Auteur/autrice : cpry

La chine et le japon sont tous deux des pays asiatiques. Ils ont leur proximité géographique en commun. Aussi, ces pays se font remarquer par leur histoire commune ainsi qu’une diversité de facteurs communs à travers le monde.

Ces points communs font-ils d’eux des pays sans empreinte personnelle ? 

En effet, ces pays se distinguent sur le plan culturel ainsi que par leur organisation politique. Parlons à travers cet article de la différence entre la chine et le japon. 

Quelle est la différence entre Chine et Japon ?

La chine se démarque du japon par le régime politique qui y est appliqué. Alors qu’elle est régie par une monarchie, le japon quant à lui a fait le choix d’une monarchie constitutionnelle. À cette différence s’ajoute la singularité culturelle de chacun des pays ainsi qu’une inégalité en ce qui concerne la richesse en matière de ressources naturelles.

La chine : que faut-il savoir ?

La chine est un pays asiatique. Elle se situe plus précisément dans l’Asie de l’Est. Elle est désignée sous plusieurs appellations. Ainsi elle se fait appeler : la chine populaire, la République populaire de chine, la Chine communiste.

Les statistiques la positionnent comme étant l’un des pays les plus peuplés du monde. Sa population s’estime à environ 1,4 milliard de personnes. 

Cette population est répartie sur une superficie d’environ 9 600 000 km2.  Cette superficie est la plus grande de toute l’Asie orientale. La Chine se loge ainsi au rang des pays les plus grands du monde. Elle a pour Capitale Pékin.

Ladite capitale fait partie de ses six agglomérations. Il s’agit de Shanghai, Shenzhen Chongqing, Canton et Tianjin. 

Elle est considérée comme l’une des civilisations les plus vieilles de la terre. À cet effet, elle est assez singulière dans sa culture qui séduit énormément. La chine offre un paysage et des végétations très diversifiées. 

Le Japon : Que faut-il savoir ?

Le Japon est encore désigné par Nihon, Nippon, Nipponkoku ou nation japonaise. Étymologiquement, « Japon » signifie : « lieu de naissance du soleil ».

C’est donc à juste titre que son drapeau se matérialise par un disque rouge qui n’est rien d’autre que la représentation du soleil.

C’est également en raison de sa signification étymologique qu’il est désigné comme pays du soleil levant.  

Géographiquement, le japon est situé à l’est de l’Asie. Il est bordé par l’océan Pacifique ainsi que la mer du japon.

Comme pays voisin immédiat, le Japon a la Chine, la Corée du Nord, la Corée du Sud, l’océan Pacifique, la Russie ainsi que la Taiwan. 

D’une superficie totale d’environ 377 975 km², Le Japon forme un archipel composé de 6852 îles. Parmi ces îles, la plus grande est Honshu.

Sa superficie est telle qu’elle se loge au rang des plus grandes îles du monde. En effet, elle vient en 7^eme place dans le classement des îles les plus grandes du monde. 

Elle est suivie par les îles Hokkaidō, Shikoku, Kyūshū.  En effet, ces quatre îles font plus de 95 % du japon en matière de superficie. 

Le Japon est peuplé d’environ 127 millions de personnes. Ce pays est caractérisé par un relief montagneux. Le mont Fuji impressionne par sa hauteur qui est de 3776 m. 

Le japon par l’efficacité de ses industries fait partie des plus grandes puissances économiques du monde. Cette industrie est en effet innovante dans le domaine de la construction, automobile.

C’est l’un des plus grands pays importateurs et exportateurs du monde. Il concourt efficacement au développement du secteur commercial dans le monde. 

Différence entre la chine et le Japon

Si la chine et le Japon sont tous deux des pays asiatiques, cela ne fait pas d’eux des pays identiques. En effet, chacun de ces pays se distingue à travers divers éléments propres à chacun d’eux. Il s’agit  :

• Du mode de gouvernance

La chine se distingue à travers son régime monarchique qui y règne. Contrairement aux régimes démocratiques, le pouvoir décisionnel appartient ici à une seule personne.

