de LINUX de par sa grande compatibilité et sa base de données de pilotes toujours à jour.

DEBIAN

La toute première version de DEBIAN a vu le jour en 1993. Son nom a été inspiré de celui de son créateur (Ian MURDOCK) et de celui de sa femme (DEBRA).  Après sa création en 1993, douze autres versions majeures de ce SE ont déjà vu le jour.

DEBIAN dispose d’une organisation assez remarquable, qui est à la fois démocratique et communautaire. DEBIAN n’est pas une société, mais plutôt un regroupement fait de développeurs indépendants qui coopèrent pour le développement de la distribution.

Comment a été développé Debian ?

Le cycle de développement de DEBIAN est lent avec une mise à jour majeure tous les deux ans. En effet, DEBIAN n’inclut dans ses dépôts que des logiciels en version stable.

Il est vrai que Debian présente une grande stabilité mais malgré tout, il propose des logiciels légèrement dépassés.

DEBIAN existe en trois sous versions à savoir :

• Stable: il s’agit de la version principale. Elle a été non modifiée et vous ne pourrez qu’obtenir les mises à jour de sécurité grâce à elle.
• Testing: c’est la version future stable. Elle contient quelques mises à jour de paquet pour les plus stables d’entre eux.
• Unstable: il s’agit de la version possédant toutes les mises à jour.

Vous pouvez donc faire le choix entre stabilité et nouveauté en restant sur DEBIAN.

DEBIAN est une distribution comme les autres. Elle dispose d’une version de bureau avec  interface graphique (Gnome par défaut) et d’une version serveur.

De par sa grande stabilité, DEBIAN est une distribution à recommander pour les environnements de production. Ce n’est pas pour rien, qu’elle est majoritairement installée sur des serveurs.

Différence entre UBUNTU et DEBIAN

Les différences entre UBUNTU et DEBIAN sont nombreuses, voici les points les plus importants.

Organisation

DEBIAN est géré par un groupe collaboratif de développeurs venant des quatre coins du globe. Les membres de ce groupe sont principalement choisis par des élections. Après les élections, les lignes directives sont données par les « responsables élus ».

UBUNTU quant à lui est géré par une société et donc comme pour tout éditeur de logiciels, les nouveautés dépendent uniquement de ses dirigeants.

Mises à jour

UBUNTU propose les versions les plus récentes des logiciels. Ses applications sont pour la plupart relativement jeunes. Vous serez donc toujours à la pointe de la technologie avec  ce SE.

Sur DEBIAN, vous devriez être un peu plus patient Ce système d’exploitation possède jusqu’à deux ans de retard par rapport à Ubuntu. Toutefois, Debian propose des applications stables mais qui ne sont pas forcément les dernières versions.

Stabilité

DEBIAN est une distribution relativement stable de par son mode de fonctionnement. Elle est faite à base de paquets éprouvés puis passés par deux ou trois autres distributions de test avant d’être considérés comme adéquats pour être ajouté dans la version stable. Malgré tout, sur Debian, il y a très peu d’erreurs.

Tandis qu’avec Ubuntu, l’on rencontre parfois des bugs, en fonction des applications utilisées. A l’installation des nouvelles fonctionnalités, tout est généralement ok. Les bugs découlent généralement de mises à jour de certaines fonctionnalités.

Quelle distribution devez-vous choisir entre Ubuntu et Debian ?

La réponse à cette question dépendra exactement de vos besoins.

Cependant, si vous voulez mettre sur pied un serveur, il est préférable d’utiliser DEBIAN. Mais si vous avez besoin d’un système d’exploitation juste pour votre poste utilisateur, vous pourrez utiliser Ubuntu.

Toutefois, gardez à l’esprit si vous utilisez Ubuntu que vous devez faire des mises à jour majeures avant d’effectuer vos backups ou sauvegardes.

UBUNTU et DEBIAN sont deux distributions très populaires du système LINUX. Ces deux distributions offrent chacune des avantages et des inconvénients à ses utilisateurs. En fonction de l’utilisation qu’on veut en faire, on pourrait choisir l’une ou l’autre de ces distributions.

En définitive, il faut noter que DEBIAN est plus stable qu’UBUNTU. Pendant que Debian a une nouvelle sortie après deux ans, Ubuntu a une nouvelle version chaque six mois. Malgré toutes les idées reçues, Ubuntu est présentement la distribution Linux la plus utilisée à travers le monde, surtout pour les ordinateurs personnels.

Voici ainsi détaillé tout ce que vous devez savoir sur la différence entre Ubuntu et Debian.

Pouvez-vous établir la différence entre plancha et pierrade ? De nombreuses personnes utilisent chacun de ces ustensiles sans toutefois pouvoir les différencier.

Quelle est la différence entre plancha et pierrade ?

La plancha est un ustensile de cuisine très utilisé lors des barbecues en famille ou avec des amis. Elle permet de faire cuire la viande, le poisson et même les légumes. La pierrade est une sorte de pierre plate également utilisée comme ustensile de cuisine. Elle permet de faire cuire la viande et le poisson. Cet ustensile de cuisine est le plus utilisé dans les foyers pour faire des grillades rapidement.

Dans cet article, nous vous présentons de A à Z, la différence entre plancha et pierrade !

La plancha

C’est un appareil de cuisine comme beaucoup d’autres à l’instar de la cuisinière, à la seule différence qu’elle sert à faire des grillades. Elle a été inventée en Espagne avant 1970, mais a pris de l’ampleur en France et dans tout le monde entier. Cet appareil de cuisson sophistiqué est le plus utilisé de nos jours dans les cuisines voire même les jardins.

Elle permet de faire cuire les aliments tels que le poisson, la viande et même les légumes. Les aliments sont cuits sous forme de grillade. Cet appareil est constitué d’un ensemble d’éléments modernes qui permet de faire cuire une grande quantité d’aliments même lors des événements entre amis ou encore en famille.

Fonctionnement

Il existe plusieurs types de plancha. Mais peu importe le type que vous choisirez, le fonctionnement est le même. La plaque doit être chauffée jusqu’à 240 °C.

Grâce à la cuisson sur plancha, vos aliments ne seront plus brûlés comme avec le barbecue. De plus, ce mode de cuisson est idéal pour conserver les valeurs nutritionnelles de vos aliments et surtout leurs saveurs.

Sur la plancha, vous pourrez préparer tout type d’aliments généralement cuisinés à la poêle. Ainsi, vous pourrez y préparer vos viandes en tranches (steaks, escalopes, filets, …) ou des légumes (champignons, courgettes, …).

Les différents types de planchas et leurs fonctionnements

Il existe deux types de planchas dont la matière varie d’un fabriquant à un autre. Ainsi nous pouvons citer :

• La plancha électrique : Il permet de cuire les aliments à une température contrôlable. Il suffit de brancher son fil d’alimentation sur un conducteur. Il permet d’obtenir des grillades bien faites et pas brûlées. Cet appareil peut être utilisé à tout endroit, que ce soit à l’intérieur qu’à l’extérieur. La montée de chaleur avec cette dernière est moins rapide soit 200°c après 10 min.

• La plancha à gaz : qui est la plus rapide à monter de température. Cette dernière atteint 300°c en seulement 8min. Elle est alimentée par une bouteille de gaz.

Cependant, il existe plusieurs plaques à plancha dont tout un chacun pourrait s’en procurer selon sa convenance et ses moyens. Nous pouvons donc citer les plaques en inox, en acier, en fonte, etc.

La pierrade

Il s’agit d’un instrument authentique de cuisson. Elle se présente comme une pierre plate disposée sur une table puis chauffée. On y dépose par la suite des poissons ou des lamelles de viande sur la pierre. Cette technique permet de faire cuire les aliments rapidement mais avec un goût différent d’une cuisson au four ou à la poêle.

Son utilisation remonte à la préhistoire. Cette façon de cuisiner sur pierre permet aux aliments de conserver leurs saveurs naturelles.

Fonctionnement

Son fonctionnement est très simple, il suffit juste de déposer une pierre, très souvent du marbre sur une résistance chauffée. La cuisson est lente mais le résultat est concluant.

Cependant, de nombreux appareils du commerce intègre la pierrade durant leur conception. Il s’agit entre autres d’un appareil à crêpes ou à raclette tout en un.

Ici, la résistance en dessous est utilisée pour la raclette et la pierrade est au-dessus.

Veuillez noter que la cuisson à la pierrade est très lente. De ce fait, il est nécessaire d’émincer vos aliments avant de les faire cuire sur la pierrade.

Sur la pierrade, vous pourrez préparer des viandes, tout comme des légumes.

Comment choisir une pierrade de qualité ?

La pierrade existe sous plusieurs marques dont le choix se fait selon la puissance. Ainsi, lorsque la puissance est assez élevée, il y aura une remontée rapide de chaleur qui facilite la cuisson.

Par ailleurs, il est très important de toujours faire le choix d’une pierrade ayant un thermostat qui permet de régler la température de l’appareil à chaque fois. Ainsi une température optimale serait très importante pour une grillade rapide et efficace.

Nous devons aussi nous baser sur la surface de cuisson de la pierrade avant de choisir un appareil. Il est à noter que les préférences de consommation des grillades varient d’une personne à une autre. C’est la raison pour laquelle le choix de la surface de cuisson dépendra de l’aliment à faire cuire et de la préférence de tout un chacun

Différence entre plancha et pierrade

Pour vous permettre de différencier les deux très facilement, nous avons listé de chaque côté, les particularités de chacune d’elle.

Particularités de la plancha

Nous pouvons énumérer quelques points essentiels qui décrivent la plancha à ne pas confondre avec d’autres ustensiles de cuisson. Nous pouvons noter :

• C’est un appareil de cuisson.
• Elle est constituée de plusieurs accessoires tels qu’une plaque à température élevée qui facilite la cuisson, les boulons de réglage et des brûleurs.
• La plancha permet de faire cuire les aliments tels que la viande, le poisson et les légumes.
• Les matériaux de fabrication varient d’un fabriquant à un autre.
• Elle permet une cuisson saine des aliments.
• La cuisson est assez rapide sur la plancha.
• Elle permet aux aliments de garder leurs valeurs nutritionnelles et leurs saveurs.

Ainsi, la plancha est un appareil de cuisson très apprécié de nos jours.

Particularités de la pierrade

Voici un ensemble d’éléments qui font la particularité de la pierrade :

• C’est un appareil de cuisine.
• Elle est constituée d’une pierre qui permet de cuire les aliments à basse température. On peut modifier ses températures grâce à des boutons de réglage.
• Sa cuisson est très lente. De ce fait, il est nécessaire de découper vos aliments finement lorsque vous utilisez une pierrade.
• Elle permet de faire cuire tout type d’aliments.
• La pierrade est moins encombrante.
• Elle permet de conserver le goût naturel des aliments.

Cet ustensile de cuisine vous fera déguster vos aliments différemment désormais.

En quelle saison utiliser la plancha ou la pierrade ?