En effet, la chine est dirigée par le parti communiste. Les prises de décision reviennent à ce parti. Il a un pouvoir décisionnel dans tous les domaines de la vie du pays. 

Pour cause, il n’y a pas de séparation de pouvoir parmi les différents pouvoirs. Les pouvoirs judiciaire, législatif et exécutif sont confondus.

À cet effet, nombreux sont ceux qui attribuent à la chine l’étiquette de pays dictatorial. Tout au long des années, les personnes qui ont essayé de lever la voix pour dénoncer ce qui leur semblait anormal se sont vues appliquer les rigueurs du régime.

Les libertés en Chine sont donc très réduites. 

Tel n’est pas le cas du Japon. En effet, au japon, il règne un régime de monarchie constitutionnelle. Le pays est donc dirigé par un monarque.

Ce dernier est limité dans ses agissements par une constitution. Les citoyens bénéficient dans ce régime d’un minimum de liberté en comparaison à la chine. 

• La culture 

Ces pays aussi communs qu’ils puissent paraitre de l’extérieur se différencient chacun par leur culture. Le premier point culturel sur lequel les pays marquent leur différence est la religion.

S’il est vrai qu’il existe, des religions en Chine, telles que le christianisme, l’islam, et le bouddhisme, le régime communiste fait d’eux de piètres adeptes de ces religions.

Mais au japon, il est observé un attachement à la religion. Les Japonais sont pour la plupart des shintoïstes.  

Aussi, un brassage culturel s’observe en chine. La chine compte plusieurs ethnies en raison de sa situation géographique.

Au nombre de ces ethnies, il y a les Coréens, les mandchous les Vietnamiens, les Russes, les Mongols. Le Japon quant à lui ne peut pas se vanter d’une aussi grande diversité ethnique. Il compte un peuple homogène. Il est composé d’une très grande majorité autochtone. 

Ces deux pays se différencient également par leur langue officielle. Au japon, le japonais représente leur langue officielle tandis qu’en chine la langue qui est officiellement reconnue est le mandarin.  

• Les ressources naturelles

Le japon est un pays dont la plus grande source de richesse est le commerce. La nature ne lui a pas fait grâce d’une très grande quantité de ressources naturelles. Quant à la Chine, elle dispose d’une énorme quantité de ressources naturelles.

Trois points fondamentaux différencient donc la chine du japon. Il s’agit :

• Du mode de gouvernance ;
• La culture ;
• Les ressources naturelles.

Qu’en est-il de la fréquence des catastrophes naturelles en chine et au Japon ?

Le japon et la chine comptent une multiplicité de montagne.

C’est donc à juste titre que se soulèvent des préoccupations par rapport à la fréquence des catastrophes dans ces pays.

En effet, le relief de ces pays est très favorable aux catastrophes naturelles. Depuis plusieurs années, ces pays ont connu chacun plus d’une trentaine de séismes. Créant ainsi des milliers de morts au sein des populations. 

Vous l’aurez remarqué, le japon ainsi que la chine se différencient par plusieurs éléments. Le mode de gouvernance est la différence majeure.

S’il est déterminé comme l’élément majeur de différenciation, c’est en raison des nombreuses conséquences qu’il a sur l’évolution des différents pays.

Ces conséquences s’observent au niveau du développement de chacun des pays. La chine malgré ses richesses enregistre toujours un taux de pauvreté bien plus élevé que le japon.  

La bourse est un sujet qui passionne de nombreuses personnes.

Dans les discussions, deux notions reviennent souvent : dividende et plus-value. Il s’agit en effet de stratégie permettant de faire des bénéfices en bourse. Étant donné qu’elles sont tous deux des stratégies, il est alors possible de se demander la différence qui existe entre elles.

Quell est la différence entre dividende et plus-value ?

En réalité, le dividende est une stratégie sur le marché boursier correspondant à la somme versée par l’entreprise aux actionnaires. La plus-value, quant à elle, est le fait d’acheter une action et de la céder plus cher.

C’est quoi un « dividende » ?

Avant de dire ce qu’est réellement un dividende, il faut déjà comprendre les notions de bourse et d’action. La bourse est une forme de marché dans lequel les entreprises ont la possibilité de vendre des parts de leur société à des financiers. 