Il est préférable d’utiliser la pierrade en hiver tandis que la plancha est préférable en été. Toutefois, cela ne vous empêche pas tout de même d’utiliser l’une ou l’autre au moment que vous aurez souhaité.

La plancha et la pierrade sont toutes deux des appareils de grillade d’ aliments. Elles différent sur le fait que l’une peut utiliser l’électricité ou le gaz pour faire cuire les aliments tels que le poisson, la viande et les légumes. Tandis que l’autre utilise uniquement de l’électricité pour faire cuire ses aliments.

Il en ressort que ces deux appareils de cuisson sont très importants pour faire cuire des aliments tout en gardant une saveur extraordinaire. Ce sont des appareils que vous pourrez utiliser lors de vos cérémonies entre amis ou en famille.

Voilà donc tout ce que vous devez savoir concernant la différence entre plancha et pierrade.

Il n’est pas toujours évident de comprendre certains termes ou vocabulaires liés à la technologie. Surtout si vous n’êtes pas connecté à l’actualité des avancées technologiques. Pourtant il faut bien apprendre et connaitre ce qu’il en est. C’est très important dans un monde constamment en évolution. N’ayez aucune crainte ! Découvrez dans cet article la différence entre fibre et 4G.

Quelle est la différence entre fibre et 4G ?

La 4G et la fibre sont très distincts l’un de l’autre. Le premier est un réseau mobile, qui est accessible presque partout. Tandis que, le deuxième est installé directement chez vous, de manière physique et vous permet d’avoir un très bon débit internet.

La 4G

Définition

La 4G ou quatrième génération du réseau mobile est encore appelée LTE-Advanced. Il permet d’accéder au réseau internet depuis son téléphone mobile. La 4G est la génération de réseau mobile qui se trouve devant la 2G et la 3G.

Actuellement, tous les téléphones de moins de trois ans sont couverts par la 4G. Ses débits vont généralement de 80 Mbit/s à 90 Mbit/s. Toutefois, il dépend de la ville où vous vous situez, de l’opérateur mobile que vous utilisez et du terminal utilisé pour se connecter.

Le réseau d’antennes qui le fait fonctionner, vous aide à vous déplacer tout en restant connecter. En effet, ce réseau fait passer votre mobile d’un émetteur à un autre, sans toutefois interrompre la connexion.

La 4G facilite la mise à jour rapide des applications. Grâce à cette technologie, la lecture des vidéos en streaming devient une affaire de tous. Il devient très facile d’effectuer des recherches sur Internet, d’afficher des pages web et bien d’autres.

Technologie

Sur le plan technique, la 4G est plutôt facile à comprendre. Vous pouvez la comparaitre au réseau sans fil qu’utilisent vos équipements chez vous. La 4G utilise le même réseau pour se connecter à internet que vos équipements câblés, à la seule différence qu’il s’agisse d’un réseau sans fil. Exemple : votre téléphone et votre box internet utilisent la 4G.

Historique de la 4G

C’est en 2011 que la 4G a commencé à faire ses premiers pas. C’est donc en cette année qu’elle a été déployée en France. Ce sont les différents opérateurs qui en bénéficient avec l’attribution des premières fréquences.

La fibre

Définition

La fibre optique, en abrégé fibre, est un fil en verre ou en plastique au travers duquel se propage la lumière. Elle permet de transporter des données sur une distance assez longue sans aucune perte.

Selon les types d’installation de la fibre, elle peut être entière ou partielle.

Différents types de connexion

Plusieurs types de connexion fonctionnent avec la fibre :

• La FTTH: Fiber to the home, c’est la fibre jusqu’au domicile de l’abonné. Ici, la connexion est faite uniquement de fibre. De pareilles connexions offrent du haut débit à ses utilisateurs.
• La FTTLA (Fiber to the Last Amplifier) traduit en français comme étant ’’fibre jusqu’au dernier amplificateur’’. Ici, la connexion par la fibre est faite jusqu’à l’amplificateur le plus proche du logement de l’abonné. Ici, la connexion est de très haut débit. Le raccordement se fait avec de la fibre optique et un câble coaxial jusqu’au logement.
• La FTTB (Fiber to the building): ici la fibre est installée jusqu’au pied de l’immeuble. Elle permet un accès à un très haut débit. La suite du raccordement se fait par le cuivre ou alors par le réseau de télévision câblé.

Technologie

La fibre utilise un câble conçu spécifiquement pour le transfert rapide de l’information. Au centre de la fibre, se trouve un fil très fin qui peut être en verre ou en plastique. Ce fil est ensuite entouré par une gaine puis par une protection qui lui permettent de transmettre la lumière sur de longues distances.

Historique de la fibre optique

Bien que pour beaucoup de particuliers, la fibre optique semble récente, les entreprises et compagnies téléphoniques s’en servent depuis de nombreuses années.

Les continents, les pays, les villes et autres, sont reliés les uns avec les autres par le réseau internet. Et depuis des décennies, le réseau internet utilise la fibre optique.

Les principales particularités de la fibre sont :

• Elle est insensible aux perturbations électromagnétiques.
• La fibre optique possède une meilleure capacité à transporter les informations.
• Elle permet de réduire les interférences électromagnétiques.

Il ne nous reste plus qu’à vous présenter les points de différence entre fibre et 4G.