Les deux parties ont un intérêt particulier. Les entreprises en vendant leur part peuvent gagner de l’argent. De cette façon, elles pourront investir et développer leurs activités. 

Les financiers par contre sont à la recherche de profits. Ils achètent des titres de la société dans l’espoir qu’elle puisse prospérer. Ainsi, ils font d’énormes bénéfices après la revente de leur titre. 

Aujourd’hui, tout le monde peut investir dans la bourse. Cette activité n’est plus l’apanage des financiers professionnels. Concernant l’action, c’est un produit financier qui représente une part de l’entreprise. 

Pour en revenir au dividende, il s’agit simplement d’une part des bénéfices nets d’une entreprise qui est versée aux actionnaires, et ceci, à la fin de chaque exercice. Le montant est généralement fixé par une assemblée générale. 

Précisons que ce n’est point une obligation à l’entreprise de verser un dividende. Certaines entreprises choisissent de réinvestir la totalité des bénéfices dans leur développement et les nouveaux investissements. 

En réalité, chaque année, le conseil d’administration assisté des actionnaires décide du versement ou non d’un dividende. Dans le premier cas, cela signifie souvent que l’entreprise ne pense pas avoir besoin d’une partie de son bénéfice. Dans le second cas, l’entreprise préfère plutôt réinvestir son bénéfice dans les projets à venir. 

De façon générale, il est constaté que les entreprises encore en développement ne versent pas de dividende. Au contraire, celles qui sont bien installées s’autorisent ce versement pour booster leur effort afin d’obtenir de bons résultats. 

Le dividende représente, à première vue, un réel avantage pour les actionnaires. C’est pour faire simple le bénéfice direct de leur placement. Toutefois, ceci n’est pas sans risques. 

Il s’agit ici d’une sortie d’argent conséquent pour l’entreprise de l’actionnaire. Celle-ci pourrait se retrouver facilement en manque de liquidités, si les objectifs ne sont pas atteints. Cette situation risque de lui faire perdre de la valeur. 

La perte de la valeur de l’entreprise induit évidemment une perte chez l’actionnaire. Cela signifie qu’il a réalisé un mauvais placement. 

Que signifie « plus-value » ?

La plus-value est le bénéfice reçu au moment de la vente d’une action. Il s’agit d’acheter des actions, puis de les revendre lorsque leur prix augmente.

Le coût d’une action est fixé en fonction de l’offre et de la demande. Il varie donc en permanence lorsque la bourse est ouverte. 

De nombreux paramètres sont en pris en compte lors de la détermination du cours d’une action. Il y a notamment les micro-événements, les faits relatés dans la presse, les résultats de l’entreprise. 

La baisse du cours est généralement due à des inquiétudes, des problèmes de livraison, des ventes en dessous de ce qui était prévu… La hausse du cours par contre survient lorsque l’entreprise lance des investissements qui rapportent énormément. 

Pour en revenir à la plus-value, elle correspond à la différence positive entre le prix de vente et le prix d’achat initial. Il existe également une différence négative. Appelée moins-value, elle concerne la perte de valeur du titre. 

La rentabilité totale de l’action dépend de deux facteurs : la somme des dividendes annuels versés et la plus-value au moment de la vente. Bien évidemment, la différence entre le prix d’acquisition et le prix de cession représente la plus-value brute réalisée. Par la suite, des frais, notamment la fiscalité sera déduite. 

Les points de différences entre dividende et plus-value 

Le dividende et la plus-value sont deux stratégies que vous pouvez utiliser en bourse. De ce fait, une confusion peut régner à leur sujet. Cependant, il existe bel et bien des différentes entre ces deux notions. 

La première différence se situe au niveau du calcul du montant du dividende ou de la plus-value. Pour le dividende, le montant est obtenu en divisant le bénéfice net de l’entreprise par le nombre d’actions en cours. Concernant la plus-value, le montant correspond à la différence entre le prix de vente et le prix d’achat initial. 