Différence entre fibre et 4G

La fibre

Les points essentiels à retenir sur la fibre :

• La fibre permet de donner un accès haut débit à Internet à ses utilisateurs.
• Son débit varie entre 100 Mbit/s et 1 Gbit/s en fonction de l’offre choisie.
• La fibre optique n’est pas mise à disposition du grand public.
• Elle n’est utilisée que par une population assez minoritaire car il existe plusieurs contraintes liées à son installation. Il faudrait par exemple que votre rue y ait souscrit. Ensuite, à la demande du proprio de votre immeuble ou à défaut de votre syndicat, elle est installée dans votre immeuble et enfin dans votre appartement. Si vous êtes dans un immeuble, il vous faut remplir ces conditions pour être éligible à l’installation de la fibre.

Cependant, si vous êtes dans une grande ville, il est possible d’y être éligible.

• La fibre optique a un prix un peu plus élevé. Même s’il est vrai que, son tarif a considérablement baissé depuis sa sortie.

La 4G

Les points essentiels à retenir sur la 4G :

• La 4G est conçue pour une utilisation sur mobile et même pendant les déplacements.
• C’est une technologie sans fil.
• Son débit varie généralement entre 80 Mbit/s et 90 Mbit/s.
• La 4G par contre a de moins en moins de territoire qu’elle ne couvre pas. En moins d’être en zone reculée, il vous est facile d’être connecté avec la 4G.
• Elle est accessible à tous.
• Ses tarifs sont bon marché.

La fibre optique est une technologie filaire pourtant la 4G est une technologie sans fil. Elles n’ont aucun lien ou rapport sur le plan technique. Bien qu’ayant à la base le même but : permettre un accès de qualité à internet.

Voici ainsi présenté, la différence entre fibre et 4G. Alors libre à vous de choisir ce qui vous convient, en fonction de vos besoins.

En informatique, les notions de bande passante et de débit sont très utilisées. Beaucoup de personnes confondent les deux. Pourtant, leurs sens sont différents.

Ces deux termes sont employés pour estimer la vitesse d’une connexion internet. La bande passante, c’est la vitesse maximale théorique concernant le transfert de données. Tandis que le débit indique le niveau d’utilisation de la connexion internet à un instant donné précis.

Quelle est la différence entre débit et bande passante ?

La bande passante désigne la vitesse maximale théorique concernant le transfert de données. Tandis que le débit indique le niveau d’utilisation de la connexion internet à un instant donné précis. 

Différence principale entre bande passante et débit

On utilise ces deux termes pour parler de la capacité d’un périphérique en ce qui concerne le transfert des données sur un réseau.

La différence notable entre débit et bande passante est principalement la suivante.

La bande passante se rapporte à la vitesse maximum possible avec laquelle un périphérique est capable de transférer des données. Alors que le débit se réfère à la réelle vitesse à laquelle un périphérique va transférer des données à un moment précis.

Le débit est toujours inférieur ou éventuellement égal à la bande passante.

En faisant une analogie avec un tuyau, on pourra dire que la bande passante désigne la taille de ce  tuyau alors que le débit va correspondre au courant d’eau actuel.

La bande passante : qu’est-ce que c’est ?

La notion de bande passante peut être employée dans deux contextes différents. En ce qui concerne le traitement du signal en particulier, le terme de bande passante est utilisé pour indiquer la gamme de fréquences qu’un appareil sera capable de transférer.

Mais dans notre cas, nous voulons parler de cette notion en rapport avec réseaux informatiques. En réseau, la bande passante va mesurer la vitesse maximale de transfert des données d’un périphérique. La bande passante correspond donc au débit maximal d’un réseau.

La bande passante indique la limite de la vitesse à laquelle les données sauront être transférées entre le web public et vos serveurs.

Elle se mesure en mégabits par seconde (Mb/s) ou en gigabits par seconde (Gb/s). La bande passante courante en hébergement se situe entre 10Mbps et 1 Gb/s, avec 100 Mb/s de bande passante habituellement mis en place pour des serveurs dédiés de haute performance.

En général, les connexions internet sont souvent formulées en termes de bande passante. Quand un fournisseur Internet parle d’une connexion à 50 Mbps par exemple, cela veut dire que la connexion peut transférer 50 mégaoctets par seconde.

En informatique, la notion de bande passante est utilisée principalement pour comparer et évaluer des connexions réseau Internet ou local. On utilise aussi cette notion pour de l’hébergement web.

Dans ce cas, la bande passante est la part de la connexion Internet qui peut être utilisée pour votre serveur ou votre site. C’est en général 100 Mbit/s.

La bande passante peut être mesurée pour diverses raisons. En cas de doute ou de problème notamment. Il est fort probable que le réseau soit affecté par un problème dans le cas où la bande passante utilisable se trouve être plus faible que le débit maximum théorique.

Dans cette situation, mesurer la bande passante sera nécessaire pour être sûr que la connexion fournie corresponde à ce qu’on paie. 

Quelques exemples de bande passante

Voici quelques exemples de bande passante de la vie de tous les jours :

• Un réseau Wi-Fi : actuellement entre 54 Mbit/s et 600 Mbit/s
• Une connexion Internet (Fibre) : en moyenne entre 100 Mbit/s et 1 Gbit/s
• Une connexion Internet (ADSL) : aux alentours de 20 Mbit/s
• Un réseau Ethernet : en général 100 Mbit/s et parfois 1 Gbit/s

Le débit, c’est quoi ?

Le débit mesure la quantité de données numériques qui sont transmises par unité de temps. Il s’agit de la réelle vitesse de la connexion et non pas d’une vitesse théorique maximale comme pour la bande passante. L’unité de mesure du débit et de la bande passante est la même, bit/s.

Des multiples vont être utilisés, comme pour la bande passante à savoir des Mbits/s ou Gbit/s.

Le débit est le réel taux de transfert de données qui est atteint. Le débit sera toujours inférieur à la bande passante puisque cette dernière correspond à la capacité et donc à la limite maximale.

Cependant, la vitesse réelle de transfert des données sur un appareil par une connexion Internet est sensiblement inférieure par rapport aux vitesses annoncées. Cette vitesse c’est le débit.

La réduction de cette vitesse s’explique par plusieurs raisons. La quantité de données qui peuvent être transférées est réduite. En effet, pour le partage d’informations sur les données transférées, les réseaux sont obligés d’utiliser une partie des données.

Le débit est aussi réduit à cause des limitations de logiciels qui font partie d’un réseau ou de divers autres matériels. Une autre raison peut également être invoquée.

Quelques fois, certains fournisseurs de service Internet peuvent réduire le taux de transfert de données délibérément. Ce qui va aussi réduire le débit.

Dans l’usage commun, le débit sert à estimer la qualité de la connexion à un moment donné. Le débit permet aussi de savoir s’il y a un éventuel problème avec la ligne.

On peut aussi savoir si une utilisation intensive d’Internet par un utilisateur se répercute sur la qualité de la connexion pour tous les autres utilisateurs. Si vous regardez un film et qu’il est saccadé, en général, c’est un problème de débit et non pas de bande passante.

Différence entre bande passante et débit expliquée par analogie avec un tuyau

Afin de bien comprendre la différence entre bande passante et débit, voici une analogie avec un tuyau. La largeur du tuyau correspond à la bande passante. Le débit représente la quantité d’eau qui coule dans ce tuyau à un instant T.

La bande passante, donc le tuyau, est fixe. En effet, la grosseur du tuyau ne varie pas. Cette bande passante fixe c’est le débit maximum possible.

Si les conditions sont idéales, le débit doit être égal à la bande passante. Toutefois, le débit peut varier. Un virus par exemple, il va utiliser une partie de la bande passante.

Du coup, cela réduit la bande passante pour les autres. Ainsi, le débit pour ces applications se trouve réduit.

Pareil, dans le cas d’un antivirus qui se met automatiquement à jour. À chaque connexion, cet antivirus va utiliser une partie de la bande passante (le tuyau) pour rapatrier les mises à jour.

Donc, dans cette situation, le débit qui est laissé pour les autres sera réduit.

La bande passante est une valeur théorique, optimale et maximale. Elle est rarement atteinte en pratique. Tandis que le débit correspond à la quantité réelle à un moment précis. Le débit passe effectivement dans le tuyau, mais il peut varier d’un moment à l’autre.

https://fr.sawakinome.com/articles/science/difference-between-throughput-and-bandwidth.html

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Maîtriser les jargons informatiques vous intéresse ? Améliorez  votre connaissance en découvrant la différence entre les deux boucles « tant que » et « jusqu’à ».

Quelle est la différence entre les boucles informatiques «Tant Que » et «Jusqu’à » ?

Ces boucles consistent à répéter une partie de code plusieurs fois. On fait référence à la boucle « tant que » dans la mesure que l’instruction testée est vraie. Quant à la boucle « jusqu’à », on l’utilise dans tous les cas une seule fois avant de tester la condition.

Que désignent les structures « tant que » et « jusqu’à » en informatique ?

En informatique, les boucles désignent les structures de programmation qui permettent de répéter un bloc d’instructions plusieurs fois jusqu’à ce qu’une condition spécifique soit remplie. La programmation, quant à elle est perçue comme étant l’ensemble des activités qui assurent l’écriture des programmes informatiques. En d’autres termes, la programmation concerne le codage et l’écriture des langages informatiques. Il s’agit d’une étape essentielle pour la création d’un logiciel. L’objectif est simple, répéter plusieurs lignes de codes à plusieurs reprises.

Qu’est-ce que la boucle « tant que » ?

En informatique, la boucle « tant que » ou boucle « while » en anglais, est la forme la plus simple d’une boucle de programmation. Il s’agit d’une structure de contrôle qui permet l’exécution d’un ensemble d’instructions de manière répétée sur la base d’une condition booléenne. Elle peut être considérée comme une répétition de l’instruction « if », qui a la particularité de revenir au début du « if » si la condition est toujours vraie. Elle indique alors que tant qu’une condition est valide, il faut continuer à boucler.

NB : en programmation informatique, un booléen est un type de variable à deux états. Ce variable est ainsi soit à l’état vrai, soit à l’état faux (true or false en anglais).

La syntaxe de la boucle « tant que »

 La syntaxe de base d’une structure « tant que » est la suivante :

TANT QUE condition FAIRE

            // CODE A EXCECUTER PLUSIEURS FOIS

FINTANTQUE

Il faudra alors déterminer la condition, comme dans les cas des instructions conditionnelles « si » ou « if », ensuite, indiquer les lignes à répéter tant que cette condition est vraie.

Quelles sont les étapes d’exécution de la boucle « tant que » ?

Les étapes d’exécution de la boucle « tant que » sont :

1. La réalisation du test de la valeur de la condition d’exécution
2. Si elle est vérifiée alors

Exécution du traitement

Retour à l’étape 1

Sinon arrêt de la boucle.

• La valeur de la condition doit être modifiée par une action dans le traitement.

A noter que le traitement peut ne pas être exécuté aucune fois avec la boucle « tant que ». C’est le cas lorsque la condition d’exécution est faussée dès le départ.

La lecture ou l’affectation doit initialiser les paramètres de la condition avant la boucle.

La boucle « jusqu’à » ou encore « répéter – jusqu’à » : de quoi s’agit-il ?