La deuxième différence concerne le moment où le dividende ou la plus-value sont versés. Le dividende, lui, est versé périodiquement, en général une fois par an, et dans les 9 mois maximums suivants la clôture de l’exercice de l’entreprise. La plus-value, inversement, est obtenue toutes les fois où l’investisseur réalise une vente. 

La dernière différence tient au fait que le dividende et la plus-value sont simplement deux stratégies réalisables en bourse. La première permet de profiter des bénéfices de l’entreprise. La seconde donne la possibilité de recevoir un bénéfice en cas de vente d’une action. 

Le dividende : 

• Est obtenu en divisant le bénéfice de l’entreprise par le nombre d’actions en cours. 
• Est versé périodiquement 
• Permets de profiter des bénéfices de l’entreprise

La plus-value, dans le cas contraire : 

• Est obtenue en faisant la différence entre le prix de cession et le prix d’acquisition. 
• Est versé toutes les fois où une vente est réalisée 
• Permets de recevoir un bénéfice en cas de vente d’une action. 

Vaut-il mieux adopter une stratégie de plus-value ou dividende ?

Le dividende et la plus-value sont des stratégies qui peuvent rapporter assez de bénéfices. Mais il faut nécessairement trouver la bonne option. 

Quelle stratégie adoptée lorsqu’on est débutant ? À ce niveau, il s’agira beaucoup plus d’un moyen pour valoriser son capital de départ. La plus-value est donc l’approche à privilégier.

Quelle stratégie adoptée lorsqu’on est expérimenté ? Ici, le sujet possède souvent un capital assez élevé et souhaite simplement l’augmenter, mais pas nécessairement le plus rapidement possible. Par conséquent, l’approche dividende est à choisir. 

Il existe de nombreuses différences entre dividende et plus-value. Elles ont rapport au calcul du montant des deux stratégies, du moment où elles sont versées…

On a tendance à penser que tout ce qui nous permet de franchir un obstacle est appelé « pont ». 

Ce raisonnement est tout à fait normal du point de vue structurel. Mais il faut savoir que ce n’est pas la seule manière d’enjamber un obstacle. On distingue également le viaduc. 

C’est vrai qu’il y a trop de confusion autour des deux vu que leur rôle reste similaire, mais dans le fond, le pont et le viaduc ne sont pas totalement les mêmes. 

Quelle est la différence entre pont et viaduc ?

Pont et Viaduc disposent de structures de tailles différentes, les ponts sont le plus souvent d’une taille de quelques mètres, et d’une longueur rarement supérieure à 50m. Au contraire, un Viaduc peut s’étaler sur des kilomètres, et parfois atteindre les 100m de haut. D’ailleurs, un Viaduc peut désigner l’ensemble de plusieurs ponts. 

Le pont : ce qu’il faut savoir

Le pont se définit comme un ouvrage d’art qui relève du génie civil. Il s’agit d’une structure qui permet d’outrepasser un obstacle. 

Pour faire simple, c’est un moyen de traverser d’un endroit A pour aller à un endroit B. L’obstacle à traverser peut être de l’eau, un grand creux dans le sol appelé aussi une dépression, une route, un chemin de fer ou d’autres voies de circulation.

Cet ouvrage peut être piéton, routier ou ferroviaire. D’ailleurs, on distingue une grande variété de type de ponts. Depuis la période romaine, période de leur première apparition, la structure du pont a nettement évolué. On peut énumérer cinq grands types de ponts :

• les ponts voûtés ou les ponts en voûtes : d’après son nom, ce sont des ponts avec une constitution de plusieurs petites voûtes ordonnées sur la longueur du pont.
• les ponts à poutres : il s’agit des ponts modernes avec des piliers répartis sur toute la longueur pour soutenir le pont.
• les ponts en arc : c’est la catégorie de pont qui ne dispose que d’une seule voûte parcourant toute la longueur du pont.
• les ponts suspendus 
• les ponts haubanés ou les ponts à haubans : ce sont des ponts suspendus sur lesquels on trouve des pylônes qui souviennent le reste du pont à l’aide des câbles.

Selon leur construction, les matériaux utilisés sont très variés d’un pont à l’autre. En tout cas, on peut énumérer les matériaux suivants :

• des ponts en pierre
• des ponts métalliques
• des ponts en béton ou béton armé

Le viaduc : qu’est-ce que c’est ?