En programmation, la boucle « jusqu’à » ou « répéter – jusqu’à » est une variante de la boucle « tant que », d’ailleurs elles sont très similaires. La boucle « jusqu’à » permet de répéter le traitement au moins une fois étant  donné que la condition ne sera testée qu’à la fin. Que la condition  soit vraie ou fausse, la boucle s’exécutera tant que la structure booléenne indiquée à la fin sera vérifiée.  Sinon elle ré-exécute le traitement.  

Il convient de préciser qur le traitement sera exécuté avant l’évaluation de la condition d’arrêt au moins une seule fois. Aussi, une action dans le « traitement » doit modifier la valeur de la condition.

La syntaxe de la boucle « jusqu’à »

La syntaxe classique pour une boucle « répéter – jusqu’à » est la suivante :

REPETER

            // CODE A EXECUTER PLUSIEURS FOIS

JUSQU’A condition

Quelles sont les étapes d’exécution de la boucle « jusqu’à » ?

Pour exécuter la boucle « jusqu’à », il faut :

1. Exécuter le traitement
2. Test de valeur de la « condition d’arrêt »

                        La boucle s’arrête lorsqu’elle est vérifiée

                        Sinon retour à l’étape 1.

Un aperçu global des différences

On confond souvent les structures « tant que » et « répéter – jusqu’à ». Tout comme la structure « jusqu’à », la structure « répéter – jusqu’à » inclut aussi l’exécution d’une séquence d’instructions à répétition et en fonction de la valeur d’une condition. Toutefois, elles diffèrent sur quelques points.

Sur l’exécution

La principale différence entre ces deux boucles c’est le nombre d’exécutions. Pour la structure « jusqu’à », la séquence d’instructions est exécutée au moins une fois, sans prendre en considération la valeur de la condition. Cette dernière est située à la fin de la structure Tandis que, dans la boucle « tant que »,  la condition se trouve au début de la structure.

Sur les structures

La boucle « tant que » exécute la séquence d’instructions tant et aussi longtemps que la condition est satisfaite, alors que la boucle « jusqu’à » exécute la séquence d’instructions tant et du moment que la condition n’est pas satisfaite. En d’autres termes, la boucle « jusqu’à » se répète jusqu’à ce que la condition devienne vraie.

La boucle « jusqu’à » vérifie les conditions après chaque interaction alors que, la boucle « tant que » vérifie la condition avant chaque interaction.

La similarité entre les boucles « tant que » et « jusqu’à »

·         Les boucles « tant que » et « jusqu’à » sont des structures de contrôle en programmation.

• L’exécution de chacune d’elle dépend de l’expression du test. 
• C’est en fonction de la valeur d’une condition qu’elles incluent l’exécution d’une séquence d’instructions à répétition.

http://larp.marcolavoie.ca/fr/DocHTM/10300.htm

http://www.est-usmba.ac.ma/ALGORITHME/co/module_ALGORITHME_36.htmlhttp://www.est-usmba.ac.ma/ALGORITHME/co/module_ALGORITHME_36.html

https://www.techno-science.net/definition/5273.html

https://www.technologuepro.com/informatique/chap4_algorithme.htm

https://smallseotools.com/fr/plagiarism-checker/ 100%

Comprendre la différence entre le bœuf et la vache

De nombreuses personnes ignorent la définition réelle des termes « bœuf » et « vache ». La confusion se manifeste lorsque l’on se met à discuter des différentes espèces bovines, ou que l’on croise des gens au supermarché qui dialoguent sur les différents types de viandes. Certes, ceci n’est pas toujours évident, car il y a bien une nuance sur leurs définitions et leurs utilités. Quels sont donc les points qui différencient le bœuf de la vache ?

Quelle est la différence entre le bœuf et la vache ?

La principale différence entre le bœuf et la vache réside dans le fait que le bœuf n’est autre que le mâle de la vache, si cette dernière est considérée comme la femelle reproductrice. Mais aussi, les conditions d’élevage et le régime alimentaire de ces espèces bovines sont tout à fait différents. 

Le bœuf : le bovin castré

Souvent interprété comme le mâle de la vache, le bœuf est en réalité une appellation attribuée à un taureau châtré, dépourvu d’hormones mâles. D’autre part, toute viande provenant de l’espèce bovine est également appelée « bœuf. » Les viandes de vaches et les viandes de taureaux castrés ou non castrés sont toutes baptisées sous le nom de « viande de bœuf » ou « viande bovine ». Deux choses différentes désignées par le seul mot « bœuf ». Les mâles non châtrés ou « taureaux » sont destinées à la reproduction. Généralement, on y trouve moins de trois taureaux par troupeau.

Ceux qui sont émasculés ou « bœuf » sont essentiellement conservés à la production de la viande. La castration des espèces mâles est une méthode pour les rendre plus calmes et dociles. En conséquence, leur croissance devient lente, et renvoie à une meilleure répartition des graisses dans leur viande. Le mouton, par exemple, découle d’un bélier castré, le hongre d’un cheval castré, et le mouton d’un bélier castré. La viande obtenue est ainsi plus tendre et plus succulente à la bouche.

Le bœuf est affirmé comme viande de meilleure qualité, car il est élevé jusqu’à l’âge de deux ans. L’utilité des bœufs se résume sur deux points principaux : la reproduction de viande issue des bœufs engraissés ; et le travail agricole leur permettant de servir pour diverses activités, comme le transport de récoltes ou la traction de charrette.

La vache : la femelle reproductrice

Assez commode, la vache est la femelle reproductrice de l’espèce bovine. Dès que cette femelle du taureau vêle pour la première fois, on la nomme tout simplement « vache ». A partir de l’âge de deux ans, une vache est considérée comme une race laitière ; et la meilleure race à viande, à trois ans. En France, 95% de la viande de bœuf utilisée provient de la vache.

Par ailleurs, il existe une grande variété de races de vaches, définit sous différents aspects dépendant de la région de provenance. Quelques races sont très célèbres : la race Corse, une vache corse qui mange très peu et qui résiste beaucoup à la chaleur ; la Charolaise, une vache blanche originaire de Bourgogne, qui est reconnue par la saveur de sa viande ; l’Abondance, reconnue par sa couleur marron et sa tête blanche, est l’auteur de plusieurs fromages de qualité prémium AOC, à l’instar du Beaufort et du Reblochon ; la Normande, une race mixte caractérisée par ses taches brunes, produit du lait, du fromage et de la viande.

L’élevage de la vache est naturellement rentable, puisqu’elle est prédestinée à plusieurs utilisations. La vache est utilisée dans la production de lait, à partir du moment où elle met bas un veau (à la différence de la génisse qui n’a jamais vêlé). La vache œuvre dans la reproduction, car elle sert d’accessoire qui multiplie le cheptel. La vache joue également un rôle important dans la production de la viande. Les vaches qui ne produisent plus du lait sont engraissées et assignées à l’abattoir afin que leur viande puisse être répandue dans le commerce.

Un processus d’élevage différent

Bien que le bœuf et la vache fassent communément partie de la même espèce bovine ou « Bos Taurus », leur processus d’élevage est différent en fonction du type de production : viande ou lait.

Un régime alimentaire distinct

Généralement, la nourriture à base de végétaux est le régime alimentaire principal des bovins. Ceci est entre autre l’élément essentiel de leur développement, suivant une quantité couvrant leurs besoins journaliers, ou « rations ». Celle-ci varie selon l’espèce et l’âge animal, la saison, la région d’élevage, et le type de production. Le régime alimentaire du bœuf ou de la vache destinés à la viande est intégralement composé d’herbes vertes. Ces herbes vertes procurent toute sa qualité à la viande.

Par contre, la vache laitière se nourrit, en plus du foin, des suppléments, comme les végétaux riches en protéines, des fourrages et des céréales, afin d’encourager leur production en lait. Mais elle mangera moins d’herbes fraîches que le bœuf. Sa ration en herbes est seulement à 36 %. Au terme où la vache ne procure plus de lait, elle sera engraissée et destinée la production de viande. On la définit étant une « vache réformée ». Toutefois, sa viande sera moins bonne, car son alimentation est moins riche en herbes.

Des conditions d’élevage opposées

Les races à viande, particulièrement, le bœuf et la génisse passent plus de 80 % de leur vie au grand air, presque tout au long de l’année. Ceci a forcément un énorme impact sur la qualité de la viande. Le bien-être des animaux semble primé sur sa production. Cependant, les vaches laitières vivent moins de temps à l’extérieur. Malheureusement, elles ne jouissent pas du même avantage que les races à viande, car fournir une quantité de lait, plus que la normale, pourrait affecter son organisme. A en déduire que la viande de la vache réformée ne sera jamais meilleure que celle du bœuf et de la génisse.

En somme, le bœuf et la vache proviennent de la même famille des bovins ou « Bos Taurus ». L’on parlera de bœuf lorsqu’il s’agira, soit de l’animal castré, soit de la viande issue de la grande famille du bovin. Le terme vache désignera tout simplement la femelle adulte qui a donné naissance aux petits veaux. Chacun de ces espèces est utile à l’homme, certaines pour les travaux d’agriculture et d’autres pour l’alimentation.

Référence :

http://www.jesuiscultive.com/spip.php?article295#:~:text=Le%20m%C3%A2le%20de%20la%20vache%20est%20le%20taureau.,a%20enlev%C3%A9%20ses%20organes%20reproducteurs).&text=Il%20faut%20consulter%20l’%C3%A9tiquette,)%20n’est%20pas%20obligatoire.

https://www.guardapampa.fr/blog/difference-entre-viande-de-race-a-viande-et-race-laitiere/

https://www.la-viande.fr/animal-elevage/boeuf/alimentation-bovins#:~:text=L’alimentation%20des%20bovins%20en%20chiffres&text=la%20ration%20des%20ruminants%20est,produite%20sur%20l’exploitation%20agricole.

Très appréciées pour leur goût sucré et fruité, la marmelade et la confiture sont des alliés des brunchs et des petits déjeuners. Beaucoup de gens ont encore du mal à distinguer la marmelade de la confiture. Or, ces deux mixtures présentent certains points de différence.

Quelle est la différence entre confiture et marmelade ?

On les distingue surtout de par leur texture. La marmelade présente une texture plus épaisse comparée à celle de la confiture. La préparation est également différente. La confiture est à base de fruits, d’eau et sucre, alors que la marmelade peut contenir des morceaux entiers de fruits, et très peu d’eau, d’où sa texture épaisse.

La confiture : définition, préparation et texture

Après le beurre, la confiture reste un aliment très apprécié et consommé au quotidien. Elle accompagne nos pains, en passant par le petit-déjeuner jusqu’au goûter. À son origine, le terme « confiture » tendait à se rapprocher du terme « conserve ».

La préparation

Sans surprise, la confiture est faite à base de fruits, de sucres et d’eau. Les plus utilisés sont la fraise, l’abricot, la framboise ou la mûre. Saviez-vous que, certains confiseurs originaux en fabriquent à la rhubarbe, à la patate douce, à la tomate, et autres ingrédients spéciaux.