Du point de vue structurel, le pont et le viaduc désignent le même ouvrage. Détrompez-vous, la différence ne réside pas dans ce qui se trouve en dessous : de l’eau, de la terre ou les deux. 

Pour enjamber un obstacle, on peut passer par un pont comme par un viaduc. Donc, leur rôle est similaire.

On fera donc la différence d’un pont d’un viaduc par leur taille. 

Mais dans le fond, on peut dire qu’un viaduc reste toujours un pont. Généralement, un pont est considéré comme un viaduc quand sa taille, c’est-à-dire sa longueur ou sa largeur est beaucoup plus grande que la seule dépression qu’il vise à outrepasser. 

Il faut savoir qu’un viaduc peut être formé d’un ou de plusieurs ponts.

D’ailleurs, le pont le plus long du monde, de par son envergure, est considéré comme un viaduc. On fait référence au Pont Danyang-Kunshan situé en Chine. 

Ce pont mesure aux environs des 164 km. En Europe, c’est le Pont Vasco de Gama de 17 km, situé au Portugal qui est classé comme le plus long pont européen.

Le Viaduc de Millau situé en France, est en revanche le pont le plus haut du monde. Sa structure mesure 343 mètres de hauteur et sa hauteur sous pylônes arrive jusqu’à 242 mètres de hauteur.

La différence entre pont et viaduc : histoire de taille

À pied ou en véhicule, on se sert tous des ponts et des viaducs comme une passerelle afin de se rendre d’un endroit X à un endroit Y., c’est toujours le cas même avec un ou plusieurs obstacles tels que les ravins, les routes, les voies ferrées, les cours d’eau, ou autres voies de circulation. 

D’ailleurs, leurs structures sont totalement identiques.

Mais il y a quand même une véritable différence entre les deux. De par leur longueur et leur hauteur, les viaducs sont plus architecturaux. Aussi, ils permettent de traverser des dépressions bien plus imposantes que les ponts.

Enfin, les viaducs vous montrent plusieurs destinations. La définition de Larousse précise même que c’est « un ouvrage routier ou ferroviaire franchissant à grande hauteur une brèche, ou comportant de nombreuses travées ».

Toutefois, c’est là que la confusion subsiste encore une fois autour de leurs particularités. On trouve parfois des ponts appelés viaducs et des viaducs appelés ponts. 

Prenons l’exemple du Pont Vasco de Gama qui se situe à Lisbonne. C’est le plus long pont qui mesure plus de 12 kilomètres. Il est, en revanche, appelé « pont », alors que c’est bel et bien un viaduc.

Ponts et Viaducs les plus célèbres

Le viaduc de Millau est réputé comme étant le plus haut du monde. C’est d’ailleurs l’un des plus grands ouvrages les plus populaires. Mesurant 343 mètres de hauteur, ce viaduc permet d’outrepasser la vallée du Tarn. 

Son pylône, supportant sa structure, mesure 245 mètres. Ce qui est d’ailleurs la raison de sa nomination en tant que viaduc avec la plus longue structure du monde.

Cet ouvrage célèbre, qui s’étend sur 2 460 mètres, a été conçu par Michel Virlogeux et dessiné par Norman Foster.

Situé en Californie, le Golden Bridge est également le pont le plus célèbre. Mesurant 230 mètres de hauteur et 2 737 mètres de longueur, cet ouvrage populaire relie San Francisco à Sausalito. 

Jusque dans les années 60, il restait le plus long pont du monde. Actuellement, c’est le pont Hong Kong-Zhuhai-Macai qui détient la popularité comme étant le pont maritime ou plus précisément, le viaduc maritime le plus long du monde. Mesurant 55 kilomètres de long, il relie Hong Kong, Macao avec la Chine continentale.

Ainsi, le pont serait donc classé comme un ouvrage qui regroupe tous les types d’ouvrages. Il est d’ailleurs assez compliqué de le définir directement, ni de le comparer à un viaduc. 

Ce sont deux ouvrages incomparables, car un viaduc est un pont, mais un pont n’est pas un viaduc