Pour la préparation en elle-même, les fruits doivent être dénoyautés puis découpés en morceaux. Cela facilitera la cuisson afin de former une purée. Concernant le sucre à utiliser, la quantité doit être plus ou moins égale à celle des fruits.

Une fois le mélange terminé, il faudra cuire les morceaux de fruits dans une marmite assez grande. La cuisson est complète à partir du moment où la purée commence à épaissir.

La texture

La confiture commence à prendre forme à partir du moment où elle refroidit. Lors de ce processus, les fruits utilisés libèrent de la pectine, un gélifiant naturel, qui participera à solidifier le mélange. Une confiture est prête à être dégustée, dès que celle-ci se fige. Elle peut être conservée durant un bon moment dans un contenant.

Qu’en est-il de la marmelade ?

D’origine portugaise, « marmelada » était un terme qui désignait surtout la confiture de coings. Au fil du temps, cette appellation s’est largement détournée de son origine puisqu’il a été repris un peu partout à travers le monde.

La méthode de cuisson

La préparation de la marmelade ne diffère pas énormément de la confiture, de même pour l’aspect qui est similaire. D’ailleurs, le Larousse la définit comme étant une « confiture de fruits passés au tamis ».

Donc, quelle est la différence ? Pour faire simple, la marmelade est une confiture d’agrumes. En effet, il n’y a que les agrumes qui peuvent être utilisés pour préparer cet aliment. Ils doivent être réduits en purée, sans enlever ni la pulpe, ni le jus et les écorces si possible.

Une texture plus épaisse

Elle est généralement faite à base d’orange, d’ananas, de citron et de citron vert. Au moment de la préparation, certains utilisent la peau, mais d’autres préfèrent l’enlever. C’est pour cette raison qu’elle se distingue par son goût assez amer.

Une marmelade a une texture beaucoup plus épaisse que la confiture. Certains laissent même des morceaux de fruits pour un côté plus agréable en bouche. De même, il n’est pas rare de retrouver des zestes d’agrumes dans la préparation.

À ne pas confondre avec d’autres préparations fruitées et sucrées

En plus d’être confondu par bon nombre de gens, la confiture et la marmelade sont souvent mélangées à la gelée, la pâte de fruits, le sirop et la compote. Une erreur assez commune puisque dans tous les cas, le fruit est la base de ces préparations sucrées.

Qu’est-ce que la gelée ?

Le mode de fabrication de la gelée est le même que celui de la confiture. En revanche, à la place de la purée ou de la pulpe de fruit, il faudra utiliser le jus. L’avantage en utilisant cet extrait liquide, c’est qu’il n’y aura pas de pépins en fin de cuisson.

Au moment de la préparation, le jus est mélangé à une quantité suffisante de sucre. Une fois le sucre incorporé au jus, ce dernier sera en mesure de se solidifier tout seul. Mais uniquement si le fruit utilisé contient assez de pectines.

Si ce n’est pas le cas, il sera possible d’utiliser d’autres types de gélifiant. D’ailleurs, en plus des fruits, il est possible d’utiliser de gélifier du vin, du thym, et même de la menthe.

Pour le sirop de fruits

La préparation est similaire à celle de la gelée. Cependant, il faut rajouter encore plus de sucres au moment de la cuisson. Cela permettra de préparer le sirop dans les règles de l’art pour vos futures préparations et boissons, puisqu’il ne peut se consommer seul.

Pour éviter que le mélange n’épaississe, le temps de cuisson est moins long. Cela permettra de conserver l’aspect liquide et caractéristique du sirop.

Et pour la compote ?

La compote est moins épaisse que la confiture, mais pas gélifié comme la gelée. On la distingue donc de par sa texture. En effet, de l’eau est rajoutée lors de la cuisson pour que celle-ci ressemble plus à une purée.

Par ailleurs, elle concentre moins de sucres. Par exemple, si 50 grammes de sucres sont utilisés pour une confiture, seule la moitié sera utilisée lors de la préparation d’une compote. D’ailleurs, elle peut aussi se manger sans accompagnement puisqu’elle est moins sucrée qu’une marmelade ou une confiture.

Concernant les pâtes de fruits

Encore une fois, la préparation est similaire à celle de la confiture, sauf à la fin. Une fois le sucre mélangé à la purée de fruits, un gélifiant doit être incorporé à l’intérieur. Pour que la consistance soit compacte, il est important de tout faire sécher.

Ainsi, il faudra verser le liquide dans un moule assez profond au-dessus d’un papier sulfurisé. Le temps de séchage peut prendre plusieurs jours, donc, il vaut mieux le mettre dans un lieu à l’abri de la poussière et de l’humidité. C’est seulement une fois que le séchage est terminé qu’il sera possible de découper la pâte avant de la rouler dans le sucre.

En définitive, ces mélanges fruités diffèrent par le type de fruits utilisés. Les préparations à base d’agrumes sont de la confiture. Sinon, ce sera une marmelade. La texture est également différente puisqu’une marmelade contient des morceaux, alors que la confiture ressemble plus à une purée.

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https://messergaster.over-blog.com/article-marmelade-confiture-gelee-quelle-difference-123387768.html

https://omnilogie.fr/O/Confiture,_Gel%C3%A9e,_Compote,_euh_Marmelade_et_un_peu_de_Sirop_!

https://www.bienmanger.com/1C509_Gelee_Confiture.html

https://www.laculturegenerale.com/confiture-marmelade-gelee-difference/

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